VIE DU CNRS |
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Un territoire de recherches en Argonne Fin 2020, le projet de création d’une zone atelier sur le massif argonnais a été labellisé par le CNRS. Le projet fédère plus de 90 chercheurs des universités de Reims, Lorraine et Strasbourg, qui représentent un large éventail de disciplines en sciences exactes et naturelles, ainsi qu’en sciences humaines et sociales. L’assemblée générale organisée le 25 février a permis de dégager des pistes de réflexion sur la constitution de la zone atelier. L’Ardennais, 16/03 – Temps de lecture : 3 min Lunion.fr, 16/03 – 1 min
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Le désarroi des étudiants en sciences humaines Sarah Mazouz Le Monde, 16/03 – 5 min
La disparition des jobs étudiants aggrave la précarité d’une partie de la jeunesse Tom Chevalier Lemonde.fr, 16/03 – 8 min
Reconstruction de Notre-Dame : la délicate opération de sécurisation des voûtes Lci.fr, 15/03 – 7 min
Au CNRS, « le fabuleux destin de la cellule » Geneviève Almouzni Nextinpact.com, 15/03 – 1 min
Vaccins : la Cour pénale internationale a-t-elle vraiment « accepté » une « plainte » contre Israël ? Catherine Le Bris Liberation.fr, 15/03 – 4 min
Polar Pod : « Il fallait imaginer un bateau sur-mesure pour explorer l’océan Austral », raconte Jean-Louis Etienne 20minutes.fr, 16/03 – 6 min
Le Gulf Stream est-il en train de ralentir ? Didier Swingedouw Franceinter.fr, 15/03 – 54 min
10 ans après, que sait-on de Fukushima ? Cécile Asanuma Brice Rfi.fr, 15/03 – 49 min
Que faire de l’épargne des Français ? Anne-Laure Delatte Europe1.fr, 15/03 – 25 min
Commissaire Guillaume, Commissaire Maigret : quand la fiction se substitue la réalité Laurent Joly Franceinter.fr, 15/03 – 54 min
En Ariège, des volontaires se confinent 40 jours dans une grotte, « hors du temps » France24.com, 15/03 – 3 min
DANS LA PRESSE PRO
Le difficile combat contre la ségrégation des métiers Marc Bessin ASH, 12/03 – 9 min
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Covid-19 : une origine toujours inconnue, prédominance du variant anglais, big pharmas Un an après le premier épisode de confinement, La Tribune dresse le bilan de ce que la science a permis d’apprendre sur le SARS-CoV-2. L’enquête de l’OMS n’a pas permis d’identifier l’origine du nouveau coronavirus. A ce jour, « nous possédons deux certitudes permettant de comprendre les chaînes de transmissions originelles. Des virus cousin du SARS-CoV-2 ont été échantillonnés chez les chauves-souris du sud de la Chine et du Cambodge. Et l’épidémie a manifestement explosé initialement à Wuhan », résume Etienne Decroly. Pour le reste, « il nous manque tous les maillons de la chaîne de transmission et nous ne disposons que d’hypothèses ». Le Parisien observe que le variant britannique représente aujourd’hui environ 70 % des tests positifs, contre 5% pour chacun des variants brésilien et sud-africain. Si le variant brésilien pourrait avoir une plus forte transmissibilité que le variant anglais, cela n’est pas démontré pour le variant sud-africain, relève Samuel Alizon. Yves Gaudin rappelle que le variant anglais est arrivé en premier, ce qui lui a donné une « longueur d’avance ». La Tribune s’intéresse au Covid-19 en tant que nouveau segment pour l’industrie pharmaceutique. Les laboratoires se sont très vite positionnés sur certaines molécules et technologies, prenant le risque de connaître la réussite ou l’abandon. Dans le domaine des tests Covid-19, le test salivaire mis au point par SkillCell et Sys2Diag figure parmi les réussites à distinguer. Latribune.fr, 15/03 – 10 min Leparisien.fr, 15/03 – 5 min Latribune.fr, 16/03 – 9 min
D’infimes détails du sang observés dans le cerveau Une équipe française de chercheurs est parvenue à cartographier le réseau vasculaire cérébral chez le patient humain à des échelles jamais atteintes jusque-là. Le flux sanguin a été repéré dans des vaisseaux du cerveau de seulement quelques dizaines de micromètres de diamètre. Une prouesse permise grâce à une technologie non-invasive et non-ionisante baptisée « microscopie par localisation ultrasonore ». Larecherche.fr, 15/03 – 3 min CNRS, 16/03
La calotte glaciaire du Groenland a déjà disparu et pourrait disparaître de nouveau Dans une étude publiée lundi dans les PNAS, des chercheurs américains et européens montrent que la calotte groenlandaise a disparu au moins une fois au cours du dernier million d’années, sous un climat à peine plus chaud que l’actuel. Leurs résultats suggèrent l’existence d’un point de non-retour, qui se situerait entre 1,5 °C et 2,5 °C de réchauffement climatique, et dont nous serions proches aujourd’hui. « Il s’agit d’une observation empirique géologique qui renforce l’importance de limiter le réchauffement anthropique en deçà de 2 °C, et plus sûrement de 1,5 °C, comme le prévoit l’accord de Paris sur le climat », déclare Pierre-Henri Blard. Mediapart publie un entretien avec deux chercheurs, dont Gilles Ramstein, au sujet de la perspective de bascules irrémédiables pour le climat. Lemonde.fr, 15/03 – 6 min Francebleu.fr, 16/03 – 2 min Mediapart.fr, 16/03 – 2 min
Une météorite trouvée en Algérie est aussi ancienne que le système solaire Une météorite issue d’une protoplanète apparue dans le premier million d’années de notre système solaire a été identifiée par des scientifiques comme étant la plus ancienne d’origine volcanique. Baptisée Erg Chech 002, elle a atterri dans le sud algérien il y a au moins une centaine d’années. Son corps-parent s’est formé dans le premier million d’années du système solaire, selon les calculs notamment de Johan Villeneuve. L’étude est parue dans les PNAS. La-croix.com, 16/03 – 4 min
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