POLITIQUE DE LA RECHERCHE |
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Le CPO propose un plafonnement du CIR Dans un rapport publié mercredi, le Conseil des prélèvements obligatoires (CPO) estime qu’il faut plafonner le crédit d’impôt recherche (CIR). L’organe rattaché à la Cour des comptes souligne une « efficacité limitée en termes de développement de la R&D privée ». Surtout, « l’effet d’entraînement des incitations fiscales à la recherche s’avère plus fort pour les PME que pour les entreprises de plus grande taille ». Or, près de la moitié de la créance totale du CIR, qui coûte plus de 6 milliards par an à l’Etat, est distribuée à 50 grands groupes seulement. Le CPO propose donc « un plafonnement progressif plus strict » : la suppression du taux de 3 % pour les dépenses de R&D dépassant 100 millions d’euros abaisserait le coût budgétaire pour les grandes entreprises à 1,1 milliard d’euros, contre 2,1 milliards d’euros aujourd’hui. Les Echos, 10/02 – Temps de lecture : 2 min
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Le variant Omicron BA.2 peut-il repousser l’échéance de la levée du passe vaccinal ? Samuel Alizon Marianne.net, 09/02 – 5 min
Pourquoi l’élection présidentielle 2022 intéresse peu ? Bruno Cautrès Francebleu.fr, 09/02 – 36 min
Influence médiatique, médias sous influences Arnaud Esquerre Franceculture.fr, 10/02 – 66 min
Quand le salaire s’affranchit du marché Claude Didry Franceculture.fr, 09/02 – 58 min
Botswana : dans les pas des premiers hommes, épisode 4 Laurent Bruxelles Tf1info.fr, 09/02 – 9 min
L’algue bretonne, une culture d’avenir Rfi.fr, 09/02 – 3 min
Quand les neurosciences travaillent à l’amélioration des performances des sportifs Camille Jeunet Francebleu.fr, 09/02 – 8 min
Pyrénées-Orientales : une luciole sud-américaine identifiée pour la première fois en France Marcel Koken 20minutes.fr, 09/02 – 1 min
Elections en Uttar Pradesh, le laboratoire indien Christophe Jaffrelot Franceinter.fr, 09/02 – 41 min
Kassim Tokaïev : le carburant de la révolte kazakhe Julien Thorez Franceculture.fr, 09/02 – 57 min
A l’ombre des combats, Proust face à la guerre Nathalie Mauriac Dyer Franceculture.fr, 09/02 – 51 min
Renouvellement du consortium IRT Nanoelec Lopinion.fr, 09/02 – 4 min
Vienne : cinq chercheurs poitevins portent un regard sur la société de demain Teko Napporn Lanouvellerepublique.fr, 10/02 – 3 min
DANS LA PRESSE PRO
Faut-il avoir peur de la Grande Sécu ? Carine Milcent Liaisons Sociales, 01/02 – 6 min
La recherche portuaire française affiche ses ambitions Carine Milcent Lemarin.ouest-france.fr, 08/02 Npi-magazine.com, 09/02 CNRS, 08/02
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VIE DU CNRS |
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Antoine Petit est reconduit à la tête du CNRS Mercredi, en Conseil des ministres, Antoine Petit a été reconduit en qualité de président du CNRS, fonction qu’il assume depuis janvier 2018. Le président de la République, Emmanuel Macron, avait proposé cette reconduction, qui avait ensuite été approuvée par le Parlement. « Je suis heureux et très honoré de pouvoir continuer à apporter ma contribution au fonctionnement et aux évolutions de cet extraordinaire établissement qui a tant fait, et fait tant, pour la recherche française et son rayonnement à travers le monde », a réagi Antoine Petit. Dans un communiqué, le PDG a déclaré vouloir mettre à profit son nouveau mandat de quatre ans à la tête du plus grand organisme de recherche français pour placer « la recherche fondamentale au service de la société ». Il portera une attention particulière « aux grands défis sociaux, au monde économique, et à l’aide à la compréhension et à la décision ». Plusieurs médias rappellent que, lors de ses récentes auditions devant le Parlement en vue de sa reconduction, Antoine Petit avait mis en garde les parlementaires sur un risque de « décrochage » scientifique de la France au niveau mondial, faute de moyens suffisants. Il avait considéré que si la LPR « a été une première étape » pour remettre le pays à niveau, pour autant « le compte n’y est pas ». Bulletin Quotidien, 10/02 – 1 min Sciencesetavenir.fr, 09/02 – 2 min Parismatch.com, 09/02 – 2 min Tv5monde.com, 09/02 – 2 min Les Dernières Nouvelles d’Alsace, 10/02 – 1 min CNRS, 09/02
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Homo Sapiens déjà présent en France il y a 54 000 ans Alors que les plus vieilles traces d’Homo Sapiens en Europe dataient jusqu’à présent de 45 000 ans, une équipe de recherche française vient de découvrir, à l’intérieur de la grotte de Mandrin, dans la vallée du Rhône, un reste de notre ancêtre vieux de 54 000 ans. Ludovic Slimak, premier signataire de cette étude publiée mercredi dans Science Advances, en a eu la confirmation grâce à la découverte d’une molaire de lait. « Cette dent porte des caractères bien précis de notre espèce, explique Clément Zanolli. Le contour de la partie postérieure est carré et régulier, contrairement à ce qu’on observe sur les dents de Néandertaliens qui ont un contour plus losangique. » « Ce que nous montrons ici, c’est qu’une année sépare le jeune propriétaire de cette dent du groupe de Néandertaliens qui arrivera par la suite et qui restera près de quarante ans ! Les deux groupes se sont donc probablement rencontrés », affirme Ludovic Slimak. Les premiers Homo Sapiens seraient arrivés par des routes maritimes, via le Rhône. Aucune recherche ADN n’a été réalisée car cela entraînerait la destruction de la molaire. Toutefois, cette « dent vient compléter un contexte archéologique qui révèle des milliers d’objets strictement identiques dans leurs technologies à ceux produits par Sapiens au Levant », précise Ludovic Slimak. « C’est potentiellement très intéressant, cela pourrait représenter un changement de paradigme, réagit Francesco d’Errico. Mais beaucoup de choses (…) vont devoir être vérifiées dans d’autres sites. » Le Figaro, 10/02 – 4 min Lemonde.fr, 09/02 – 6 min Tf1info.fr, 10/02 – 4 min 20minutes.fr, 09/02 – 3 min Sciencesetavenir.fr, 10/02 – 4 min Huffingtonpost.fr, 09/02 – 4 min Francebleu.fr, 10/02 – 3 min
One Ocean Summit. Les experts au chevet des océans Le One Ocean Summit s’est ouvert à Brest mercredi. Jusqu’à vendredi, scientifiques, dirigeants politiques, acteurs économiques, représentants d’ONG y débattent de questions environnementales liées aux océans. Futura Sciences précise que la communauté scientifique est mobilisée sur la question, citant en exemple les plus de 2 000 chercheurs du CNRS qui travaillent sur les systèmes océaniques dans une cinquantaine de laboratoires. Les Echos s’intéressent en particulier au danger que constituent les décharges de munitions chimiques sous-marines. Françoise Gaill indique qu’il existe trois types de risques : « L’un est relatif à l’explosion des munitions ; l’autre à l’émission de gaz toxiques dus à la décomposition de substances explosives ; et le dernier à l’émission diffuse de substances qui vont entraîner des pathologies chez les espèces avoisinantes, pouvant ainsi créer des chaînes de contaminations. » France Culture invite Laurent Bopp à rappeler le rôle joué par les océans dans la régulation du climat, tandis que La Dépêche du Midi reprend les explications de Laurent Seuront concernant notamment la pollution plastique. Futura-sciences.com, 09/02 – 3 min Lesechos.fr, 09/02 – 4 min Franceculture.fr, 10/02 – 6 min Ladepeche.fr, 09/02 – 4 min
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Cette synthèse de presse résume des articles mentionnant des chercheurs ou des laboratoires du CNRS et elle ne peut en aucun cas être interprétée comme reflétant le point de vue du CNRS. Les articles ne peuvent être fournis pour raison de droits d’auteurs. Ni Kantar ni le CNRS ne sauraient être tenus pour responsables de l’exactitude, de la qualité, de la précision et de la tonalité des informations et des commentaires présentés. L’ensemble du contenu de la synthèse de presse est la propriété exclusive du CNRS. Toute diffusion externe au CNRS sous quelque forme que ce soit est soumise à autorisation de la part du CNRS.
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