James Webb fournit de nouvelles images de la nébuleuse d’Orion
Une équipe internationale a publié de nouvelles images spectaculaires de la nébuleuse d’Orion saisies par le télescope spatial James Webb. Situé à 1 350 années-lumière de la Terre, cet objet céleste paraît constituer un environnement similaire à celui dans lequel est né le Système solaire, il y a 4,5 milliards d’années. Le cœur des pouponnières d’étoiles comme la nébuleuse d’Orion est obscurci par de grandes quantités de poussières d’étoiles, ce qui rend impossible l’étude de ce qui se passe à l’intérieur avec des instruments comme le télescope spatial Hubble, qui s’appuie principalement sur la lumière visible. Le télescope James Webb, en revanche, détecte la lumière infrarouge du cosmos, ce qui permet aux observateurs de voir à travers ces couches de poussière, révélant ainsi l’action qui se déroule au cœur de la nébuleuse d’Orion. « L’observation de la nébuleuse d’Orion était un défi, car elle est très brillante pour les instruments extrêmement sensibles de James Webb, a déclaré Olivier Berné sur CNN.com. Mais le télescope est incroyable : il est capable d’observer des galaxies lointaines et peu lumineuses, aussi bien que Jupiter et Orion, qui sont parmi les sources les plus brillantes du ciel infrarouge ».
CNN.com, 12/09 – Temps de lecture : 3 min
La-croix.com, 12/09 – 2 min
Bfmtv.com, 12/09 – 2 min
Sciencesetavenir.com, 12/09 – 2 min
Cnrs.fr, 12/09
L’essor des cobots industriels
À l’inverse des robots industriels classiques, les cobots ne sont pas autonomes, explique Édouard Kleinpeter dans La Croix : « ils sont pseudo-asservis, dans le sens où ils répondent à la commande de l’utilisateur mais gardent une capacité d’analyse pour éviter les erreurs et les blessures ». Ce type d’appareils permet à l’humain de conserver une mainmise sur la machine, ce qui en facilite son acceptabilité, explique le scientifique.
La Croix, 13/09 – 2 min
SARS-CoV-2 : la forme des gouttes de salive impacte la transmission du virus
Une équipe toulousaine a montré que la nature du fluide composant les gouttes de salive a un impact sur leur temps de suspension dans l’air et sur le temps de survie des virus qu’elles transportent. Les petites gouttes, celles que l’on émet lorsque l’on respire normalement, et qui restent le plus longtemps en suspension dans l’air, ne sont pas les plus dangereuses. Elles transportent en effet moins de virus et celui-ci va se dégrader assez spontanément dans des conditions ambiantes. « Au bout d’une heure, il n’y a plus beaucoup de virus actif », indique Kevin Roger. Les grosses gouttes sont plus problématiques : elles ne restent en suspension que quelques minutes et ont un temps d’action réduit mais sont plus efficaces pour la transmission du virus.
20Minutes.fr, 12/09 – 5 min
Explorer la réponse du cerveau face à la peur
Pour mieux savoir comment le cerveau réagit à la peur, des scientifiques ont mis en évidence une partie du circuit neuronal qui détermine les réponses stéréotypées face à un stimulus aversif ainsi que les souvenirs et les comportements qui y sont associés chez des rongeurs. Si l’on a longtemps pensé que seule l’amygdale jouait un rôle dans la réaction aux stimulus aversifs, les dernières études montrent que d’autres zones, traditionnellement associées au plaisir, interviennent également, explique Valérie Doyère.
Futura-Sciences.com, 12/09 – 7 min
Les quatre axes de recherche de Tara Polar Station
La Fondation Tara Océan lance la construction d’une base scientifique dérivante – Tara Polar Station – qui auscultera, à partir de 2025 et durant une vingtaine d’années, les conséquences du réchauffement climatique sur l’océan Arctique. Quatre axes de recherche ont été privilégiés : l’étude du mécanisme et de l’impact du changement climatique sur le fonctionnement des écosystèmes et la biodiversité ; l’analyse des gaz à effet de serre et de l’accumulation de polluants au pôle Nord ; l’adaptation de la vie dans des conditions extrêmes ; et l’étude de la migration des organismes marins vers l’Arctique. Sur ce dernier point, Chris Bowler précise que « pour comprendre la biologie de cet écosystème unique dans son contexte arctique, un ensemble complet d’instruments sera déployé pour étudier les interactions physico-chimiques entre l’atmosphère, la couche superficielle de glace de mer et l’océan sous-jacent ».
L’Humanité, 13/09 – 3 min
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Manque d’eau : Un changement de culture inéluctable
Agnès Ducharne
Libération, 13/09 – 7 min
« Figures visibles et invisibles du sport »
Philippe Descola
Atlantico.fr, 12/09 – 9 min
Pôle emploi doit devenir France Travail
Philippe Askénazy
Bfmtv.com, 12/09 – 1 min
Le sport et le diabète
Daniel Hennequin
Francebleu.fr, 12/09 – 3 min
Bipédie, ça marche
François Druelle, Guillaume Daver
Radiofrance.fr, 12/09 – 1 min
Législatives en Suède : la droite et l’extrême droite pourraient prendre le pouvoir
Jenny Andersson
Tv5monde.com, 12/09 – 1 min
Accouchement : le « syndrome méditerranéen » s’invite en salle de naissance
Marc Loriol
Mediapart.fr, 12/09 – 9 min
Entre féministes Terf et extrême droite, des passerelles idéologiques pour un même combat anti-trans
Florence Rochefort
Liberation.fr, 12/09 – 9 min
Vers un calcul quantique responsable ?
Alexia Auffèves
Science-et-Vie.com, 12/09 – 2 min
Pourquoi observe-t-on de plus en plus de tempêtes de sable en France ?
Hervé Herbin
Ouest-france.fr, 12/09 – 3 min
Les mois de septembre seront-ils bientôt similaires à nos actuels mois de juillet ?
Robert Vautard
Ouest-france.fr, 12/09 – 4 min
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MedXCell lance un « start-up studio » dédié aux thérapies cellulaires
Le groupe de biotechnologies franco-suisse MedXCell développe sur le site du CHU de Montpellier un modèle de « start-up studio », dans le secteur des thérapies cellulaires. Sur un même plateau vont se côtoyer doctorants de l’industrie pharmaceutique, spécialistes de la data, ingénieurs, laborantins, scientifiques du secteur public… Cet accélérateur biotech a pour objectif d’identifier des projets de haut niveau, de valider le potentiel technologique, médical et économique, de structurer le développement, puis de créer des entreprises de biothérapies indépendantes.
Les Échos, 13/09 – 3 min
Un logiciel pour lutter contre la dyslexie
La société Gnosia édite le logiciel RapDys dédié à la rééducation des personnes dyslexiques. Le logiciel propose aux enfants des exercices de rééducation répétitifs mais simples qui peuvent être menés avec l’orthophoniste puis par le patient chez lui.
Les Échos, 13/09 – 1 min
Skyted propose un nouveau masque antibruit
Grâce à un partenariat avec le CNRS et un laboratoire parisien, la start-up toulousaine Skyted a développé une technologie capable de dissiper l’énergie de la voix humaine (90 à 100 décibels) en sortie de bouche, afin de créer « une bulle silencieuse ». Le masque élaboré par Skyted permet de passer des appels téléphoniques sans déranger l’entourage dans un lieu confiné et préserve la confidentialité des conversations dans les lieux publics. Stéphane Hersen, fondateur de l’entreprise, compte présenter son produit au prochain salon CES de Las Vegas, en janvier 2023.
La Dépêche du Midi, 13/09 – 2 min
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