Fwd: [CNRS Presse] Synthèse de presse – 18 janvier 2022

 

 

VIE DU CNRS

ET AUSSI…

 

 

Un laboratoire commun CNRS/entreprise innove dans les marqueurs anti-fraude

La Croix consacre un article aux travaux du laboratoire commun « ChemInTag » (Chemical inorganic taggants) créé par l’Institut national des sciences appliquées, l’Institut des sciences chimiques de Rennes et la société Olnica pour développer des marqueurs luminescents de nouvelle génération. Le journal indique qu’un laboratoire commun CNRS/Entreprise se crée tous les quinze jours. Cette structure flexible s’avère primordiale pour lever des verrous scientifiques et technologiques, et ainsi générer des innovations.

La Croix, 18/01 – Temps de lecture : 2 min

 

 

 

Des ânes hybridés pour faire la guerre

Eva-Maria Geigl,

Le Figaro, 18/01 – 4 min

Liberation.fr, 14/01 – 4 min

CNRS, 14/01

 

« Bathybot » : au large de Toulon, le Wall-E des fonds marins

Christian Tamburini

Liberation.fr, 17/01 – 5 min

 

Présidentielle 2022 : Elyze, l’application qui veut vous aider à savoir pour qui voter

Thierry Vedel

La-croix.com, 17/01 – 5 min

 

Après l’échec du CFCM, l’État veut réorganiser l’islam de France

Franck Fregosi

Le Figaro, 18/01 – 7 min

Franceculture.fr, 18/01 – 13 min

 

« Eric Zemmour utilise l’histoire comme une arme »

Laurent Joly

France24.fr, 17/01 – 10 min

 

Yémen : récits de guerre, perspectives de paix

Laurent Bonnefoy

Franceculture.fr, 17/01 – 2 min

 

Climatique, politique, sanitaire, sociale… Une seule et même crise ?

Christophe Bonneuil

Franceculture.fr, 17/01 – 33 min

 

Sur cette église tu bâtiras ta fortune

Clément Lenoble

Franceculture.fr, 17/01 – 58 min

 

Mathématiques : comment la nature fait (parfois) écho au mythique « nombre d’or »

Gaëlle Chagny, Thierry de la Rue

20minutes.fr, 17/01 – 7 min

 

« Les réactions à “Don’t Look Up” font l’impasse totale sur la crise de la biodiversité »

Philippe Grandcolas

Lemonde.fr, 18/01 – 5 min

 

 

DANS LA PRESSE PRO

 

Des traces de glyphosate dans les urines

Le Quotidien du Pharmacien, 18/01 – 3 min

 

 

 

ACTUALITE DES LABORATOIRES

 

 

Covid-19 : impact du passe sanitaire, évolution épidémique, motivations des fraudeurs

Une étude à paraître ce mardi sur le site du Conseil d’analyse économique montre le fort impact du passe sanitaire sur l’adhésion à la vaccination anti-Covid-19, sur le nombre d’hospitalisations et la mortalité liés au Covid-19, ainsi que sur le PIB, indique Le Monde. Les auteurs, parmi lesquels figure Bary Pradelski, ont établi qu’entre juillet et décembre 2021, le passe a permis d’augmenter le taux de vaccination de 13 points en France, de 9,7 points en Italie et de 6,2 points en Allemagne. En France, sans ce dispositif, le nombre cumulé des admissions à la fin de 2021 aurait été 31 % plus élevé, celui des décès aurait atteint 16 000 au second semestre 2021 au lieu de 12 000 dans les faits, et le PIB hebdomadaire aurait été 0,6 % plus bas.

Observant que l’explosion du nombre de contaminations par Omicron ne s’accompagne pas d’un pic hospitalier, Aujourd’hui en France s’interroge sur la possibilité que cette vague puisse être la dernière. « Rien ne nous dit à ce jour que l’immunité naturelle ou vaccinale contre Omicron soit robuste dans le temps. Et même si elle l’est, nous savons maintenant qu’un variant peut échapper de manière très prononcée à l’immunité et coloniser la planète en quelques semaines », réagit Samuel Alizon. Dans Sud Ouest, le chercheur est interrogé sur les risques d’une contamination par deux souches différentes du SARS-CoV-2 et sur les caractéristiques des mutations des virus. « Il faut souligner que si, pour le moment, Omicron semble trois fois moins virulent que Delta (…), il n’en reste pas moins 5 à 10 fois plus virulent que la grippe », prévient-il. Samuel Alizon est également invité sur France Culture à apporter des informations sur l’évolution de l’épidémie.

Enfin, Les Echos s’intéressent à une étude sur les raisons pour lesquelles certaines personnes fraudent en se dotant d’un faux passe sanitaire ou vaccinal. Marie-Claire Villeval cite la sous-estimation des risques liés à la non-vaccination, la surestimation des risques de la vaccination, ainsi que la méconnaissance des peines encourues et du traitement médical reçu en cas d’hospitalisation.

Lemonde.fr, 18/01 – 6 min

Aujourd’hui en France, 18/01 – 3 min

Franceculture.fr, 17/01 – 58 min

Sudouest.fr, 17/01 – 11 min

Les Echos, 17/01 – 7 min

 

Les mesures en faveur de la qualité de l’air peuvent être rentables

Les résultats d’une étude pluridisciplinaire sur l’impact de politiques locales de lutte contre la pollution de l’air ont été publiés le 15 janvier dans la revue Environment International. Les chercheurs ont examiné différents scénarios permettant de diminuer de deux tiers la mortalité attribuable aux particules fines dans l’agglomération grenobloise. Ils ont montré qu’il était possible de réduire cette mortalité de 67 % entre 2016 et 2030 en remplaçant tous les équipements de chauffage au bois non performants par des poêles à granulés récents et en diminuant de 36 % le trafic des véhicules personnels. Ils ont également montré que le coût des investissements serait inférieur aux bénéfices sociétaux procurés. Les scénarios ne reposent que sur des politiques publiques réalisables, précise Sandrine Mathy, co-auteure de l’étude.

Actu-environnement.com, 17/01 – 4 min

Lequotidiendumedecin.fr, 17/01 – 2 min

Futura-sciences.com, 18/01 – 3 min

 

Un quotidien plus respectueux de la nature pose la question féministe du « Qui fait quoi ? »

Le Monde publie une interview de Geneviève Pruvost, qui a enquêté sur les personnes ayant choisi de vivre autrement du fait de la crise écologique. Souvent, une « prise de conscience les conduit à s’installer en territoire rural et à réinvestir des tâches liées à la vie quotidienne, vivrières ou artisanales », explique-t-elle. La sociologue observe une politisation du quotidien souvent inspirée par les théories féministes : « Dans la société industrielle, le travail de subsistance est délégué soit à des machines généralement polluantes, soit à des populations souvent féminines ou localisées dans des pays du Sud. Des théoriciennes écoféministes (…) montrent que la fabrique de la vie quotidienne peut aussi être une source d’émancipation à condition qu’elle soit inclusive, partagée, et qu’elle crée de nouvelles relations entre humains et avec la nature. »

Le Monde, 18/01 – 5 min

 

Une nouvelle utilité sociale pour les animaux de compagnie

Dans le cadre d’un débat sur la question « la médiation fait-elle du bien à l’animal ? », La Croix publie l’avis de Jérôme Michalon. Le « fort investissement symbolique, affectif et même financier » lié à l’animal de compagnie « génère une forme de critique sociale liée à l’oisiveté ». Mais si l’animal est placé « au service du soin, il retrouve une forme d’utilité sociale », explique-t-il.

La Croix, 18/01 – 3 min

 

 

 

 

 

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