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POLITIQUE DE LA RECHERCHE |
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La recherche britannique victime du Brexit Des milliers de chercheurs, universitaires et ingénieurs britanniques ne reçoivent plus de financements du programme Horizon Europe. Le principe d’une association avec le programme européen avait été convenu, mais la signature des protocoles est retardée en raison des tensions entre Londres et Bruxelles sur le Brexit. Des dizaines de programmes sont au bord de la faillite. Les chercheurs européens se mobilisent pour soutenir leurs homologues d’outre-Manche. De son côté, Londres envisage d’allouer l’enveloppe prévue directement à la recherche britannique, sans aide européenne. Or, pour l’heure, un tiers des publications scientifiques britanniques sont le fruit de collaborations avec des chercheurs du Continent. Le Figaro, 22/11 – 3 min |
Le campus remet ses Trophées de l’innovation Ouest France, 22/11 – 3 min Référendum calédonien : quelle place pour l’économie ? Benoit Trépied Franceculture.fr, 19/11 – 58 min Débat LR : « On a vu le tempérament de chacun des candidats » Bruno Cautrès Europe1.fr, 22/11 – 7 min L’ordre mondial à l’épreuve des certitudes et du doute Sylvie Taussig Rfi.fr, 19/11 – 50 min Missionné par la Nasa, ce chercheur niçois veut dévier… un astéroïde Patrick Michel Nice-Matin, 20/11 – 7 min Lexpress.fr, 21/11 – 7 min James Webb, le télescope de la Nasa qui va révolutionner l’observation spatiale Olivier Berné Leparisien.fr, 20/11 – 2 min Dôme de chaleur et gelées tardives : les mystères du jet-stream Fabio D’Andrea Lexpress.fr, 21/11 – 4 min Répartition des rôles hommes-femmes dans la préhistoire : « Rien n’a jamais été prouvé » Marylène Patou-Mathis Liberation.fr, 19/11 – 4 min Toulouse : « Le trafic de drogue, c’est un peu un ascenseur social » Dominique Duprez Ladepeche.fr, 22/11 – 2 min Pourquoi l’histoire de l’esclavage pèse encore sur les sociétés Myriam Cottias Mediapart.fr, 19/11 – 1 min La file d’attente, comment le temps nous forme et nous conforme Etienne Ollion Franceculture.fr, 19/11 – 58 min Grille-pain, machine à coudre et condition de la femme, l’autre histoire des petits objets Manuel Charpy Lemonde.fr, 19/11 – 3 min Espace poubelle Marc Lachieze-Rey Les Echos, 19/11 – 3 min Faut-il redouter une aggravation des déséquilibres de l’économie mondiale post-Covid ? Valérie Mignon La Tribune, 19/11 – 6 min Climat : « Un effort massif d’extension des surfaces boisées doit être accompli » Isabelle Chuine, Xavier Morin Lemonde.fr, 21/11 – 4 min |
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VIE DU CNRS |
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Paris Saclay. Le CNRS renouvelle ses partenariats avec l’université et Polytechnique Le CNRS a signé deux nouvelles conventions de partenariat avec l’université Paris-Saclay et l’Institut polytechnique de Paris pour la période 2020-2025. Ces accords portent sur le pilotage et les ressources des 85 unités de recherche communes aux trois partenaires, qui constituent aujourd’hui un très important potentiel technologique dans de nombreux secteurs scientifiques. « Le CNRS soutient très fortement les laboratoires en cotutelles établis sur le plateau de Saclay en y affectant 12 % de l’ensemble de ses personnels permanents », a rappelé Antoine Petit, PDG du CNRS. Lesechos.fr, 19/11 – Temps de lecture : 2 min Antoine Aiello reçoit la médaille de l’innovation 2021 Antoine Aiello a reçu, jeudi soir, la médaille de l’innovation 2021 du CNRS pour les travaux qu’il a dirigés au laboratoire Stella Mare. Cette plateforme, placée sous la cotutelle de l’université de Corse et du CNRS, étudie et restaure la faune marine. Elle a travaillé à la reproduction et l’élevage de l’oursin violet et de l’huître plate. Des travaux identiques ont démarré pour le homard européen, l’araignée de mer, le denti commun, le corb, la patelle et les planctons. « Nous abordons une nouvelle étape, celle d’une maturité scientifique », a déclaré Antoine Aiello après avoir reçu la prestigieuse distinction. Corse-Matin, 22/11 – 2 min |
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Covid-19 : difficultés à éradiquer le virus, impact des interactions sociales sur le confinement Face à l’émergence de la cinquième vague de Covid-19 en France, L’Express interroge plusieurs experts à propos de la possibilité de faire disparaître le virus à terme. Selon Etienne Decroly, « l’éradication du Covid-19 est compliquée » notamment parce que « le virus est capable d’infecter différentes espèces animales », ce « qui risque de permettre des résurgences épidémiques ». Mais avec des vaccins de plus en plus efficaces et le maintien des gestes barrières, l’épidémie devrait pouvoir être mieux contrôlée qu’aujourd’hui, estime-t-il. Par ailleurs, dans un entretien avec Le Monde, Benoit Giry présente les résultats de son analyse des messages postés sur Twitter au printemps 2020, lors du premier confinement. Il montre que si les Français ont « très bien respecté » cette mesure pourtant radicale et contraignante, ce n’est pas seulement en raison de la peur du gendarme ou des dangers de la contagion, c’est aussi parce que des citoyens ont relayé et défendu les consignes officielles. Lexpress.fr, 21/11 – 6 min Le Monde, 20/11 – 7 min Les métavers présente d’importants risques de manipulation Interrogée par La Croix à propos du métavers, Laurence Devillers explique qu’avec cet univers en réalité virtuelle, l’interaction sur les réseaux sociaux deviendra « sensorielle, ressentie dans la chair ». Les risques de manipulation en seront aggravés, prévient-elle. « Sans garde-fous, le réseau ne sera piloté que par des gens qui ne cherchent qu’une chose : capter l’attention pour vendre des publicités. Il faut changer l’essence de cette technologie ou l’arrêter. » La Croix, 22/11 – 3 min L’océan « respire » le mercure La Provence rapporte que, selon une récente étude internationale, le mercure n’est pas, comme on le pensait jusqu’à présent, apporté principalement par les eaux de pluie et de ruissellement. Il est aussi absorbé par l’océan, qui le « respire » lors de ses échanges gazeux avec l’atmosphère. Cette étude confirme donc la nécessité de réduire les émissions de mercure, issues pour l’essentiel de la combustion du charbon et des activités minières. La Provence, 22/11 – 1 min |
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Un doigt connecté capable de mesurer le toucher Le TouchyFinger est le premier prototype de doigt humain connecté pour mesurer le toucher. Les données de la bague analysées à distance par un algorithme d’IA permettront d’identifier un profil sensoriel. Cette création est le fruit du travail du Laboratoire de tribologie et dynamiques des systèmes. Lyoncapitale.fr, 20/11 – 2 min
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