Fwd: [CNRS Presse] CNRS : Synthèse de presse – 3 janvier 2023

POLITIQUE DE LA RECHERCHE

ET AUSSI…

L’université de Rennes est née !

A compter du 1^er janvier 2023, Rennes 1 laisse place à l’université de Rennes, au statut différent. Il s’agit d’un établissement public expérimental regroupant Rennes 1 et cinq grandes écoles : l’Ecole normale supérieure de Rennes, Sciences Po Rennes, l’Ecole des hautes études en santé publique, l’Institut national des sciences appliquées de Rennes et l’Ecole nationale supérieure de chimie de Rennes. Cette alliance permettra « de mettre en avant les connaissances de tous, au service de la société », déclare Davis Alis, président de Rennes 1. « On souhaitait créer une université qui puisse se rapprocher des grandes écoles ainsi que des organismes de recherche comme le CNRS par exemple. Et puis en s’unissant, on espère pouvoir rayonner à l’international », ajoute-t-il. Chaque école garde néanmoins son identité. Après 2028, l’établissement passera sous le statut de Grand établissement.

Le Télégramme, 03/01 – 2 min

Covid-19 : ce que l’on sait du variant Omicron XBB. 1. 5, qui progresse très vite aux Etats-Unis

Samuel Alizon

Aujourd’hui en France, 03/01 – 3 min

Sud Ouest, 03/01 – 2 min

Lindependant.fr, 03/01 – 2 min

« A TF1, l’argent s’envole en même temps que les téléspectateurs changent de chaîne »

Isabelle Veyrat-Masson

France Inter, 03/01 – 9 min

Bonne résolution : et si vous luttiez

contre le réchauffement climatique ?

Raphaël Mathevet

Midi Libre, 03/01 – 3 min

Ces robots qui nous permettront d’agir à distance

Les Echos, 03/01 – 6 min

Le Mozambique entre au Conseil de sécurité de l’ONU

Michel Cahen

Rfi.fr, 02/01 – 2 min

Brésil : Lula à nouveau à l’assaut de la faim, « le plus grave des crimes »

François-Michel Le Tourneau

France24.com, 02/01 – 5 min

ACTUALITE DES LABORATOIRES

« Nous vivons depuis la toute fin de l’année 2022 des conditions de température absolument record »

Alors que les températures actuelles sont anormalement douces, Le Monde a interrogé Robert Vautard sur les raisons de cette situation météorologique. « Les températures nocturnes sont extrêmes pour la saison, relève-t-il. Elles sont montées à une vingtaine de degrés vers 22 heures dans le Sud-Ouest. C’est tout à fait exceptionnel. » Selon le climatologue, il n’y a pas de lien de causalité entre cette situation hivernale et l’été caniculaire, « dans le sens où ce n’est pas la chaleur extrême de cet été qui a conditionné la douceur extrême de cet hiver ». Néanmoins, les deux phénomènes ont « une cause commune, qui est le changement climatique : l’énergie qui est apportée par le Soleil à la Terre est de plus en plus piégée par l’effet de serre, et s’accumule en grande partie dans les océans. Ces derniers sont plus chauds et par conséquent les masses d’air qui viennent de l’Atlantique sont aussi plus chaudes », explique-t-il. Robert Vautard alerte sur l’ampleur du stress hydrique et sur le déficit d’enneigement. Il met en garde pour 2023, jugeant déterminantes les précipitations des prochaines semaines pour l’approvisionnement en eau de certaines régions l’été prochain.

Lemonde.fr, 03/01 – 5 min

Les vœux de Macron suscitent des réactions chez les contributeurs du GIEC

Lors de ses traditionnels vœux pour la nouvelle année, le chef de l’Etat Emmanuel Macron s’est attiré les foudres des défenseurs de l’environnement avec une phrase plus que maladroite. « Je repense aux vœux que je vous présentais à la même heure il y a un an […]. Qui aurait pu prédire […] la crise climatique aux effets spectaculaires encore cet été dans notre pays ? » Cette phrase a fait réagir en premier lieu les contributeurs du GIEC, dont Christophe Cassou, indique Huffingtonpost.fr. « Le #GIEC avait prévenu depuis 30 ans. Vous n’avez pas reçu leurs derniers rapports, le 6^e ? », a twitté le scientifique en faisant remarquer la température de 22 °C à 22 heures le 1^er janvier 2023. L’Obs rappelle la chronologie de la crise climatique et de ses impacts en se fondant sur les travaux de l’historien Christophe Bonneuil.

Huffingtonpost.fr, 02/01 – 5 min

Nouvelobs.com, 02/01 – 7 min

La rencontre d’une étoile et d’un trou noir est un événement difficile à observer

L’Humanité publie un entretien avec Jean-Pierre Luminet à propos de l’observation, le 11 février 2022, d’un astre se faisant partiellement avaler par un trou noir supermassif situé à 8,5 milliards d’années-lumière de la Terre. Cet événement émet alors de la matière, sous la forme d’un jet lumineux,  cette fois-ci baptisé AT2022cmc. Neuf mois plus tard, cet événement a été décrit dans deux études internationales publiées dans les revues Nature et Nature Astronomy. Le spécialiste mondial des trous noirs détaille les difficultés d’observation d’un tel événement, d’où l’importance d’AT2022cmc. Dans ce dernier cas, l’un des jets d’AT2022cmc a été émis en direction de notre planète, et c’est ce qui a permis d’observer cette source lumineuse malgré la très grande distance. La galaxie lointaine où l’événement s’est produit devrait pouvoir être détectée grâce aux puissants télescopes spatiaux Hubble et James-Webb.

L’Humanité, 03/01 – 4 min

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