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POLITIQUE DE LA RECHERCHE |
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Frédérique Vidal veut renforcer la coopération entre universités en Europe Dans le cadre de la présidence française du Conseil de l’Union européenne (PFUE), les ministres européens de l’Enseignement supérieur se sont réunis à Paris les 24 et 25 janvier dernier pour parler de l’avenir de l’Europe. Frédérique Vidal, ministre française de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, a notamment appelé à consolider la coopération transnationale pour renforcer l’attractivité et la compétitivité de l’enseignement supérieur et de la recherche. L’objectif est de parvenir à 60 alliances d’universités européennes, contre 41 aujourd’hui. « L’important, c’est de construire un espace européen de l’enseignement et de la recherche », a-t-elle affirmé. Letudiant.fr, 14/02 – Temps de lecture : 3 min Lancement d’un programme de recherche sur l’endométriose Un mois après l’annonce par le président de la République d’une stratégie nationale de lutte contre l’endométriose, le premier comité de pilotage s’est réuni lundi, à Paris. Trois axes prioritaires ont été précisés, dont le premier est la recherche. Un programme de recherche doté de 25 à 30 millions d’euros sur cinq ans sera lancé, qui comprendra « des projets de recherche fondamentale, de recherche clinique, de sciences humaines ou d’épidémiologie », a annoncé le ministre de la Santé, Olivier Véran. Ce programme s’intéressera aussi aux questions liées à la fertilité et à l’aide médicale à la procréation. Les deux autres priorités de la stratégie sont la formation des professionnels et la prise en charge des patientes. 20minutes.fr, 14/02 – 4 min Libération, 15/02 – 4 min |
Le crédit d’impôt recherche à nouveau dans le viseur Usinenouvelle.com, 14/02 – 3 min Omicron : un risque « logique » de réinfection Morgane Bomsel Letelegramme.fr, 14/02 – 3 min Crise ukrainienne : « Les sanctions sont utiles pour isoler Poutine et les hommes va-t-en guerre qui l’entourent » Marie Mendras Nouvelobs.com, 14/02 – 4 min Comment mieux détecter les commotions cérébrales dans le sport ? Franck Molina Francebleu.fr, 15/02 – 4 min Homo sapiens est arrivé bien plus tôt en Europe Ludovic Slimak L’Humanité, 14/02 – 1 min Le Dauphiné Libéré, 14/02 – 3 min Ledauphine.com, 14/02 – 1 min « La levure est très intéressante pour étudier les cellules humaines » Vincent Pagès La Marseillaise, 12/02 – 2 min La grippe aviaire : mon rhume en plumes Serge Morand Franceculture.fr, 14/02 – 58 min Pyrénées-Orientales : une luciole sud-américaine s’installe en Vallespir et menace l’écosystème Marcel Koken Lindependant.fr, 14/02 – 4 min Afrique-Europe : « Et si on changeait le paradigme de la formation » Soufyane Frimousse Lepoint.fr, 14/02 – 6 min Pour Frédérique Vidal, un aperçu de la médecine du futur à Ciloa Midi Libre, 15/02 – 2 min |
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VIE DU CNRS |
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Entretien avec Antoine Petit, reconduit pour un second mandat comme PDG du CNRS Antoine Petit a été reconduit à la tête du CNRS le 9 février. A cette occasion, il revient pour Le Monde sur sa vision de la recherche. Son slogan « La recherche fondamentale au service de la société », qui résume sa motivation pour ce nouveau mandat, se justifie par le fait que « la recherche fondamentale est essentielle », ainsi que par trois objectifs visés : répondre aux enjeux sociétaux, créer des start-up et aider à la compréhension et à la décision, explique-t-il. Antoine Petit déclare souhaiter désormais que « le CNRS ait des perspectives pluriannuelles pour son budget, notamment en ce qui concerne la part liée aux salaires ». Antoine Petit veut en particulier « défendre l’idée d’un package d’accueil substantiel », « développer les programmes de doctorants et de postdocs » et « disposer de programmes d’accueil de chercheurs étrangers ». Il évoque également « un mécanisme pour que l’Etat apporte son soutien financier lorsque nous avons des collaborations entre un laboratoire et une entreprise », « un plan pour augmenter nos collaborations avec l’Afrique », ainsi que le développement de la science ouverte. Lemonde.fr, 14/02 – 8 min |
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Présidentielle 2022 : volatilité électorale, meeting de Valérie Pécresse, questions économiques Une enquête d’Ipsos, de la Fondation Jean-Jaurès et du Cevipof montre que 11 % des 9 624 personnes interrogées en janvier ont depuis changé d’intention de vote à l’élection présidentielle d’avril 2022, rapporte L’Opinion. « La volatilité électorale est structurelle », souligne Bruno Cautrès, qui précise que « plus le saut idéologique est grand, plus il y aura du déchet dans les reports de voix ». Bruno Cautrès est également cité par Europe 1 concernant la stagnation dans les sondages de la candidate LR, Valérie Pécresse, qui a donné un meeting au Zénith de Paris dimanche. Les Echos et La Provence comparent les idées de Marine Le Pen et d’Eric Zemmour en matière d’économie et reprennent les explications de Gilles Ivaldi. Les deux candidats « sont tous deux sur une trajectoire de rééquilibrage de leurs programmes présidentiels. Si bien que les points de départ, très libéral chez Eric Zemmour et très social chez Marine Le Pen, convergent vers un point médian », explique-t-il. Enfin, Le Monde s’intéresse à la question du pouvoir d’achat dans la campagne présidentielle. « Beaucoup de gens ont des doutes sur l’efficacité de mesures comme l’organisation de grandes conférences sur les salaires avec les patrons. Pour eux, c’est du Meccano », constate Bruno Cautrès. De même, « les gens (…) se demandent toujours si on ne va pas leur reprendre d’un côté ce qu’on leur aura donné de l’autre ». L’Opinion, 15/02 – 3 min Europe1.fr, 14/02 – 3 min Lesechos.fr, 14/02 – 3 min Lemonde.fr, 15/02 – 6 min La Provence, 15/02 – 3 min Epilepsie : « La sensibilisation est indispensable » A l’occasion de la Journée internationale de l’épilepsie, lundi 14 février, Laurent Koessler répond aux questions de France 3 Grand Est à propos de cette maladie neurologique chronique méconnue qui touche près de 700 000 personnes en France et 50 millions de personnes dans le monde. Le neuroscientifique spécialiste de l’épilepsie apporte des informations sur la maladie et sur les progrès dans le domaine du diagnostic. « L’épilepsie n’a pas une bonne image, alors que 80 % des symptômes sont parfaitement invisibles. Certains dissimulent même leur épilepsie. C’est pour ça qu’une journée de sensibilisation est indispensable », déclare-t-il. France 3 Régions, 14/02 – 4 min |
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