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POLITIQUE DE LA RECHERCHE |
ET AUSSI… |
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Selon la Fage, les conditions du statut de doctorant sont souvent précaires La Fédération des associations générales étudiantes (Fage) a publié mardi une étude mettant en lumière les conditions de travail difficiles des doctorants. Menée de mai à août 2022 auprès d’environ 2 000 doctorants, cette étude révèle que 25,8 % d’entre eux n’ont obtenu aucun financement pour leur recherche – un chiffre qui atteint 61 % dans le domaine des sciences humaines et sociales. 26 % ont reçu un financement qui ne leur permet pas de subvenir à leurs besoins. Les résultats pointent également un manque de financement des dépenses inhérentes au travail de recherche, un défaut d’encadrement et l’existence de cas de harcèlement moral, de violence sexiste ou de discrimination. La Fage constate que les doctorants sont de moins en moins nombreux en France : leur population est passée de plus de 81 000 (2009-2010) à 70 000 pour l’année universitaire 2020-2021, soit une baisse de 13 %. Consciente de ces difficultés, la ministre de l’enseignement supérieur, Sylvie Retailleau, a annoncé, à la mi-septembre, des mesures destinées à « revaloriser » le doctorat. Lefigaro.fr, 20/09 – 4 min La Croix, 21/09 – 3 min L’Humanité, 21/09 – 1 min
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Thomas Pesquet, Etienne Klein et Cédric Villani : les cracks de la science ont rendez-vous au Havre Leparisien.fr, 21/09 – 3 min
Pesticides : 20 % des Français ont reçu de l’eau potable non conforme en 2021 Mickaël Derangeon Lemonde.fr, 21/09 – 12 min
Alzheimer : des cerveaux de mouches étudiés afin de mieux comprendre la maladie Thomas Preat Francetvinfo.fr, 21/09 – 2 min
L’ère des Biopiles est pour demain Serge Cosnier Science-et-vie.com, 22/09 – 8 min
On vous explique pourquoi la diminution des particules fines sur la neige atténue les effets du réchauffement climatique dans les Pyrénées Simon Gascoin France 3 Régions, 21/09 – 2 min
Subventions d’Alternatiba : « Ce n’est pas surprenant que ce soit une association écologiste qui soit ciblée » Julien Talpin France 3 Régions, 21/09 – 10 min
Comment Eric Piolle a fait de Grenoble le laboratoire de l’écologie politique Nadir Boumaza Lesechos.fr, 21/09 – 13 min
A quoi pourrait ressembler la fin de l’abondance ? (4/4) : privation, abstinence, ascèse… est-ce l’avenir ? Isabelle Kalinowski France Culture, 22/09 – 59 min
Violences sexistes en politique : l’épineux chemin de l’exemplarité Geneviève Fraisse France Culture, 22/09 – 64 min
« Le vaccin c’est de la cochonnerie, les médiums me l’ont dit » : au salon du bien-être, santé rime avec magie Romy Sauvayre Lemonde.fr, 21/09 – 3 min
DANS LA PRESSE PRO
Après le Covid, quel avenir pour le dispositif de surveillance des eaux usées ? Le Quotidien du Médecin, 23/09 – 6 min
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Alzheimer. Des chercheurs planchent sur le rôle de certains virus et microbes Une équipe toulousaine de scientifiques planche sur l’implication de virus et microbes tels que l’herpès, la toxoplasmose et Epstein-Barr dans le développement ou l’aggravation de la maladie d’Alzheimer. Ces agents pathogènes « s’installent de façon latente dans l’organisme. Nous pensons que cela peut parfois causer des modifications de l’immunité, qui ne jouerait alors plus son rôle correctement dans le ‘nettoyage’ des protéines amyloïde et tau », explique Elsa Suberbielle. Des études ont récemment montré une corrélation entre l’indice de cognition de patients et la présence dans leur cerveau d’un certain type de globules blancs, des lymphocytes T spécifiquement dirigés contre le virus de la mononucléose – des cellules absentes chez les personnes non malades. L’équipe toulousaine va chercher des indices similaires pour la toxoplasmose et l’herpès en analysant le sang de 300 patients et en le comparant à celui de sujets sains. A terme, ces travaux pourraient déboucher sur des biomarqueurs spécifiques d’Alzheimer, voire au blocage du processus de la maladie. Lexpress.fr, 21/09 – Temps de lecture : 3 min
Le changement climatique est-il plus rapide qu’attendu ? En couverture, Le Point alerte sur l’accélération du réchauffement climatique. La multiplication des événements climatiques extrêmes dans le monde entier semble en effet indiquer que le changement est bien plus rapide que les précédents rapports du Giec (2014) ne le prévoyaient. Le sixième rapport, publié à l’automne 2021, serait même déjà dépassé dans certains domaines. Le magazine s’intéresse à la vingtaine de modèles numériques utilisés par le Giec pour bâtir ses cinq scénarios, du plus optimiste au plus pessimiste. Il se fonde notamment sur les explications de Julie Deshayes, Frédéric Hourdin et Florent Dominé. Le Point, 22/09 – 9 min
Analyse de l’engagement des femmes dans la lutte armée Slate présente le livre « On ne va pas y aller avec des fleurs » (Hors d’Atteinte) d’Alexandra Frénod et Caroline Guibet Lafaye. L’ouvrage est un recueil d’entretiens avec neuf femmes qui ont recouru à la violence politique à un moment donné de leur vie, entre 1970 et la fin des années 2010. Ces entrevues sont issues d’un programme de recherches initié en 2015 par des chercheuses et chercheurs en histoire, sociologie, sciences politiques et philosophie. Passionnants, ces itinéraires entrecroisés dessinent une carte qui, en vertu même de la singularité des chemins de vie présentés, déjoue le concept réducteur de terrorisme, écrit le média en ligne. Slate.fr, 21/09 – 4 min
Réflexion sur la crédulité L’Express publie un entretien avec Hugo Mercier, auteur de l’ouvrage « Pas né de la dernière pluie » (HumenSciences). Le chercheur y montre, à contre-courant de la croyance très répandue selon laquelle les gens sont crédules, que nous savons en réalité filtrer les informations qui nous parviennent et décider à bon escient qui croire et ne pas croire. « La propagande nazie est un bon exemple. Le premier à avoir relativisé son effet était l’historien Ian Kershaw en 1983, à partir de données qualitatives et notamment des rapports d’opinion réalisés par les nazis eux-mêmes. Malgré le caractère rudimentaire de leurs méthodes, ils constatèrent que leur propagande ne marchait pas très bien », déclare Hugo Mercier. Lexpress.fr, 22/09 – 17 min
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INNOVATION |
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La technologie « tout solide » pourrait révolutionner les batteries Sciences et Avenir consacre un article au potentiel de la technologie « tout solide » dans le domaine des batteries de véhicules électriques. Aujourd’hui, si des progrès spectaculaires ont été réalisés en matière de capacité, l’autonomie reste le point faible. Le magazine cite les explications de Jean-Marie Tarascon concernant l’avancée de la recherche sur les batteries lithium-ion. « Les batteries ne sont utilisées qu’à environ 70 % de leur capacité car au-delà on craint pour la sécurité, indique-t-il. Si nous avions accès à des ‘observables’ comme la température interne ou la présence de réactions chimiques parasites, nous pourrions contrôler l’état de santé de la batterie en temps réel et l’utiliser au mieux de ses performances. Nous testons actuellement différentes fibres optiques afin d’accéder à l’intérieur des batteries en fonctionnement. » Sciences et Avenir, 01/10 – 7 min
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