Fwd: [CNRS Presse] CNRS : Synthèse de presse – 29 novembre 2021


 

ACTUALITE DES LABORATOIRES

ET AUSSI…

 

L’insoutenable dette du continent africain

En vingt ans, Pékin est devenu le principal bailleur de fonds de plusieurs pays subsahariens. La crise du Covid19 a encore aggravé la situation. Or cette dette africaine n’a pas échappé à la bataille d’influence entre Washington et Pékin. Lors de son premier déplacement en Afrique, mi-novembre, le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, a d’ailleurs décoché une flèche en direction de la Chine en sous-entendant que Pékin aurait entraîné l’Afrique dans le piège du surendettement en lui ouvrant les vannes du crédit pour la maintenir dans une relation de dépendance. À la veille du sommet Afrique-Chine, organisé à Dakar, les 29 et 30 novembre, l’économiste et sinologue français Thierry Pairault analyse l’état des relations entre les deux parties.

Le Monde, 26/11 – Temps de lecture : 4 min

JeuneAfrique.com, 27/11 – 5 min

Le Monde, 28/11 – 3 min

 

Comment la Chine dévitalise Hong Kong

Jean-Pierre Cabestan

La Croix, 29/11 – 6 min

 

« Grande Sécu » 

Michel Dreyfus, Daniel Benamouzig, Cyril Benoît

Le Monde, 26/11 – 5 min

Le Monde, 26/11 – 4 min

 

Restaurer la vision, un rêve rendu possible par les innovations technologiques

Angelo Arleo

Le Figaro, 29/11 – 5 min

 

P9, l’hypothétique 9ème planète du système solaire

Alessandro Morbidelli

FranceInter.fr, 29/11 – 3 min

 

Brésil : inquiétante ruée vers l’or en Amazonie

François-Michel Le Tourneau

Le Monde, 26/11 – 5 min

 

La solution d’Olnica pour lutter contre le vol et la contre-façon (trop) dépendante des terres rares

La Tribune, 26/11 – 5 min

 

La résilience de certains récifs coraliens, un espoir…

Serge Planes

FranceInter.fr, 29/11 – 1 min

 

Addiction au crack : contre l’illusion sécuritaire, la quête d’une thérapie

Nicolas Marie

Libération, 29/11 – 6 min

 

Vers une nouvelle une histoire de l’art ?

Claire Bosc-Tiessé

Telerama.fr, 28/11 – 8 min

 

Evolution des techniques de vol chez les papillons

Violaine Llaurens

Le Monde, 28/11

Geo.fr, 26/11

Cnrs.fr, 26/11

 

En Antarctique, des chercheurs s’apprêtent à forer les plus vieilles glaces jamais étudiées

Frédéric Parrenin

Ouest-France.fr, 28/11

 

Véronique Souverain : L’industrie micro-électronique se réinvente avec le recyclage de composants électroniques

Sophie Rivoirard

Francebleu.fr, 26/11

 

 

 

 

Covid : nouveau variant Omicron, origine du virus, mieux comprendre la perte d’odorat et de goût

Alors qu’un nouveau variant du coronavirus vient d’être repéré au Botswana, puis à Hong Kong chez un voyageur de retour d’Afrique du Sud, la communauté scientifique est en alerte. Les premiers séquençages en Afrique du Sud font craindre une propagation à grande vitesse. L’Organisation mondiale de la santé vient de le classer parmi les variants préoccupants et l’a baptisé Omicron. Pour Étienne Decroly, « Il est toujours compliqué d’identifier très rapidement un variant préoccupant. Mais celui-ci soulève pas mal de questions ». Le virologue ajoute que les mutations de ce nouveau variant sont nombreuses, « en particulier sur la protéine Spike du virus. Elles touchent trois épitopes clés dans la réponse immunitaire face au virus. On peut en déduire un risque d’échappement de ce nouveau variant à la réponse immunitaire, qu’elle soit naturelle ou vaccinale. On constate aussi deux mutations qui modifient le site de clivage par la furine, qui joue un grand rôle dans la transmission interhumaine. ». L’Express interroge sur l’efficacité à fermer les frontières face à la présence de ce nouveau variant et s’appuie sur les conclusions d’Hervé Fleury, qui confie que ce virus est « inquiétant, et c’est la première fois que je dis ça depuis Delta ».

De son côté, près de deux ans après l’apparition de premiers cas de Covid-19, Libération rapporte que dans un article publié le 18 novembre par le journal scientifique Science, le spécialiste des génomes de virus Michael Worobey a proposé de « disséquer les premiers cas de Covid-19 à Wuhan ». Selon lui, le fait que « la plupart des premiers cas symptomatiques étaient liés au marché de Huanan – en particulier à la section ouest où les chiens viverrins étaient en cage – fournit des preuves solides d’une origine du marché d’animaux vivants de la pandémie ». Mais pour Etienne Decroly, le scientifique « n’apporte pas de nouvelles données, de nouvelles séquences de coronavirus chez des animaux ou des humains pour appuyer ses propos ».

Par ailleurs, l’anosmie (ou perte de l’odorat), symptôme récurrent du Covid, est désormais mieux comprise par les chercheurs. Elle fait suite à une réaction inflammatoire qui se conclut par la mort de neurones récepteurs olfactifs. Pour ce qui est de l’entrée du virus par les voies nasales, les connaissances ont progressé, observe auprès de LCI Patricia Duchamp-Viret. Elle met en avant les mécanismes par lesquels « le virus infecte les cellules de la muqueuse olfactive », celle-là même qui « contient les neurones récepteurs olfactifs qui captent les molécules odorantes et envoient les informations au cerveau ».

MediaPart.fr, 26/11 – 4 min

Rfi.fr, 26/11 – 1 min

Lexpress.fr, 27/11 – 4 min

Lexpress.fr, 28/11 – 5 min

Libération, 28/11 – 5 min

Lci.fr 26/11 – 4 min

Lci.fr, 27/11

 

 

La plus ancienne parure du monde vient d’être découverte

Mis au jour au Maroc, un ornement préhistorique composé de coquillages marins pourrait être la plus ancienne parure rencontrée à ce jour. Pour l’heure, on ignore s’il s’agissait d’un collier, de bracelets, de perles cousues sur un support, ou d’une ceinture. Cette ancienne parure de coquillages vient d’être extraite de la grotte de Bizmoune, un gisement archéologique situé dans le Jebel Lahdid, à une vingtaine de kilomètres d’Essaouira, au sud-ouest du Maroc. « Dans des sédiments de 142.000 ans, datés par l’utilisation de la méthode Uranium-Thorium [qui mesure la vitesse de désintégration de l’uranium, NDLR], nous avons en effet mis au jour plus de 32 coquilles façonnées et percées représentant les éléments d’une parure préhistorique », explique Philippe Fernandez.

Sciencesetavenir.fr, 26/11 – 3 min

 

La révolution ADN pour le stockage de nos données est en marche

L’ADN n’a pas fini de nous surprendre, au vu d’une première mondiale réalisée en France : le dépôt d’archives numériques encodées sur ADN aux Archives nationales. Cette révolution s’est concrétisée cette semaine avec l’expérimentation de DNA Drive, une technologie de stockage d’information numérique sur ADN développée et brevetée par Stéphane Lemaire et Pierre Crozet. Deux textes très symboliques ont été choisis : la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 et la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, rédigée par Olympe de Gouges en 1791.

La Dépêche, 28/11 – 3 min

Cnrs.fr, 23/11

 

 

 

 

INNOVATION

 

 

Le CNRS se met aux qubits nanomécaniques

Après les qubits supraconducteurs de chat ou à base d’atomes froids, un nouveau type de bit quantique fait son apparition : le qubit nanomécanique. Développé par le laboratoire Ondes et matière d’Aquitaine, il se base sur la fréquence des oscillations d’un nanotube de carbone. Le système, isolé de manière à ne pas perdre d’énergie, serait capable de conserver son état sur une longue période, et donc, de stocker de l’information quantique.

UsineNouvelle.com, 27/11 – 1 min

 

Naarea, le pari d’une technologie de rupture

La start-up Naarea développe un réacteur aux sels fondus, une technologie nucléaire de pointe, dite de « quatrième génération ». Le tout à partir d’un modèle conçu à l’origine pour le spatial par Daniel Heuer, aujourd’hui conseil de l’entreprise. La start-up compte alimenter son réacteur avec du thorium, déchet inutilisé issu des mines, et des combustibles usagés des centrales nucléaires classiques. Un brevet portant sur le réacteur a été déposé début 2021.

Le Figaro, 29/11 – 2 min

 

 

 

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