Fwd: [CNRS Presse] CNRS : Synthèse de presse – 17 août 2022

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POLITIQUE DE LA RECHERCHE

ET AUSSI…

 

 

Classement de Shanghaï. Un palmarès à lire avec précaution

Suite à la publication, lundi 15 août, du classement de Shanghaï, plusieurs médias se penchent sur les caractéristiques de ce palmarès qui hiérarchise les meilleures universités dans le monde. Sans surprise, les quinze premières universités sont anglo-saxonnes. Le premier établissement français, Paris-Saclay, n’apparaît qu’à la 16e position, en recul de trois places par rapport à 2021. Paris Sciences & Lettres, Sorbonne Université et Paris-Cité figurent également dans le Top 100, mais perdent aussi quelques rangs. Ce recul est-il le signe d’un déclin des universités françaises ? Non, car le classement présente des limites, explique France 24. Il ne tient compte que des sciences exactes et de la recherche universitaire et se base uniquement sur le nombre de publications, de citations, de prix et de médailles. Malgré cela, il est devenu une référence et les pouvoirs publics français ont mis en place une stratégie pour y faire apparaître des universités françaises, qui gagnent ainsi en visibilité à l’international. Par exemple, l’Institut national des sciences appliquées à Toulouse figure cette année entre le 700e et le 800e rang du classement mondial après avoir gagné 100 places par rapport à l’an dernier, ce qui lui vaut la reconnaissance de ses pairs et de ses partenaires industriels, souligne La Dépêche du Midi. En France, le classement de Shanghaï fait l’objet d’un débat, comme le montre le récent ouvrage « Classement des universités » réalisé par des chercheurs du CNRS. Une tribune dans Marianne estime que l’Etat français a utilisé le classement de Shanghaï comme prétexte pour imposer des réformes qui lui permettaient de reprendre la main sur les facultés françaises.

France 24, 16/08 – Temps de lecture : 6 min

La Dépêche du Midi, 17/08 – 3 min

Marianne.net, 16/08 – 6 min

 

 

 

Pourquoi la France a-t-elle pris du retard dans le développement des parcs photovoltaïques ?

Daniel Lincot

Europe1.fr, 16/08 – 11 min

 

Déchets radioactifs : ne pas creuser avant plusieurs milliers d’années

Céline Souchay

Le Figaro, 17/08 – 4 min

 

Des anticorps testés contre le paludisme

Benoît Gamain

Le Figaro, 17/08 – 4 min

 

« Splinternet » ou les craintes d’un Internet en morceaux

Francesca Musiani

Sciencesetavenir.fr, 16/08 – 4 min

 

Subventions publiques, mécénat… La course sans fin des ONG pour trouver des financements

Sylvie Ollitrault

Lexpress.fr, 17/08 – 5 min

 

 

 

 

 

VIE DU CNRS

 

 

Quelles seraient les conséquences d’une perte ou d’un sabotage des données GNSS ?

Un rapport réalisé sous la houlette du CNRS recense les risques de pertes ou de sabotages éventuels des données de navigation transmises par les satellites, une technique de pointe dite GNSS. Celle-ci s’avère indispensable pour géolocaliser, mais aussi pour coordonner, parfois à quelques dizaines ou centaines de milliardièmes de seconde près, les horloges des systèmes informatiques civils et militaires. Le Canard Enchaîné a pu consulter la version complète de ces travaux, publiés partiellement en janvier dernier. Le journal liste une série d’événements qui pourraient advenir, selon les auteurs du rapport : rupture d’un barrage, défaillance des signaux pour les réseaux téléphoniques, chutes des cours boursiers, catastrophes climatiques non anticipées, accidents de la circulation sur les routes, en mer et dans le ciel…

Le Canard Enchaîné, 17/08 – 5 min

 

 

 

ACTUALITE DES LABORATOIRES

 

 

Des orages redoutés en raison du risque de crue

Les averses orageuses prévues mardi et mercredi ne permettront pas d’observer une réelle amélioration sur le front de la sécheresse et sont même redoutées car elles peuvent causer d’importantes crues. Ces événements ont lieu lors de conditions météorologiques bien spécifiques, où des remontées d’air chaud, humide et instable entrent en confrontation avec de l’air froid. « Cela donne chaque année lieu à des crues assez dévastatrices, parfois mortelles. Et comme la Méditerranée est très chaude cette année, on peut craindre qu’il y ait davantage d’épisodes méditerranéens ou qu’ils soient plus intenses », explique à Libération Agnes Ducharne. « Le sol est très dur, l’eau peut s’écouler mais seulement en surface », met en garde Davide Faranda sur BFMTV.

Liberation.fr, 16/08 – 3 min

Bfmtv.com, 16/08 – 3 min

 

Pourquoi ne pas réutiliser le verre plutôt que de le recycler ?

Le Canard Enchaîné observe que les Français trient volontiers le verre d’emballage, puisque 76 % de ce matériau est placé au recyclage. Mais plutôt que de broyer les bouteilles, les flacons et les pots pour fabriquer de nouveaux contenants, ce qui nécessite beaucoup d’énergie, il serait plus écologique de les réutiliser, souligne le journal. Ce dernier reprend les explications de Daniel Neuville sur la fabrication du verre vierge et du verre recyclé. Le chercheur rappelle que le principe de la consigne fonctionnait très bien jusqu’à ce que les industriels se tournent vers le tout-jetable. Concernant le recyclage du verre du bâtiment, prévu par la loi Agec à partir de 2023, « c’est une aberration qu’on ne l’ait pas fait plus tôt », estime-t-il. « Depuis des décennies, les industriels enfouissent leurs déchets en verre car ça ne leur coûte presque rien. » 

Le Canard Enchaîné, 17/08 – 3 min

 

 

 

 

 

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