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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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« L’exécutif n’a plus beaucoup de marges de manœuvre » Bruno Cautrès analyse, pour Le Dauphiné Libéré, la décision du gouvernement de procéder à des réquisitions pour débloquer les dépôts de carburant. « L’exécutif sait qu’il n’a plus beaucoup de marges de manœuvre », il redoute « l’installation d’une narration négative qui serait que depuis qu’Emmanuel Macron s’occupe de la France, on va de crise en crise », explique le politologue. Le « vrai risque » pour le gouvernement, « c’est la difficulté (…) à ne pas être pris en flagrant délit de contradiction entre un message de concertation et de dialogue, et le recours à des méthodes qui en sont l’antithèse : la réquisition, le 49.3… ». Interrogé sur la possibilité que la marche contre la vie chère prévue dimanche puisse donner naissance à un vaste mouvement social, Bruno Cautrès répond qu’« il y aura sans doute du monde » car LFI, le PS, EELV et le PCF ont appelé à manifester. Mais en l’absence des syndicats, ce n’est pas évident que ce soit « un gros succès populaire ». L’Alsace, 12/10 – Temps de lecture : 2 min
Décryptage du mécanisme cérébral de la procrastination Des scientifiques se sont intéressés aux procrastinateurs, ces personnes qui ont tendance à reporter l’exécution d’une tâche à plus tard. En soumettant divers tests à une cinquantaine de participants et en mesurant leur activité cérébrale par IRM, ils ont constaté que le cortex cingulaire antérieur était particulièrement activé lors des choix entre faire un effort immédiatement ou plus tard et entre recevoir une récompense maintenant ou ultérieurement. Cette zone a donc pour rôle d’effectuer un calcul coût-bénéfice en intégrant les coûts (efforts) et les bénéfices (récompenses) associés à chaque option. L’élaboration d’un modèle mathématique a permis de montrer que plus l’échéance est lointaine, moins l’effort paraît coûteux et moins la récompense paraît gratifiante. Selon les chercheurs, la procrastination pourrait donc s’expliquer par « la tendance de notre cerveau à décompter plus vite les coûts que les récompenses ». L’étude a été publiée fin septembre dans Nature Communications. Lexpress.fr, 12/10 – 4 min Lindependant.fr, 11/10 – 2 min Sudouest.fr, 11/10 – 2 min CNRS, 11/10
La France pourrait connaître une sécheresse de plusieurs années Interviewée par Le Monde, Florence Habets indique que la sécheresse en France se poursuit malgré les pluies de septembre. « La ressource en eau reste faible et les prévisions météo ne laissent pas présager d’amélioration significative avant la fin de l’année. Au-delà, il est difficile de prévoir. On peut même dire que la période actuelle est la plus sensible, car nous approchons de la fin des étiages », déclare l’hydroclimatologue. « Le scénario catastrophe serait une sécheresse sur trois ou quatre ans. Nous savons que c’est possible », prévient-elle. Concernant les arrêtés de restriction des usages de l’eau toujours en vigueur, ils risquent d’être moins efficaces car avec les dernières pluies, la végétation reverdit et la question des économies d’eau devient moins pressante. Le bilan de ces arrêtés, qui n’est pas encore connu, pourrait révéler un manque d’efficacité du fait de la multiplication des dérogations accordées. Quant aux prélèvements réalisés par les agriculteurs, ils sont difficiles à évaluer par manque d’informations. Florence Habets souligne la problématique des retenues destinées à l’irrigation agricole et rappelle que « laisser l’eau s’écouler est le meilleur moyen de sauver l’environnement ». Le Monde, 12/10 – 5 min
Une expérimentation sur des manchots à Antibes avant une étude aux îles Kerguelen Pour en apprendre davantage sur les habitudes des manchots durant la chasse dans les îles Kerguelen, les scientifiques misent sur la technologie. « Nous allons utiliser des microsonars lors de notre prochaine mission, fin janvier », indique Charles-André Bost. Le chercheur s’est rendu dernièrement à Marineland, à Antibes, pour effectuer des tests sur la population du parc marin. « Nous cherchions à savoir où placer exactement la balise sur le dos de l’animal. En plus d’obtenir des données correctes sans que la tête de l’animal ne gêne, nous avons aussi pu constater que cela n’entravait en rien leurs mouvements. » De petites boîtes noires seront fixées sur les manchots qui partiront chasser, puis seront ôtées à leur retour. Nicematin.com, 11/10 – 2 min
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A Reims, une grande première pour la mesure des gaz à effet de serre Lilian Joly, Cyril Crevoisier Francebleu.fr, 11/10 – 3 min Leparisien.fr, 11/10 – 3 min
Lac d’Aiguebelette : embarquement scientifique en canoë avec les chercheurs du CNRS de Grenoble Fabien Arnaud France 3 Régions, 11/10 – 2 min
Bas-Rhin : une centaine de tortues cistudes réintroduites dans un marais de Lauterbourg Jean-Yves Georges Bfmtv.com, 11/10 – 2 min
Futurapolis Santé 2022 : comment guérir la vieillesse Marina Shkreli Lepoint.fr, 11/10 – 2 min
Biélorussie : au cœur de Minsk, la fermeture de l’« église rouge » catholique pose question Yauheni Kryzhanouski La-croix.com, 11/10 – 3 min
Centenaire de la mort de Marcel Proust : une grande exposition et des publications Nathalie Mauriac-Dyer Lefigaro.fr, 11/10 – 3 min Telerama.fr, 11/10 – 6 min
Télévision : la jeunesse éteint le poste Camille Roth Science-et-vie.com, 11/10 – 7 min
Cinq ans après #metoo, l’antiféminisme prospère sur les réseaux sociaux Florence Rochefort Lemonde.fr, 12/10 – 8 min
Le Mans. La zone de Béner au cœur d’un livre qui décrypte les enquêtes publiques Frédéric Graber Ouest-France.fr, 11/10 – 4 min
Plus du tiers des locaux des universités sont en mauvais état, selon un rapport de la Cour des comptes Lemonde.fr, 11/10 – 3 min
Etrangers détenus en Iran : « Vous vivez tellement mal que vous vous accrochez à n’importe quoi » Roland Marchal, Fariba Adelkhah Tv5monde.com, 11/10 – 7 min
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INNOVATION |
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Des médicaments mieux délivrés dans l’organisme Des scientifiques de l’Institut Galien Paris-Saclay et de la société Occlugel ont mis au point un procédé pour délivrer un médicament à la bonne dose. Ils ont développé des microsphères en polymère biodégradables, qui peuvent être injectées en solution pour ensuite se dissoudre naturellement dans l’organisme en quelques jours, en libérant progressivement le médicament qu’elles contiennent. « Il faut voir ces microsphères d’environ 50 microns, soit 1 vingtième de millimètres, comme de minuscules éponges hydrophobes capables d’absorber le médicament puis de le libérer progressivement pendant trois voire cinq jours », explique Laurence Moine. Les Echos, 11/10 – 2 min
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