Fwd: [CNRS Presse] CNRS : Synthèse de presse – 18 mars 2022

 

VIE DU CNRS

ET AUSSI…

 

 

Le Hcéres prépare l’évaluation du CNRS en 2023

Le département d’évaluation des organismes nationaux de recherche du Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (Hcéres) a entamé les travaux de préparation de l’évaluation du CNRS, qui sera réalisée en 2023. La préparation du dossier d’auto-évaluation du CNRS se déroulera entre mars et décembre 2022. La visite du comité d’évaluation aura lieu en mai 2023 et le rapport d’évaluation sera publié à l’automne 2023. Le Hcéres prépare également la mise en place d’un comité d’experts de dimension internationale, qui sera présidé par Martin Vetterli, président de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne.

Bulletin Quotidien, 18/03 – Temps de lecture : 2 min

 

 

 

Maladie de Creutzfeldt-Jakob : Inrae reconnaît la mort d’agents probablement contaminées par des accidents de laboratoire

Leparisien.fr, 17/03 – 2 min

 

Toulouse. Une mission franco-chinoise à la recherche des messages des premières étoiles de l’Univers

Ladepeche.fr, 18/03 – 3 min

 

Télescope James Webb : dans les entrailles de l’instrument MIRI, développé en Europe

Nextinpact.com, 17/03 – 7 min

 

Environnement. Le grand hamster victime de carences alimentaires

Caroline Habold

Dernières Nouvelles d’Alsace, 18/03 – 4 min

 

Lot : plus de 5 ans de recherches historiques sur le vin de Cahors

Léonard Laborie

Ladepeche.fr, 17/03 – 4 min

 

Sur la Côte d’Azur, un robot sous-marin sonde les mers pour mieux comprendre le climat

Hervé Claustre

Francetvinfo.fr, 17/03 – 2 min

 

Ariège : Le sable du Sahara va accélérer « la fonte du manteau neigeux »

Simon Gascoin

Ladepeche.fr, 17/03 – 2 min

 

Aux Etats-Unis, on tue les frelons asiatiques grâce à… leur libido

Lepoint.fr, 18/03 – 3 min

 

Santé : comment les fourmis pourraient devenir un allié de poids dans le dépistage du cancer ?

Midilibre.com, 17/03 – 2 min

CNRS, 09/03

 

Semi-conducteurs : à Caen, le japonais Murata accélère sur l’infiniment petit

Latribune.fr, 18/03 – 3 min

 

 

DANS LA PRESSE PRO

 

Les basophiles, un rôle clé contre le Covid

Le Quotidien du Médecin Hebdo, 18/03 – 2 min

 

Après la pandémie : l’urgence de vulgariser la science au plus grand nombre

Emmanuel Bacry

Le Quotidien du Médecin Hebdo, 18/03 – 4 min

 

 

 

ACTUALITE DES LABORATOIRES

 

 

Guerre en Ukraine : suspension d’ExoMars, le « délire » de Poutine, « Slava Ukraini »

Le site de TF1 Info rapporte que l’Agence spatiale européenne a annoncé jeudi la suspension de la mission russo-européenne ExoMars, suite à la fin de sa coopération avec l’agence spatiale russe Roscosmos en raison de la guerre en Ukraine. Le lancement devait avoir lieu en septembre 2022. Il y a deux semaines, l’ESA jugeait déjà « improbable » un décollage de son rover dans les temps impartis. « C’est un crève-cœur pour la science et les scientifiques qui ont tissé des liens au fil des années et investi des années de travail », avait réagi Isabelle Sourbès-Verger.

Dans Le Figaro, l’historien Stéphane Courtois signe un article expliquant que Vladimir Poutine n’a pas déclenché cette guerre sur un coup de folie, comme le suggèrent certains observateurs, mais bien plus en raison d’un « processus psychosocial, à savoir le délire logique ». L’historien revient sur le parcours du président russe pour décrire comment ce dernier a perdu contact avec la réalité, puis développé le fantasme de la reconstruction d’un empire.

Depuis l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe, rarement « Slava Ukraini » (gloire à l’Ukraine) n’aura autant été scandé dans le pays et à travers le monde. RFI a invité Ioulia Shukan à expliquer pourquoi les Ukrainiens sont plus que jamais unis face à l’envahisseur et comment le sentiment d’appartenance à la nation ukrainienne s’est construit.

Tf1info.fr, 17/03 – 4 min

Le Figaro, 18/03 – 6 min

Rfi.fr, 17/03 – 1 min

 

Présidentielle 2022 : discours d’Emmanuel Macron, vote des jeunes

Alors que le président Emmanuel Macron, candidat à sa réélection, a présenté son programme jeudi, à Aubervilliers, France 3 Provence-Alpes-Côte-d’Azur revient sur les travaux de chercheurs de Nice qui, il y a un an, avaient utilisé l’intelligence artificielle pour prédire ce discours. Si l’algorithme cocréé par Damon Mayaffre n’a pas pu prévoir l’actualité, à savoir la guerre en Ukraine, il a toutefois su « parler comme » le candidat Emmanuel Macron. Ce dernier « aime utiliser des mots avec le suffixe en ‘sion’, qui marquent le résultat d’un processus. Il a l’obsession de se montrer comme un homme en mouvement », commente le chercheur. Interviewée par La Voix du Nord, la sociologue Anne Muxel affirme que, contrairement à une idée reçue, « le vote à l’opposé des parents est très rare ». En effet, « il n’y a pas plus de 10 à 12 % de la population qui se positionne dans camp politique opposé à celui de leurs parents (…). On vote à droite, à gauche ou ni de droite, ni de gauche, comme ses parents ». De même, « le fait que les parents s’abstiennent donne plus de probabilité que les enfants » s’abstiennent aussi.

France 3 Régions, 17/03 – 4 min

Lavoixdunord.fr, 17/03 – 3 min

 

60e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie

Les accords d’Evian du 18 mars 1962 ont mis fin à la guerre entre l’Algérie et la France. Soixante ans après, un fossé mémoriel persiste entre les deux pays, observe France 3 Provence-Alpes-Côte-d’Azur, qui cite notamment Karima Dirèche. Quand il s’agit d’évoquer la guerre d’Algérie et les 130 ans de colonisation, les mémoires restent « compartimentées », constate l’historienne. De son côté, Le Monde publie un entretien avec Sylvie Thénault, auteur du livre « Les Ratonnades d’Alger,1956 » (Barzakh/La Découverte). L’historienne décrit les violences qui ont eu lieu à Alger le 29 décembre 1956 et explique comment ses recherches l’ont amenée à y déceler « une forme de violence de masse ».

France 3 Régions, 18/03 – 4 min

Le Monde, 18/03 – 3 min

 

 

 

 

 

Cette synthèse de presse résume des articles mentionnant des chercheurs ou des laboratoires du CNRS et elle ne peut en aucun cas être interprétée comme reflétant le point de vue du CNRS.

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