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POLITIQUE DE LA RECHERCHE |
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De nouveaux lauréats pour le label Idex/I-SITE En visite à l’université Gustave-Eiffel, en Seine-et-Marne, le Premier ministre Jean Castex a dévoilé jeudi la seconde partie de la liste des lauréats des actions « Initiatives d’excellence » (Idex) et « Initiatives Science-Innovation-Territoires-Economie » (I-SITE). Le label a été accordé définitivement aux universités de Clermont Auvergne, de Paris Cité, de Montpellier, de Lille, de Cergy, de Pau, de Nantes et Gustave-Eiffel. Au total, 17 universités françaises le détiennent désormais. Pour rappel, le dispositif Idex/I-SITE vise à faire émerger un nombre limité d’universités de recherche à visibilité mondiale sur des sites riches d’un important potentiel scientifique et capables de créer une synergie entre universités, écoles, organismes de recherche, établissements de santé et entreprises. Antoine Petit, PDG du CNRS, siégeait au sein du jury international mis en place pour chapeauter cette labellisation définitive. La Tribune, 11/03 – Temps de lecture : 5 min Latribune.fr, 10/03 – 4 min
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La science en guerre Franceculture.fr, 10/03 – 3 min
« Cette guerre ruine ma carrière de scientifique tout entière » : en Russie, un rideau de fer s’abat sur la science Sciencesetavenir.fr, 10/03 – 8 min
Parcours de migration et d’exil Catherine Wihtol de Wenden Franceculture.fr, 10/03 – 3 min
Santé : des fourmis « renifleuses » capables de détecter les cancers Francetvinfo.fr, 11/03 – 2 min Futura-sciences.com, 10/03 – 3 min CNRS, 09/03
Punir le crime d’écocide Barbara Glowczewski Franceculture.fr, 10/03 – 57 min
Quel est le secret des Posidonies pour prospérer ? Pierre-Marc Delaux Futura-sciences.com, 10/03 – 4 min
La révolution des algues Franceinter.fr, 11/03 – 3 min
Katalin Novak, une proche de Viktor Orban, nouvelle présidente hongroise Catherine Horel Rfi.fr, 10/03 – 2 min
Women TechEU : qui sont ces deux lauréates auralpines qui font briller la deeptech française ? La Tribune, 11/03 – 6 min
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Guerre en Ukraine : tentatives de médiation, histoire de l’Ukraine Le président turc Recep Tayyip Erdogan a réuni les représentants russes et ukrainiens à Antalya, jeudi, pour ouvrir des pourparlers sur l’invasion de l’Ukraine par la Russie. La réunion n’a pas permis d’aboutir à des cessez-le-feu, mais elle est considérée par Ankara comme un succès diplomatique, indique Marianne. Le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane a lui aussi tenté d’intervenir en tant que médiateur. Cette initiative est significative de la « volonté de se détacher stratégiquement des Etats-Unis, souligne Marc Lavergne. L’Arabie saoudite n’a pas d’intérêt particulier en Ukraine, c’est un prétexte pour apparaître comme des pacificateurs et pour occuper une place plus importante sur la scène internationale ». « Je ne pense pas que Mohammed ben Salmane ait les moyens d’apporter des solutions à cette crise » car son argument principal est la production de pétrole, sur laquelle l’Arabie saoudite peut jouer pour aider la Russie ou l’Occident, ajoute le spécialiste du Moyen-Orient. De son côté, France Culture revient sur l’histoire de l’Ukraine après l’indépendance conquise en 1917, dans la foulée de la révolution russe. Pendant quatre ans, Rouges, Blancs, Verts et nationalistes se sont livré une terrible guerre civile pour tenter de contrôler Kiev et d’instaurer leur projet politique. « En réfléchissant à cette histoire complexe, fracturée et violente, on peut voir les moments où les Ukrainiens et les Ukrainiennes de toutes origines se sont emparés de leur histoire et ont essayé de la construire de l’intérieur (de manière très réprimée à partir des années 1930, puis de nouveau un peu plus libres après la mort de Staline), mais aussi de l’extérieur [avec] la dynamique des immigrations ukrainiennes successives », souligne l’historienne Sophie Cœuré. Marianne.net, 10/03 – 6 min Franceculture.fr, 10/03 – 52 min
Présidentielle 2022 : rivalité Le Pen/Zemmour, divisions des jeunes face à la politique Le Monde analyse la manière dont la guerre en Ukraine redessine la rivalité entre Marine Le Pen et Eric Zemmour. Le surgissement du conflit dans les débats de la campagne pour l’élection présidentielle a déstabilisé les deux candidats d’extrême-droite, rattrapés par leurs positions pro-Kremlin. « Ces candidats portent un récit national contre la construction européenne, la mondialisation, le progrès de l’histoire. Poutine était le héraut de cette contre-histoire. Mais l’épopée a basculé dans le réel : c’est le nationalisme en acte, pas en rêve », souligne Luc Rouban. Corse-Matin s’intéresse pour sa part aux divisions des jeunes face à la politique. Le quotidien régional rappelle qu’une récente enquête révèle ces clivages selon le genre, mais aussi selon le capital culturel hérité, l’origine nationale et la religion. Lemonde.fr, 11/03 – 5 min Corse-Matin, 11/03 – 3 min
L’IA permet d’anticiper la fonte des glaciers Les Echos présentent les conclusions de l’article, publié dans Nature Communications, sur une nouvelle méthode de prédiction des conséquences de la fonte des glaciers. Basée sur l’intelligence artificielle, cette approche appliquée à l’ensemble des glaciers de la planète doit permettre de mieux prévoir l’évolution de l’hydrologie et l’élévation du niveau des mers. « En 2100, si l’on s’appuie sur des scénarios prenant en compte des niveaux intermédiaires d’émissions de gaz à effet de serre, il ne restera pratiquement plus de glaciers », affirme Jordi Bolíbar, l’un des cinq co-auteurs de l’étude. Les Echos, 11/03 – 2 min
Quels impacts du réchauffement climatique en France ? Le Figaro revient sur le deuxième volet du 6e rapport du GIEC, publié fin février. Actuellement, le monde se dirige toujours vers un réchauffement « catastrophique » de +2,7 °C, et en Europe, il continuera d’augmenter plus rapidement que la moyenne mondiale, prévient le rapport. Le quotidien reprend les explications de Wolfgang Cramer, coauteur du rapport, concernant les conséquences du réchauffement en France. L’expert cite la baisse des rendements agricoles, les canicules urbaines, la menace pesant sur le tourisme de montagne et la sécheresse en Méditerranée. Il rappelle qu’un réchauffement mondial de 1,5 °C se traduit par une hausse des températures en France « entre 2,5 et 3 °C avec des variations locales, car les continents se réchauffent plus vite que la planète entière ». Le pays connaîtra « des répercussions économiques et sociales potentiellement importantes » et « devra aider financièrement les pays du Sud à s’adapter », ajoute-t-il. Le Figaro, 11/03 – 6 min
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