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VIE DU CNRS |
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MT180. Succès public à Montpellier Mercredi 23 mars, à Montpellier, c’est devant près de 460 personnes que 19 doctorants ont pris part à la finale régionale Occitanie Est du concours Ma Thèse en 180 Secondes. Le 1er prix du jury a été attribué à Marie Noguer, dont la thèse porte sur « l’influence de sous-produits métaboliques inhibiteurs sur la production d’hydrogène par fermentation sombre en culture mixte microbienne ». Le deuxième prix, remis par le CNRS, a été attribué à Clément Trotobas pour sa thèse sur les systèmes automatiques et la micro-électronique. Le prix du public est revenu à Rhofrane Mrabti, dont la thèse porte sur les « examens ultrasonores post-irridiatoires sur l’élément combustible du réacteur à haut flux ». Marie Noguer et Rhofrane Mrabti participeront à la demi-finale nationale les 8 et 9 avril, à Paris. Midi Libre, 30/03 – Temps de lecture : 2 min
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Christian Delage, historien : « C’est très important que la société connaisse mieux le langage judiciaire » Midilibre.fr, 29/03 – 3 min
Record du monde à Châteauroux : le lycée Blaise-Pascal va créer le plus long blob vivant Lanouvellerepublique.fr, 30/03 – 4 min
Faut-il tout miser sur l’énergie nucléaire ? Sezin Topçu Télérama, 30/03 – 9 min
Il était une fois en Balkanatolie Alexis Licht, Grégoire Métais Franceculture.fr, 29/03 – 58 min
Le mystère des filatures enfin effiloché Frédéric Restagno Le Monde, 29/03 – 3 min
Vous avez dit « sanctions économiques » ? Anne-Laure Delatte Libération, 30/03 – 4 min
Dennis Sullivan, mathématicien charismatique Etienne Ghys Le Monde, 30/03 – 3 min
DANS LA PRESSE PRO
Des fourmis qui ont du flair… Lequotidiendumedecin.fr, 30/03 – 3 min
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Présidentielle 2022 : Monprogramme2022, abstention, hôpital public, jeunes Des scientifiques français, américains et chiliens ont conçu Monprogramme2022, une plateforme de participation numérique qui permet aux citoyens de construire leur propre programme gouvernemental à partir des propositions des candidats à l’élection présidentielle française, indique La Tribune. Lancé le 29 mars, l’outil a pour objectif non pas d’influencer le débat, mais de générer des données pour, d’une part, améliorer la façon de concevoir des plateformes de participation numérique évolutives et engageantes, et d’autre part, tester empiriquement certaines idées de la théorie du choix social. Alors que le taux d’abstention pourrait atteindre 29 % selon un sondage BVA, Challenges reprend les explications de Bruno Cautrès sur les différences entre l’abstentionnisme, le vote blanc et le vote nul. Dans la majorité des cas, « les personnes qui s’abstiennent font partie de catégories sociales défavorisées, à faible capital culturel, ou de catégories sociales qui s’auto-excluent en considérant que la politique reste trop compliquée pour eux », déclare le chercheur. 20 Minutes fait le point sur les propositions des candidats en matière de santé, un sujet de préoccupation placé sous les projecteurs depuis la crise du Covid-19. « Les questions de santé n’ont jamais mobilisé les campagnes électorales », rappelle Frédéric Pierru. « Le paradoxe de 2022 est le suivant : on sort du Covid-19, qui a mis en évidence de façon criante et navrante la fragilisation du système de santé français. La santé dans les sondages revient dans les trois priorités des Français, tout voudrait qu’elle soit au sommet de l’agenda. Mais les candidats en parlent peu », constate le sociologue. Le quotidien fait également le point sur les propositions des candidats en faveur des jeunes, dont la participation pourrait n’être que de 58 %, selon un sondage Ifop. Traditionnellement, ces propositions émanent des partis de gauche. « La nouveauté pour 2022 est que les partis de droite se positionnent aussi. Cela s’explique par la crise du Covid-19, qui a rendu visible les difficultés économiques des jeunes », souligne Tom Chevalier. Le chercheur analyse ensuite les différences selon le positionnement politique. Enfin, Mediapart revient sur la note de recherche de Gilles Ivaldi qui conclut que le programme économique de Marine Le Pen, candidate du RN, est plus « à gauche » qu’il n’a jamais été, alors que celui d’Eric Zemmour serait plus libéral. Le journal conteste cette conclusion, estimant que le « social », « l’interventionnisme » ou « l’étatisme » ne sont pas des concepts de gauche en soi et qu’une « droite sociale » a toujours existé. La Tribune, 30/03 – 4 min Challenges.fr, 29/03 – 4 min 20minutes.fr, 30/03 – 4 min 20minutes.fr, 30/03 – 5 min Mediapart.fr, 29/03 – 12 min
Guerre en Ukraine : Moscou « sur la défensive », les Ukrainiens « en position de force » Alors qu’une nouvelle session de pourparlers entre la Russie et l’Ukraine s’ouvre à Istanbul, France Info interviewe Marie Mendras à propos de l’avancée des discussions. « Le pouvoir poutinien est sur la défensive », déclare-t-elle. « Je crois que le pouvoir russe ne sait plus trop maintenant dans quel sens aller, parce qu’ils ont démontré qu’ils ne pouvaient pas avancer en Ukraine et qu’ils ne pouvaient pas occuper tout le territoire, qu’ils ne pouvaient pas faire tomber le gouvernement Zelensky. » Par conséquent, cette négociation est « un moment absolument clé dans cette guerre, parce que les Ukrainiens y vont paradoxalement en position de force », indique-t-elle. Francetvinfo.fr, 29/03 – 2 min
Faire semblant (sur le climat) Charlie Hebdo dénonce les pseudo-décisions des dirigeants politiques concernant le réchauffement climatique, notamment lors de la COP21, en décembre 2015, à Paris. Ainsi, des signaux alarmants émis par plusieurs études parues ces dernières semaines sont relativisés au lieu de déboucher sur un changement. Le journal fait notamment référence à l’étude française parue début février, qui démontre l’existence de fuites massives de méthane au cours de l’extraction de gaz et de pétrole. Charlie Hebdo, 30/03 – 3 min
Géopolitique de l’inconscient Charlie Hebdo s’interroge sur le profil psychologique de Vladimir Poutine et recommande, pour trouver des éléments de réponse, le dernier livre de Patrick Weil, « Le président est-il devenu fou ? » (Grasset). Il y est question du président Wilson, à la tête des Etats-Unis entre 1913 et 1921, et de son rôle dans l’écriture du traité de Versailles. Ayant retrouvé le manuscrit original du livre co-écrit à l’époque par Freud et le diplomate américain William Bullitt, l’historien montre que Freud a bel et bien œuvré à un portrait psychologique de Wilson, alors que cet ouvrage n’a jamais été vraiment intégré à ses œuvres complètes. Charlie Hebdo, 30/03 – 3 min
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