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Le coût d’accès aux publications scientifiques Face à une dérive des coûts, l’université de Californie a renoncé à ses abonnements aux publications scientifiques du groupe Elsevier. Le modèle économique des éditeurs scientifiques est extrêmement rentable (les marges d’Elsevier seraient de 40%) et très coûteux pour les chercheurs et les organismes scientifiques. En réponse, plusieurs initiatives ont été lancées dans l’édition en libre accès, où seules les soumissions d’articles sont payantes, ou dans des plateformes totalement libres, comme Peer Community In (PCI). Celle-ci évalue les travaux que les chercheurs ont déposés sur des serveurs dits de pre-print ou des archives publiques, telles que HAL. Les articles soumis à PCI sont examinés par des chercheurs qui transmettent les plus importants à des pairs pour évaluation. Sciencesetavenir.fr, 17/07 – Temps de lecture : 5 min
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Sécheresse : histoires (de manque) d’eau Bernard Barraqué France24.com, 18/07 – 4 min Peut-on concevoir des nouveaux antibiotiques à partir de molécules bactériennes ? Laurence Choulier Larecherche.fr, 18/07 – 4 min La raie manta peut-elle vraiment « demander de l’aide » à un humain ? Francoise Gaill Lci.fr, 18/07 – 2 min À quoi vont ressembler les carburants du futur ? Bfmtv.com, 18/07 – 3 min « Les scènes de liesse des supporters algériens sont un pied de nez aux discriminations » Julien Talpin NouvelObs.com, 19/07 – 5 min Comment remotiver les élus locaux ? Luc Rouban FranceInter.fr, 18/07 – 2 min Au Soudan du Sud, la guerre fait régner la répression Marc Lavergne Liberation.fr, 18/07 – 4 min DANS LA PRESSE PRO L’Europe veut se renforcer sur les supercalculateurs Linformaticien.com, 18/07 – 5 min
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Les 50 ans de la conquête de la Lune La mission Apollo 11, qui a déposé les astronautes américains sur la Lune, continue de livrer des données scientifiques. Clément Courde explique que des impulsions laser sont envoyées quotidiennement vers le réflecteur déposé par Apollo 11, depuis la station de Calern (Alpes-Maritimes), pour mesurer la distance entre la Terre et la Lune. Isabelle Sourbès-Verger souligne que la conquête de la Lune correspondait à un projet politique pour les États-Unis, qui souhaitaient démontrer leur supériorité technologique sur l’URSS. Aujourd’hui, la volonté de retour sur la Lune exprimée par plusieurs pays renvoie à une volonté de domination mondiale, mais sans projet politique structurant. Si Donald Trump s’est fixé la date de 2024 pour faire de nouveau alunir des Américains, la Chine pourrait devancer les États-Unis, estime Athena Coustenis. Alessandro Morbidelli rappelle que la Lune s’est formée il y a 4,46 milliards d’années, à la suite de la collision de la proto-Terre avec un impacteur de la taille de la planète Mars appelé Théia. Futura-Sciences.com, 18/07 – 5 min Lci.fr, 18/07 – 5 min Businessinsider.fr, 18/07 – 7 min Euronews.com, 18/07 – 2 min Les principes de la première photographie d’un trou noir Julien Grain souligne la prouesse scientifique et technologique que représente la première photographie d’un trou noir. Il explique que la stratégie consiste à observer la lumière émise par le gaz chaud en orbite au plus près d’un trou noir. Les travaux de Jean-Pierre Luminet ont permis également de comprendre qu’il était possible de saisir l’ombre du trou noir, un disque opaque et sombre qui se superpose à un fond lumineux. Lelephant-larevue.fr, 18/07 – 5 min Mutualiser la recherche sur le moustique tigre Les insectariums du Mivegec, à Montpellier, constituent un des piliers du réseau Vectopole Sud, qui vise à mutualiser la recherche sur les insectes vecteurs de la propagation des virus et des pandémies dans le monde. Le moustique tigre, porteur de la dengue, du virus Zika ou du chikungunya, représente une menace croissante pour les populations. Le Figaro Magazine, 19/07 – 8 min
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