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Coronavirus : la Chine revoit le mode de calcul des personnes contaminées Selon les chiffres communiqués par la Commission nationale de la Santé, la Chine vient d’enregistrer 15 152 nouvelles contaminations par le Covid-19, ainsi que 254 décès supplémentaires. En fait, cette forte hausse est due à un nouveau mode de calcul des personnes contaminées dans la province du Hubei. Au lieu de prendre en compte les patients détectés positifs au test d’acide nucléique, une personne peut désormais être diagnostiquée porteuse du virus sur la simple base de clichés radiographiques des poumons. Olivier Terrier explique que ce changement de méthode pourrait être lié à une problématique financière, les tests d’acide nucléique étant coûteux et nécessitant des laboratoires très bien équipés, avec du personnel hautement qualifié. Carine Milcent souligne de son côté que cette décision correspond à la volonté des autorités chinoises d’envoyer un message à la population, en montrant qu’elles ne restent pas inactives. Sandrine Belouzard précise qu’une radiographie pulmonaire permet de diagnostiquer une pneumonie, mais pas de détecter le Covid-19. Or une pneumonie peut avoir différentes causes, précise-t-elle. Bruno Coutard estime quant à lui que l’épidémie est entrée dans une phase de stabilisation. Mais les scientifiques ne peuvent pas encore savoir si l’on approche du pic épidémique ou si des foyers secondaires vont repartir en phase épidémique. Plus largement, Anne-Marie Moulin souligne que ce type d’épidémie suscite des réactions irrationnelles, comme celle observée en France, où des manifestations de racisme envers la communauté asiatique ont eu lieu. Faute de pouvoir s’attaquer directement au virus, ce sont leurs porteurs potentiels qui retiennent l’attention du public, explique-t-elle. Libération, 14/02 – Temps de lecture : 3 min La Marseillaise, 14/02 – 5 min La Croix, 14/02 – 1 min Lemonde.fr, 14/02 – 11 min Bfmtv.com, 14/02 – 2 min 20Minutes.fr, 13/02 – 4 min
La fragmentation des particules joue un rôle majeur dans la capture du carbone par les océans Une équipe franco-britannique a résolu un des mystères de la capture du CO2 atmosphérique par l’océan en identifiant un processus méconnu. La photosynthèse à la surface dans les océans (aussi appelée « pompe biologique ») permet de capter 50 milliards de tonnes de carbone par an, environ 20% coulent dans la zone crépusculaire mais seulement 2%, soit 1 milliard de tonnes de carbone est séquestré dans l’océan profond pour des millénaires, précise Hervé Claustre. En cause notamment : la fragmentation des particules. La « pompe biologique » est moins importante que la pompe à carbone physicochimique de l’océan, qui prélève environ un quart du carbone anthropique chaque année. Mais son rôle reste majeur, indique Laurent Bopp. Le Figaro, 14/02 – 4 min Cnrs.fr, 13/02
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Deux semaines de mise à pied pour l’ex-présidente par interim du CNRS Lemonde.fr, 13/02 – 5 min France24.com, 13/02 – 2 min
« La double fracture environnementale et coloniale » Malcolm Ferdinand L’Humanité, 14/02 – 8 min
Un nouveau record d’intrication quantique par fibre optique Caroline Champenois FranceCulture.fr, 13/02 – 3 min
Amazones évangéliques au Brésil Sébastien Fath La Croix, 14/02 – 3 min
Pour bien nourrir les abeilles, doit-on se fier à leur danse ? Aurore Avarguès-Weber FranceInter.fr, 13/02 – 3 min
Une électrolyse peut-elle démontrer que l’eau minérale Cristaline contient des pesticides ? Mathieu Etienne, Fréderic Maillard Francetvinfo.fr, 13/02 – 6 min Lavoixdunord.fr, 13/02 – 1 min
Après son discours à l’ONU, Mahmoud Abbas « rentre nu à Ramallah » Stéphanie Latte La-croix.com, 13/02 – 3 min
Hôpital public : « Les économies à court terme finissent par coûter cher à long terme » Frédéric Pierru FranceInter.fr, 14/02 – 4 min
Après le darwinisme, le football François Marchal NouvelObs.com, 13/02 – 6 min
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L’impact cérébral des souvenirs traumatiques L’étude d’imagerie cérébrale Remember, qui s’inscrit dans le « programme 13 Novembre », codirigé par Denis Peschanski, montre que les personnes résilientes – qui ne souffrent pas de syndrome de stress post-traumatique – ont une capacité nettement supérieure à inhiber les zones de la mémoire lorsque surgit un souvenir intrusif. Denis Peschanski souligne l’importance de prendre en compte les dynamiques cérébrales individuelles pour connaître les mécanismes de la mémoire collective. Le Figaro, 14/02 – 4 min Sciencesetavenir.fr, 13/02 – 6 min Cnrs.fr, 13/02
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