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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Un an après la fin de l’embargo, le Qatar et l’Arabie saoudite se rapprochent Après l’exploit de l’Arabie saoudite face à l’Argentine, mardi, à la Coupe du monde de football 2022, Tamim ben Hamad Al Thani, l’émir du Qatar, pays hôte de la compétition, s’est affiché en brandissant le drapeau du vainqueur. Marianne demande à Marc Lavergne ce que signifie ce geste. « Il ne faut pas surinterpréter cet épisode », estime le spécialiste du monde arabe. Car « si c’est un beau geste sur la forme, cela rappelle surtout que Riyad a perdu son bras de fer avec Doha après l’embargo décrété par le royaume wahhabite en 2017 ». Marc Lavergne revient d’une part, sur certaines erreurs commises par Mohammed ben Salmane, prince héritier d’Arabie saoudite, et d’autre part, sur le poids du Qatar, sa compétence politique et sa solidité. Ainsi, bien que l’Arabie Saoudite « ait gagné un match, elle a définitivement perdu sur le plan diplomatique dans sa volonté de discréditer le Qatar ». Marianne.net, 23/11 – Temps de lecture : 5 min
Le mystère d’une lettre chiffrée de Charles Quint est levé Après plusieurs mois d’enquête, une équipe de recherche de Nancy et d’Amiens a réussi à lever le voile sur les mystères qui entouraient une lettre chiffrée que Charles Quint, empereur du Saint-Empire, avait adressée en 1547 à son ambassadeur en France, Jean de Saint-Mauris. « On a trouvé un système de cryptage très évolué pour l’époque, le 16e siècle, et pas évident à casser. Il nous fallait un contexte historique », déclare Paul Zimmermann, qui a travaillé avec Cécile Pierrot et Pierrick Gaudry. Camille Desenclos a justement découvert que le document conservé à la Bibliothèque de Nancy appartenait à une correspondance beaucoup plus importante, qui présente l’avantage d’avoir déjà été déchiffrée. La lettre révèle la méfiance de Charles Quint à l’égard de la France, qui préparait une guerre en soutenant les rebelles contre l’empereur. France 3 Régions, 23/11 – 4 min
Dans l’Egypte antique, pharaons comme paysans n’échappaient pas à la maladie Damien Agut-Labordère revient pour National Geographic sur les informations dont nous disposons aujourd’hui à propos de la santé des Egyptiens au temps des pharaons. Une étude rigoureuse des momies a montré que « près d’un tiers de ces personnes momifiées semblent avoir souffert de la faim », ce qui est « assez étonnant » pour des individus qui appartenaient à l’élite de l’Egypte antique. « Cela laisse supposer des conditions de vie bien plus difficile que ce que l’on pensait », relève l’égyptologue. Quant aux pharaons, « nombre d’entre eux furent victimes de pathologies liées au gras, un fait directement lié à leur classe ultra-privilégiée ». Par ailleurs, les paysans comme les rois et reines d’Egypte souffraient de maux de dents car « ils mangeaient du pain fait de farine grossière, qui limait leurs dents ». Enfin, 75 % des populations étudiées, riches comme pauvres, souffraient de bilharziose, une maladie causée par les vers parasitaires. Nationalgeographic.fr, 23/11 – 5 min
« A Toulouse, la Résistance a mobilisé à tous les niveaux de la hiérarchie diocésaine » L’historienne Marie-Thérèse Duffau explique à La Vie comment les prêtres enseignants du « réseau Saliège » se sont engagés dans la Résistance. « Ce réseau de résistance est exceptionnel dans l’Eglise en France parce qu’il a mobilisé des acteurs à tous les niveaux de la hiérarchie diocésaine. Il a eu l’appui de l’archevêque Jules Saliège, qui a coordonné des actions, mais aussi de Pierre-Marie Théas, alors évêque du diocèse de Montauban, voisin de Toulouse. » Grâce à ce soutien hiérarchique, les réseaux toulousains et montalbanais ont pu se développer ensemble « pour organiser le camouflage de Juifs dans les couvents, les établissements scolaires et les facultés catholiques », explique-t-elle. Lavie.fr, 24/11 – 4 min
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Chercheurs : un coup de pouce pour les milieux de carrière parrainé par la Nobel Emmanuelle Charpentier Scienceetavenir.fr, 24/11 – 3 min Lexpress.fr, 23/11 – 8 min
CNRS : la ville de Lyon a des têtes chercheuses LyonCapitale.fr, 23/11 – 2 min
Génétique : notre diversité, notre évolution, notre adaptation, leçon inaugurale de Lluis Quintana-Murci France Culture, 24/11 – 58 min
Formation du système solaire : changez de disque ? Alessandro Morbidelli, Sean Raymond France Culture, 23/11 – 58 min
Erosion. Contre toute attente, la brèche du sillon de Talbert « atténue les risques » Pierre Stéphan France 3 Régions, 23/11 – 2 min
Nouvelle étape décisive pour la Villa créative d’Avignon Liberation.fr, 23/11 – 2 min
Pourquoi et comment déchiffrer les mondes ? Eleni Diamanti Rfi.fr, 23/11 – 49 min
Que nous réserve la FoodTech ? Christophe Lavelle France Inter, 23/11 – 54 min
La méditation de pleine conscience, bonne ou dangereuse pour la santé ? Franck Ramus Lexpress.fr, 23/11 – 6 min
Etats-Unis : la vogue du nationalisme chrétien Sébastien Fath La-croix.com, 23/11 – 3 min
Dans la rue et sur les claviers, les petites filles de la Manif pour tous Magali Della Sudda Libération, 24/11 – 4 min
DANS LA PRESSE PRO
L’important est surtout de manger varié, en privilégiant le végétal ; Des aliments qui nous protègent et nous font du bien Christophe Lavelle Le Quotidien du Médecin, 25/11 – 6 min
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INNOVATION |
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Une technologie de panneaux solaires plus efficace et moins coûteuse L’Institut photovoltaïque d’Ile-de-France et l’industriel Voltec Solar veulent passer à la mise en production et la commercialisation, dès 2025, d’une nouvelle technologie de panneaux photovoltaïques. Celle-ci ne se fonde plus sur le seul silicium mais aussi sur la pérovskite. L’association permet un meilleur rendement de conversion de la lumière en énergie, tout en consommant moins d’énergie et de matière à la fabrication. La nouvelle technologie est le fruit de huit années de recherche au sein de l’IPVF. Les Echos, 24/11 – 2 min
NXO Engineering produit de l’énergie propre à partir d’eaux usées Une solution unique valorisant les eaux usées pour produire de l’énergie a été développée par NXO Engineering. La deeptech fait appel à des bioréacteurs qui mettent en synergie des bactéries et des microalgues. La méthode a été maîtrisée grâce à des travaux associant NXO Engineering au CNRS, à Inria, à l’Ifremer ou encore à l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse. L’innovation permet de développer des stations d’épuration à impact positif et d’émission carbone négative. Lamontagne.fr, 23/11 – 3 min
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