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POLITIQUE DE LA RECHERCHE |
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L’IJCLab, un nouveau laboratoire de rang mondial dédié à « l’infiniment grand et l’infiniment petit » Le laboratoire Irène Joliot-Curie (IJCLab), consacré à la physique de « l’infiniment grand et de l’infiniment petit », a été inauguré le 16 mai dernier par Sylvie Retailleau en tant que présidente de l’université Paris-Saclay, et Antoine Petit, PDG du CNRS. Issu du regroupement de cinq institutions implantées à Orsay, ce laboratoire de pointe figure depuis cette opération de fusion parmi les centres mondiaux de recherche en physique les plus importants dans son domaine. Il possède en effet l’expertise nécessaire pour concevoir et construire des accélérateurs et des détecteurs, et pour ensuite exploiter les données qui en sont issues. Ses recherches peuvent aussi permettre le développement d’applications industrielles. Lesechos.fr, 24/05 – Temps de lecture : 3 min
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La mécanique, une clé du futur, sera à l’honneur le 1er juin à Paris Usinenouvelle.com, 24/05 – 4 min CNRS, 20/05
Législatives : ce que les ministres peuvent dire (ou pas) pendant la période de réserve Bruno Cautrès Leparisien.fr, 24/05 – 4 min
Ukraine : une guerre qui va durer Marie Mendras Bfmtv.com, 24/05 – 17 min
Comment créer les « miroirs de l’espace » Nextinpact.com, 24/05 – 1 min
La question : pourquoi Marseille n’est pas à l’abri d’un tremblement de terre majeur Michel Villeneuve La Provence, 24/05 – 3 min
Lyon : des scientifiques se penchent sur les chants d’oiseaux pour développer la nature en ville Marylise Cottet 20minutes.fr, 24/05 – 3 min
Les origines de l’humanité Antoine Balzeau Franceinter.fr, 24/05 – 54 min
Toujours prêts ? Votre expérience du scoutisme intéresse les chercheurs ! Maxime Vanhoenacker Lavie.fr, 24/05 – 3 min
« Les musulmans sont la cible principale » : le temps des convertis au christianisme Fatiha Kaouès Lemonde.fr, 24/05 – 9 min
Vivre surendetté Jeanne Lazarus Franceculture.fr, 24/05 – 58 min
Femmes de grande taille : comment assument-elles au quotidien Marie Buscatto Levif.be, 24/05 – 8 min
DANS LA PRESSE PRO
La Douane remet aux autorités brésiliennes 998 fossiles du Crétacé saisis au Havre en 2013 Sylvain Charbonnier Meretmarine.com, 24/05 – 8 min
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Covid-19 : un récepteur capable de saboter la multiplication du virus Un groupe de scientifiques internationaux, parmi lesquels figurent des Toulousains, a cherché à comprendre pourquoi 85 % des personnes infectées par le SARS-CoV-2 ont bien résisté à la maladie alors que d’autres ont dû être hospitalisées ou en sont décédées. « On s’est rendu compte que cette majorité de personnes exprime un récepteur dans les cellules du nez, des bronches et des poumons, qu’on appelle NLRP1. C’est un récepteur qui détecte le coronavirus et permet très vite à la cellule de mourir avant que le coronavirus puisse pousser ou se multiplier. Ce qui l’empêche de diffuser d’une cellule à l’autre et d’induire des dommages aux poumons trop forts », explique Etienne Meunier, cité dans 20 Minutes, L’Indépendant et La Dépêche du Midi. Les résultats de l’étude sont parus dans la revue Molecular Cell. 20minutes.fr, 24/05 – 3 min Lindependant.fr, 24/05 – 3 min Ladepeche.fr, 24/05 – 3 min
Pourquoi la variole du singe se distingue du Covid-19 Alors que la variole du singe suscite l’inquiétude depuis plusieurs jours, TF1 interroge Daniel Dunia sur le risque que ce virus entraîne une pandémie telle que le Covid-19. Outre quelques points communs, tout diffère, explique le chercheur en virologie. « La transmission entre les humains est beaucoup moins facile qu’avec le Covid-19, puisque cela demande un contact plus prolongé (…). Ensuite, il n’y a pas vraiment de moment au cours desquelles les personnes sont contagieuses sans avoir de symptômes, contrairement au Covid-19. » Par ailleurs, « le ‘Monkeypox’ est un virus à ADN. Même si ce type de virus présente des capacités évolutives, elles sont infiniment moindres que les virus à ARN, comme le Covid-19 ». Enfin, « il existe de bons antiviraux » pour empêcher la propagation de la variole du singe, indique-t-il. La Dépêche du Midi reprend les explications d’Etienne Decroly, qui rappelle que la vaccination contre la variole agit « par réaction croisée » avec le virus de la variole du singe et « assure une bonne protection ». « Ce qui est important dans ce contexte, c’est de pouvoir assurer un ‘contact tracing’ », ajoute-t-il. Tf1info.fr, 24/05 – 2 min Ladepeche.fr, 24/05 – 2 min Ladepeche.fr, 24/05 – 3 min
Un nouveau plastique biodégradable France Culture s’intéresse à une étude, parue mardi dans Nature Communications, qui décrit l’invention d’un nouveau polymère dégradable. Les polymères, et les plastiques en général, sont non-dégradables. Mais une équipe de scientifiques a découvert un système particulier de copolymérisation qui permet une dégradation très rapide. Au contact de l’eau, ce nouveau polymère se dégrade à plus de 70 % en une semaine seulement. Des applications sont attendues dans le biomédical et en nanomédecine. La station de radio reçoit Julien Nicolas, l’auteur principal de l’étude. Franceculture.fr, 24/05 – 5 min CNRS, 24/05
La sobriété de la consommation d’eau va s’imposer Alors qu’aucun accord international n’a été atteint lors de la Cop15 contre la désertification, qui a pris fin le 20 mai à Abidjan, La Vie publie un entretien avec Olivier Petit à propos de la pénurie d’eau récurrente que subit le monde aujourd’hui. L’économiste explique en quoi la gestion des ressources en eau a été trop insouciante ces dernières décennies. Interrogé sur la perspective d’une tarification de l’eau, il répond ne pas être « favorable à une facturation élevée de ce qui doit rester un patrimoine commun, partagé par tous ». La Vie, 26/05 – 8 min
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INNOVATION |
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Cancers du sang. Allogenica développe des biothérapies universelles à moindre coût Grâce à une nouvelle approche, la start-up lyonnaise Allogenica veut diviser par dix le coût de production des CAR-T, des biothérapies anticancéreuses révolutionnaires mais très coûteuses. Sa présidente, Inna Menkova, s’appuie sur ses travaux menés au Centre de recherche en cancérologie de Lyon (Inserm, CNRS, Léon Bérard, université Claude-Bernard). Elle propose un candidat médicament dit « allogène », universel, fabriqué à partir de cellules souches issues d’un donneur sain, en les armant du récepteur CAR, qui cible spécifiquement les lymphomes et leucémies. Lesechos.fr, 24/05 – 2 min
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