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VIE DU CNRS |
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Ma thèse en 180 secondes La Provence indique que douze participants au concours international de vulgarisation scientifique « Ma thèse en 180 secondes » feront vivre leur thèse de façon claire et convaincante devant un jury régional. Celui-ci sera composé d’Aurélie Philippe, déléguée régionale CNRS, Eric Berton, président d’Aix-Marseille Université, Xavier Leroux, président de l’université de Toulon, et Georges Linares, vice-président de la commission de la recherche à l’université d’Avignon. La Provence, 15/03 – Temps de lecture : 1 min
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A Toulouse, les chercheurs « soufflent à l’oreille » des élus Marie-Christine Jaillet Le Monde, 15/03 – 6 min
Séquencer l’ADN de l’environnement : une technique qui fait sa révolution Pierre Taberlet Lemonde.fr, 15/03 – 11 min
Le règlement de comptes posthume du génie mathématique Alexandre Grothendieck Zoghman Mebkhout, Georges Maltsiniotis, Leila Schneps Lemonde.fr, 15/03 – 6 min
L’araignée chasse en meute La Croix, 15/03 – 1 min
Des fourmis capables de détecter des cancers grâce à leur odorat 20minutes.fr, 14/03 – 2 min Ledauphine.com, 14/03 – 2 min Le Quotidien du Pharmacien, 15/03 – 2 min
Les éléphants ont-ils vraiment une bonne mémoire ? Emmanuelle Pouydebat Francebleu.fr, 14/03 – 23 min
Interdiction de la fessée : un mouvement qui traverse les frontières Elisabeth Lusset Franceculture.fr, 14/03 – 5 min
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Covid-19 : levée des restrictions, conséquences sur le cerveau, circulation des variants d’Omicron Dans son journal de 20h00, TF1 interroge Florence Débarre sur l’opportunité de la levée des restrictions sanitaires à un moment où le nombre des contaminations repart à la hausse. « La population française est aujourd’hui largement immunisée, que ce soit grâce à la vaccination ou à des infections antérieures, explique la chercheuse en biologie évolutive. L’effet d’une contamination sur une personne immunisée est donc très différent de ce qu’il pouvait être il y a deux ans. » Le Monde s’intéresse à une étude britannique, publiée mardi dans la revue Nature, qui a mis en évidence des conséquences cérébrales sur des personnes ayant contracté pour la majorité une forme légère du Covid-19. Des scanners et examens cognitifs réalisés avant le début de l’épidémie et quatre mois et demi après l’infection montrent une réduction du volume de matière grise plus importante que dans le groupe témoin, ainsi qu’une dégradation plus marquée des tissus cérébraux. « L’infection a fait perdre en moins de six mois ce que l’on perd habituellement en près de dix ans. Je ne m’attendais pas à un chiffre si important », commente Pierre-Marie Lledo, qui n’a pas participé à l’étude. Enfin, Le Journal du Dimanche reprend une interview de Samuel Alizon et Mircea Sofonea, publiée par The Conversation, à propos de la circulation des variants d’Omicron en France et dans le monde. A la question de savoir si l’on assiste à un « essoufflement » de l’épidémie en termes de capacité de diversification du virus, Samuel Alizon répond que « le risque est élevé qu’une des innombrables lignées trouve une solution viable ». « Il faut aussi se méfier de la croyance séculaire selon laquelle les virus deviendraient moins virulents avec le temps », affirme-t-il. Tf1info.fr, 14/03 – 2 min Lemonde.fr, 15/03 – 6 min Lejdd.fr, 14/03 – 9 min
Election présidentielle 2022 : hausse des prix des carburants, campagne d’Emmanuel Macron Le Monde publie un entretien avec Pierre Blavier, spécialiste des « gilets jaunes », sur le risque que la flambée des prix du carburant ne réactive un mouvement social en France. « En sciences sociales, on voit qu’il n’y a pas de lien mécanique entre la hausse des prix du carburant, ou du blé dans l’Ancien Régime, et l’éclosion d’un mouvement social. Les prix à la pompe sont certes plus élevés aujourd’hui qu’en novembre 2018. Mais, à l’époque, c’était la question des taxes qui avait joué un rôle », explique-t-il. Alors que tous les sondages placent Emmanuel Macron en tête des sondages malgré une campagne quasi inexistante, BFMTV s’interroge sur l’éventualité de mobilisations sociales avant le second tour. Conscient de ce risque, le chef de l’Etat a promis de changer sa méthode de gouvernement, souvent jugée trop verticale. Bruno Cautrès doute qu’un changement de méthode soit efficace. « Faire une sorte de grand débat permanent, un peu à la façon de la sortie de crise des Gilets jaunes, pourquoi pas ? Mais je n’ai pas l’impression que les remarques qui lui ont été faites à ce moment-là ont changé grand-chose. Et puis, si les Français lui disent qu’ils ne sont pas d’accord avec lui sur la réforme des retraites, va-t-il vraiment changer d’avis ? » Le Monde, 15/03 – 4 min Bfmtv.com, 14/03 – 4 min
« Des moyens oui, mais pour faire quoi ? » Interviewé par Les Dernières Nouvelles d’Alsace, Sébastian Roché s’exprime sur la question de la suffisance des moyens octroyés à la police française. « Cette question est faussement simple : des moyens oui, mais pour faire quoi ? », répond-il. « En termes d’effectifs, la police française se situe au-dessus de la moyenne en Europe. Mais le ministère de l’Intérieur n’a mis en place aucun outil pour mesurer son efficacité », déplore-t-il notamment. Les Dernières Nouvelles d’Alsace, 15/03 – 3 min
Spatial : programme Artemis sur la Lune, conquête spatiale La Nasa se prépare à lancer la fusée Artemis 1 vers la Lune, d’ici deux semaines si tout va bien. Bien que le vol soit cette fois-ci inhabité, les Etats-Unis sont en passe de remplir leur pari de retourner vers notre satellite naturel, cinquante ans après la dernière mission du programme Apollo. « Artemis est vendu comme une présence durable sur la Lune, relève Arnaud Saint-Martin. Il faut que la Nasa fasse la preuve de sa capacité à gérer un tel programme, impliquant des partenaires privés et des Etats. » Jessica Flahaut rappelle que les données sur la Lune datent de la mission Apollo, en 1972. « Résultat, nous ne savons toujours pas avec certitude si la Lune a un noyau liquide ou solide », souligne-t-elle. Dans le cadre d’un débat, François Forget estime que le développement de la place du privé dans la conquête spatiale « ne doit pas se faire au détriment de la recherche publique ». « Nous sommes ainsi inquiets que les sommes du plan d’investissement France 2030 se retrouvent presque entièrement allouées au secteur privé », indique-t-il. La-croix.com, 14/03 – 6 min La Croix, 15/03 – 3 min La Croix, 15/03 – 3 min
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