|
Médaille de la médiation scientifique du CNRS 2022
Parmi les lauréats de la médaille de la médiation scientifique du CNRS 2022, les femmes sont mises à l’honneur, souligne le site Women eLife. Les membres de la cellule parité-égalité de l’Institut des sciences de l’information et de leurs interactions, à l’origine de la bande-dessinée « Les décodeuses du numérique », ont été primés. Et Carolyn Scheurle, présentée par le Journal des sciences de France Culture comme la « médiatrice de l’océan », a également été récompensée. Jean Claude Ameisen, auteur de l’émission de vulgarisation scientifique Sur les épaules de Darwin sur France Inter, a reçu le prix spécial de la médiation scientifique du CNRS. À travers cette récompense, le CNRS salue l’engagement d’un homme de science convaincu « que la démarche scientifique doit être une composante à part entière de notre culture, comme les arts ou la philosophie ».
Women-elife.com, 13/10– Temps de lecture :
France Culture, 13/10 – 1 min
L’Humanité, 14/10 – 1 min
Cnrs.fr, 12/10
|
Quand le monde se délite : comment la « sociologie de la maintenance » aide à vivre la crise écologique
David Pontille
Nouvelobs.com, 13/10 – 11 min
Mission réussie pour le test de déviation d’un astéroïde
Patrick Michel
Le Monde, 14/10 – 3 min
Corrélation entre pollution aux particules fines et mortalité due au Covid-19
Jean-Baptiste Renard
Le Figaro, 14/10 – 4 min
Sciencesetavenir.fr, 13/10 – 4 min
Liberation.fr, 13/10 – 3 min
Le corps (presque) totalement transparent
Emmanuel Caruyer
Ouest-france.fr, 13/10 – 2 min
L’écologie doit-elle davantage penser le sauvage ?
Raphaël Mathevet
Radiofrance.fr, 13/10 – 2 min
Font-Romeu : visite insolite au four solaire d’Odeillo
Nicolas Boullet
Lindependant.fr, 13/10 – 1 min
Jacques Bouveresse, actualité d’un esprit critique
Jean-Claude Monod
Marianne.net, 13/10 – 5 min
Noema, le plus grand radiotélescope de l’hémisphère Nord
Frédéric Gueth
Francebleu.fr, 13/10 – 2 min
Les « immigrants » africains engagés en Guyane après l’abolition de l’esclavage de 1848
Céline Flory
La1ere.francetvinfo.fr, 13/10 – 3 min
La santé globale, une « idée géniale » qui progresse
Fabrice Vavre
Nouvelobs.com, 13/10 – 5 min
Le quotidien des Secoya du Pérou dans la forêt amazonienne s’expose en plein air à Paris
Stéphen Rostain
Tf1info.fr, 13/10 – 2 min
DANS LA PRESSE PRO
Le gouvernement veut former l’ensemble des agents de la fonction publique aux enjeux écologiques
Christophe Cassou
Actu-Environnement.com, 13/10 – 3 min
Le défi du financement des start-up et des PME de la chimie
Usinenouvelle.com, 13/10 – 13 min
|
|
|
L’exposition aux pesticides de la petite faune des zones agricoles
Une équipe de scientifiques français et luxembourgeois, conduits par Céline Pelosi et Clémentine Fritsch, a étudié l’exposition aux pesticides de la petite faune familière des zones agricoles françaises. Les scientifiques proposent le concept de « biowidening » pour décrire l’élargissement du spectre des expositions retrouvées dans les chaînes alimentaires. « Ce qui nous a le plus frappés est la grande multiplicité des molécules retrouvées », explique Clémentine Fritsch. Cent douze molécules ont été retrouvées au moins une fois, et la totalité des animaux capturés étaient imprégnés d’au moins l’une d’elles. « Les nouvelles générations de pesticides sont censées avoir été conçues pour persister moins longtemps dans l’environnement et ne pas s’accumuler le long de la chaîne alimentaire, explique Clémentine Fritsch. Mais, malgré cela, on les détecte aussi fréquemment que les anciennes molécules. »
Le Monde, 14/10 – 3 min
L’impact du réchauffement climatique sur la biodiversité est de plus en plus prononcé
Dans son rapport Planète vivante, le WWF montre que les populations de vertébrés ont chuté de 69% en moyenne en moins de cinquante ans. Le Monde souligne l’impact du changement climatique sur cette évolution. « Le réchauffement a eu jusqu’ici un effet direct assez mineur sur la perte de biodiversité, estime Michel Loreau. Mais les prévisions sont catastrophiques : les espèces vont bouger dans tous les sens à mesure que le climat va changer et vont disparaître, parce qu’elles n’auront plus d’endroit où aller. » Selon Camille Parmesan, le changement climatique est à l’origine de la disparition des populations de plus de mille espèces végétales et animales. En outre, ce déclin vient à rebours aggraver le dérèglement du climat. « Non seulement la biodiversité est endommagée, mais, par conséquent, elle stocke aussi beaucoup moins de carbone, ajoute Philippe Grandcolas. Ces rétroactions sont très inquiétantes. »
Le Monde, 14/10 – 3 min
#meetoo : réaction conservatrice et évolution des mentalités
Cinq après le lancement du mouvement #meetoo, une vague d’antiféminisme émerge sur les réseaux sociaux. Si cette contre-tendance a toujours existé, « ce qui est nouveau, en revanche, c’est la montée actuelle des masculinistes, explique dans Le Monde Florence Rochefort. Ils exaltent la virilité et le masculin comme des valeurs supérieures, dénigrent systématiquement les femmes et promettent une guerre contre toutes celles qui prétendraient défendre leurs droits à l’égalité. » La vigueur de l’antiféminisme et du masculinisme s’inscrit de façon plus générale dans le cadre du succès des idées conservatrices sur le Web. « C’est une idéologie d’extrême droite, à une époque où ces courants progressent un peu partout. Les discours contre le féminisme sont un outil pour attirer l’attention des plus jeunes », relève Florence Rochefort.
Néanmoins, souligne Magali Della Sudda sur le site Web du Monde, certains milieux identitaires revendiquent leur appartenance au féminisme. Ce « féminisme identitaire » est « groupusculaire et minoritaire », mais dispose d’une bonne visibilité dans l’espace public, précise la scientifique. Dans les colonnes de 20 Minutes, Christine Castelain-Meunier souligne que le mouvement #meetoo a déclenché une prise de conscience, parmi les hommes, des comportements déplacés qu’ils pourraient avoir. Actuellement, la situation serait intermédiaire : les hommes « éprouvent un sentiment de flottement, car ils n’ont pas encore intégré les nouveaux modèles de masculinité », ajoute Christine Castelain-Meunier.
Le Monde, 14/10 – 8 min
Le Monde, 13/10 – 8 min
20 Minutes, 14/10 – 3 min
Retour de la goélette Tara à Lorient
Après 22 mois de navigation, la goélette Tara sera de retour le 15 octobre à Lorient. « Ce bateau à voile a permis de constituer la plus grande banque de données publique sur l’écosystème planctonique », affirme Romain Troublé, directeur général de la fondation Tara. La goélette (deux mâts) est plus petite qu’un navire océanographique « mais elle est plus flexible. Elle est aussi moins coûteuse, ce qui permet de faire des campagnes plus longues », souligne Samuel Chaffron. La mission en cours visait à obtenir une meilleure image du microbiome de la planète. « Le microbiome est à l’origine de l’état de santé de notre planète. Il produit 50% de l’oxygène sur terre. S’il y a des pêcheries aujourd’hui, c’est parce qu’il y a un microbiome en bonne santé, explique Douglas Couet. Il est central de l’étudier dans un contexte de changement climatique. Une des questions qui nous taraude, c’est de savoir comment le microbiome, qui est en train de s’adapter, va remplir ces mêmes fonctions ».
Ouest France, 14/10 – 2 min
Le Télégramme, 14/10 – 4 min
|
|
