SARS-CoV-2 : de nombreuses interrogations autour du variant Omicron
Le Parisien se penche sur l’origine du variant Omicron et interroge Florence Débarre.
LCI souligne que, lors de l’émergence d’un nouveau variant, rien n’assure que la nouvelle souche soit moins virulente que les précédentes, comme le confirment Morgane Bomsel et Samuel Alizon.
Le caractère exceptionnel du variant Omicron réside avant tout dans le nombre très élevé de mutations qu’il comporte, explique Sandrine Sarrazin dans une interview à La Dépêche du Midi.
Dans L’Express, Bruno Canard appelle les industriels à adapter au plus vite les vaccins à ARNm afin de mieux prévenir l’expansion de ce nouveau variant.
Un rapport de la CFDT et de l’institut Jean-Jaurès montre la profonde fatigue des Français face à la pandémie de Covid-19, dont la cinquième vague débute actuellement. Pierre-Yves Geoffard explique que cette fatigue prend plusieurs formes : fatigue des victimes du Covid long ; des personnels soignants ; et celle « de toutes et tous, ballotés de confinements en couvre-feux, épuisés par des injonctions contradictoires, évoluant au fil d’une compréhension de la pandémie en constante évolution ».
Leparisien.fr, 30/11 – 3 min
Lci.fr, 29/11 – 4 min
Ladepeche.fr, 29/11 – 2 min
Lexpress.fr, 30/11 – 6 min
Republicain-lorrain.fr, 29/11 – 2 min
L’odorat, sens le plus résistant dans la mémoire des événements traumatisants
Une équipe du CNRS a montré que la mémoire olfactive était la plus profondément ancrée dans le souvenir des événements apeurants. Pour y parvenir, les scientifiques ont observé, par imagerie médicale, les réseaux neuronaux activés dans le cerveau des rats lors d’une stimulation olfactive associée à un ancien sentiment de peur.
Ladepeche.fr, Letelegramme.fr, 29/11 – 2 min
Les avantages du captage et du stockage du CO2
Pour réduire l’impact du CO2, la piste du captage est une des plus explorées par les chercheurs et industriels. En 2024, l’Europe devrait ainsi trouver un débouché pour son dioxyde de carbone à 2 600 mètres de profondeur, en mer du Nord, dans le cadre de Northern Lights. Porté par l’État norvégien et des groupes pétroliers, ce projet est l’un des plus ambitieux du monde. Eric Oelkers souligne que des poches naturelles de CO2 n’ont pas bougé depuis des millions d’années, montrant un faible risque de remontée à la surface. Néanmoins, les questions « d’acceptabilité sociale » ne peuvent être écartées. « On ne peut pas dire qu’il n’y a pas de risques, mais ils sont faibles et relativement bien connus », précise Sylvain Delerce. En outre, après captage, le CO2 peut être exploité et transformé en méthanol, afin notamment d’alimenter les futurs véhicules équipés de piles à combustible, indique Laurent Piccolo.
La Croix, 29/11 – 6 min
La Croix, 29/11 – 3 min
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