Fwd: [CNRS Presse] CNRS : Synthèse de presse – 30 juin 2022

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POLITIQUE DE LA RECHERCHE

ET AUSSI…

 

 

Nomination

Estelle Iacona a été élue à la présidence de l’université Paris-Saclay. L’ancienne directrice générale déléguée de Centrale Supélec en assurait l’intérim depuis la nomination, en mai dernier, de Sylvie Retailleau au poste de ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.

Bulletin Quotidien, 30/06 – Temps de lecture : 1 min

La Correspondance économique, 30/06 – 1 min

 

 

 

Covid-19 : « Le port du masque seul ne peut pas suffire à freiner l’épidémie »

Bruno Canard, Mircea Sofonea, Samuel Alizon

Lejdd.fr, 29/06 – 4 min

Francetvinfo.fr, 29/06 – 4 min

 

Qu’est-ce qu’un bon député ?

Olivier Costa

Franceculture.fr, 29/06 – 38 min

 

L’« Horloge Parlante » raccroche près d’un siècle après sa création

Michel Abgrall

La-croix.com, 29/06 – 2 min

 

Standing ovation pour les lauréates du prix « Pour les femmes et la science »

Françoise Combes

Challenges, 30/06 – 4 min

 

L’astéroïde Ryugu est encore plus primitif que prévu

Jérôme Aléon

Le Figaro, 30/06 – 4 min

 

Le planétarium du Sud-Manche attend son lancement

Milan Maksimovic

Ouest-France.fr, 30/06 – 2 min

 

« Le phénomène de petite voix intérieure n’est pas universel »

Hélène Loevenbruck

Libération, 30/06 – 8 min

 

Jusqu’où nous entraînera l’imagerie médicale ?

Laure Blanc Féraud

Rfi.fr, 29/06 – 49 min

 

Océans, l’état d’urgence

Marina Levy

Rfi.fr, 29/06 – 20 min

 

Une start-up iséroise propose une alternative aux emballages plastiques

Francebleu.fr, 30/06 – 2 min

 

Afghanistan : un très riche patrimoine en danger

Bastien Varoutsikos

Lemonde.fr, 30/06 – 4 min

 

80 ans après l’horreur, des rescapées de la rafle du Vél’ d’Hiv se souviennent

Laurent Joly

Parismatch.com, 29/06 – 2 min

 

 

 

 

VIE DU CNRS

 

 

Le rôle de la recherche dans la greentech

Selon Bpifrance, jusqu’à 30 % des greentechs françaises sont issues de la recherche. « De plus en plus de recherches fondamentales donnent naissance à des start-up », confirme Jean-Luc Moullet, directeur général délégué de l’innovation au CNRS. L’organisme de recherche a engendré 2 000 pépites depuis les années 1980 et ses chercheurs en créent aujourd’hui entre 80 et 100 par an. L’Opinion relève que les scientifiques sont aujourd’hui plus soucieux de l’impact de leurs travaux sur la société. Par exemple, à son arrivée à la tête du CNRS, il y a quatre ans, Antoine Petit a donné pour consigne d’orienter les travaux de recherche en direction de six défis sociétaux, dont le changement climatique, la transition énergétique, la santé et les territoires du futur. Il a par ailleurs regroupé les laboratoires par affinités, facilitant le rapprochement avec les industriels. Le magazine cite huit exemples de start-up innovantes, parmi lesquelles figure la start-up Carbios, qui a conçu, avec le CNRS et l’université de Toulouse, un procédé naturel à base d’enzymes pour traiter les déchets plastiques.

L’Opinion, 30/06 – 8 min

 

Le CNRS a présenté Nanomade au salon Vivatech

Au salon Vivatech 2022, le CNRS a porté des thématiques répondant à des défis dans les domaines de la santé, du développement durable et du numérique. Il a notamment présenté la start-up Nanomade, qui a développé un procédé rendant n’importe quel objet tactile grâce à ses capteurs de pression à base d’une encre de nanoparticules. « Cette année, nous avons proposé à des start-up plus ‘matures’ de nous accompagner. Après avoir, pour certaines, bénéficié des outils d’accompagnement du CNRS tels que la pré-maturation, la maturation ou encore le programme Rise ; elles ont levé des fonds auprès d’investisseurs, souvent de manière significative, et sont aujourd’hui à l’aube de toucher le marché avec des innovations au réel impact sur la société », explique Jean-Luc Moullet, directeur général délégué à l’innovation au CNRS.

Usinenouvelle.com, 29/06 – 2 min

 

 

 

ACTUALITE DES LABORATOIRES

 

 

Des femmes astronomes « effacées de l’histoire »

A l’occasion de la réédition de son livre « Femmes astronomes », Yaël Nazé accorde un entretien au Figaro. Les femmes ont longtemps été reléguées à des seconds rôles du fait, notamment, d’un moindre accès à l’éducation et aux observatoires, déplore l’astrophysicienne. Pourtant, leurs contributions vont « de la découverte de la loi permettant de mesurer des distances dans l’univers à la compréhension de la manière dont sont créés les atomes dans les étoiles, en passant par la découverte de nombreuses comètes et astéroïdes ». Aujourd’hui, la situation « est loin d’être parfaite, mais elle s’améliore ». « Si l’on regarde les 12 000 astronomes professionnels membres de l’Union astronomique internationale en 2022, on compte 21 % de femmes », précise Yaël Nazé.

Le Figaro, 30/06 – 5 min

 

Le cerveau et l’effort

Pénurie de main-d’œuvre, manque d’ambition, révolte contre des sujets du baccalauréat jugés trop difficiles… Le Point observe que le sens de l’effort se perd et s’interroge sur l’éventualité que notre civilisation soit devenue fainéante. « Cette paresse intellectuelle qui cherche la facilité fait le lit des préjugés, des stéréotypes, de l’égocentrisme, des fakes news, du complotisme, des radicalisations, etc. », prévient Olivier Houdé, qui explique que le cerveau peut pourtant « mettre en sourdine » les automatismes faciles grâce à « un mécanisme de blocage : l’inhibition ». Le Point présente les travaux de Sébastien Bouret sur les bases neurobiologiques de l’effort. Le rôle de la noradrénaline en tant que source de l’énergie a été mis en évidence.

Le Point, 30/06 – 19 min

Le Point, 30/06 – 5 min

 

Pourquoi ?

La Recherche publie un entretien avec Philippe Huneman, philosophe des sciences, à propos de la question du « pourquoi » dans la démarche scientifique. « Le mouvement des sciences fait que certaines questions qui étaient une limite au pourquoi à un moment donné ne le sont plus. Mais c’est alors toute la science qui a changé pour pouvoir donner une réponse, explique-t-il. Par induction, on pourrait supposer que certains pourquoi qui n’ont pas de réponse aujourd’hui en auront une dans le futur. Mais certains concepts seront tellement redéfinis que la question ne sera en réalité plus la même. »

Sciences et Avenir – La Recherche, 01/07 – 5 min

 

 

 

 

 

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