Fwd: [CNRS Presse] CNRS : Synthèse de presse – 2 septembre 2022

 

 

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SYNTHESE DE PRESSE QUOTIDIENNE

 

2 septembre 2022

 

 

 

 

 

VIE DU CNRS

ET AUSSI…

 

Var : visite du terrain du futur pôle scientifique MEUST

Daniel Barde, chef du service patrimoine du CNRS Côte d’Azur, Clara Herer, Déléguée régionale CNRS Côte d’Azur, et Nathalie Bicais, maire de La Seyne-sur-Mer, se sont rendus sur le terrain qui accueillera le futur pôle scientifique MEUST (Mediterranean Eurocentre for Underwater Sciences and Technologies). Dans la zone portuaire de Brégaillon, seront réunis, à partir de 2024, l’Institut méditerranéen d’océanologie, le Centre de physique des particules de Marseille et la division technique de l’institut national des sciences de l’Univers du CNRS. « Aujourd’hui, la science ne se fait plus en silos mais en mélangeant les disciplines. Le fait d’avoir un campus capable de réunir des scientifiques de différentes disciplines favorise les collaborations. » , explique Clara Herer. La première pierre du projet devrait être posée au début de l’année 2023.

Var Matin, Nice Matin, Corse Matin, 02/09 – Temps de lecture : 3 min

 

Visites insolites du CNRS : renouer le lien avec le public

Sur son site Web, France 3 Paris Île-de-France présente les visites insolites du CNRS dans la région. Pour participer aux visites organisées à l’Observatoire de Meudon ou encore au Laboratoire de chimie de la matière condensée de Paris, le public doit au préalable répondre à un formulaire constitué de questions scientifiques, qui restent à la portée du plus grand nombre. « C’est la méthode de sélection qu’on a choisie pour organiser des visites en petit comité, ça permet d’avoir des contacts privilégiés avec les scientifiques, explique Alicia Périno, chargée de communication au CNRS. Pour chaque visite, pour chaque thème, il y a des questions différentes, il faut s’informer. » Alicia Périno souligne que les visites insolites visent notamment à « renouer avec ces publics qui tournent le dos aux sciences ».

Francetvinfo.fr, 01/09 – 3 min

 

 

Diam’s : Française et musulmane

Eric Fassin

Radiofrance.fr, 01/09 – 2 min

 

Des « pierres (faussement) guérisseuses » : le juteux business de la lithothérapie

Romy Sauvayre

Lexpress.fr, 01/09 – 7 min

 

Arts de la table : la classe sociale fait la vaisselle

Mathilde Cohen

Libération, 02/09 – 7 min

 

Vrai ou fake : les centrales nucléaires contribuent-elles au réchauffement de la Méditerranée, comme l’assure Jean-Luc Mélenchon ?

Sylvain David

Francetvinfo.fr, 02/09 – 5 min

 

Sécheresse : tout part à vau-l’eau ?

Agnès Ducharne, Agathe Euzen

France Culture, 01/09 – 3 min

 

Aux origines de notre bipédie

Jean-Renaud Boisserie

France Inter, 01/09 – 3 min

 

DANS LA PRESSE PRO

 

« Il y aura moins d’eau dans les sols, les nappes et les rivières en été »

Agnès Ducharne

Lagazettedescommunes.com, 01/09 – 3 min

 

 

ACTUALITE DES LABORATOIRES

 

 

Canicules marines : un impact fort sur les espèces méditerranéennes

Thierry Pérez, spécialisé en écologie marine, alerte sur l’impact des canicules marines sur la faune autour de Marseille. « Même s’il est encore trop tôt pour évaluer l’impact du réchauffement sur les 18 000 espèces visibles à l’œil nu qui y évoluent, il est probable qu’un nombre important d’entre elles ait été touchées », explique-t-il dans Libération. Deux espèces de la famille des gorgones, le corail rouge et la gorgone pourpre, s’avèrent fortement touchées, notamment jusqu’à 25 mètres de profondeur. Sur le site de TF1, il ajoute que l’éponge de bain, qui connaît une situation très difficile, pourrait même s’éteindre localement.

Libération, 02/09 – 1 min

Liberation.fr, 01/09 – 4 min

Tf1info.fr, 01/09 – 3 min

 

Une nouvelle méthode pour évaluer la vulnérabilité des écosystèmes

Alors que les États se sont engagés à créer des zones protégées sur au moins 30 % de leurs territoires terrestres et maritimes d’ici 2030, une équipe de recherche internationale a mis au point un nouvel outil permettant de quantifier la vulnérabilité des communautés d’espèces. Pour calculer la vulnérabilité des écosystèmes, les scientifiques ont simulé par ordinateur des perturbations répétées et de différentes natures sur des communautés d’espèces : changement climatique, changement d’usage des terres, pollution, surexploitation des ressources. L’originalité de ce nouvel outil repose sur le fait que le calcul de vulnérabilité va au-delà de la seule diversité taxonomique, comme le nombre d’espèces dans un écosystème, en prenant aussi en compte la diversité fonctionnelle.

Actu-Environnement.com, 01/09 – 2 min

Cnrs.fr, 01/09

 

Face au réchauffement, les plantes alpines montent en altitude

France Bleu Isère présente un reportage sur le jardin botanique alpin du Lautaret, à plus de 2 000 mètres d’altitude dans les Hautes-Alpes, où des dizaines de scientifiques cherchent à mieux connaître les plantes de montagne et leur milieu. Les effets du réchauffement climatique sont visibles : pour tenter de retrouver des conditions de vie plus froides et plus humides, les plantes grimpent un peu plus en altitude mais « on va se retrouver avec des espèces qui vont être coincées et qui vont finir par disparaître, souligne Maxime Rome. Il y a des travaux qui montrent que les Alpes sont en train de reverdir et ce n’est pas forcément très bon signe, ça veut dire que les zones qui étaient rocailleuses, de haute altitude où avant il y avait des glaciers sont en train de verdir. »

Francebleu.fr, 01/09 – 3 min

 

Un investissement bienvenu pour la recherche psychiatrique

Quatre-vingts millions d’euros sur cinq ans vont être alloués au projet de recherche en psychiatrie Propsy, dans le cadre du programme d’investissement d’avenir. Dirigé par Marion Leboyer, Propsy est centré sur quatre troubles mentaux : la bipolarité, la dépression, la schizophrénie et l’autisme. Marion Leboyer estime que son domaine est à un tournant avec l’avènement d’une « médecine de précision ». En identifiant des sous-groupes de maladies, on peut proposer des thérapies « sur-mesure » et donc plus efficaces.

Les Échos, 02/09 – 3 min

 

Vers une sobriété énergétique des applications

Avec la croissance continue des usages numériques, les applications représentent une part importante de la consommation énergétique. Au CNRS, une équipe travaille à les rendre plus sobre. Romain Rouvoy explique que « la première étape pour relever un tel défi est d’estimer la consommation énergétique des programmes actuels et d’identifier les portions de code informatique particulièrement consommatrices. C’est la pierre angulaire dans la conception de systèmes plus efficients ». Anne-Cécile Orgerie travaille pour sa part sur une utilisation plus intelligente des énergies renouvelables, avec le développement de codes permettant de reporter l’exécution des applications de smartphones sollicitant les serveurs à des moment de production d’énergie renouvelable.

Nextinpact.com, 01/09 – 5 min

 

 

INNOVATION

 

 

Les objectifs de One Biosciences

Créée en juillet 2020, la start-up One Biosciences a pour ambition de figurer parmi les futurs leaders mondiaux de la médecine de précision. Dans une interview à Techniques-ingenieur.fr, Céline Vallot, co-fondatrice de la start-up et lauréate de la médaille de l’innovation 2022 du CNRS, explique que One Biosciences vise à dresser des « cartes d’identité » épigénétiques des cellules. Pour parvenir à établir ces cartes d’identités cellulaires individuelles, l’entreprise fait notamment appel à des techniques dites de « microfluidique », permettant d’encapsuler chacune des cellules d’un tissu et donc, in fine, d’en séquencer chacune des molécules d’ARN.

Techniques-ingenieur.fr, 01/09 – 4 min

 

 

 

 

 

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