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POLITIQUE DE LA RECHERCHE |
ET AUSSI… |
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Révélations sur un rapport de l’Igas concernant le pilotage de la réponse au Covid-19 Le Parisien révèle des extraits du rapport confidentiel de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) sur la gestion de crise du Covid-19, qu’il a pu consulter. « L’intérêt stratégique de la recherche médicale a été identifié très tôt dans le déroulé de la crise. Une cellule interministérielle a été activée en mars et placée sous l’autorité du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche, et du ministère de la Santé », indique tout d’abord le document de novembre 2020 intitulé « Retour d’expérience du pilotage de la réponse à l’épidémie de Covid-19 par le ministère des Solidarités et de la Santé ». Cependant, l’opérateur externe de ce ministère, Santé publique France (SPF), « n’a pas joué le rôle de coordination de l’expertise (…) attendu au regard de ses missions légales ». En effet, « le très fort dynamisme de la recherche s’est accompagné d’une incontestable dispersion des projets avec plusieurs effets délétères ». Pourtant, « dès mars-avril, de multiples voix se sont élevées pour alerter (…) : projets redondants, trop segmentés, regroupements d’équipes trop peu nombreux, cohortes ou perspectives de cohortes trop faibles ». La conséquence est qu’« il y a eu un saupoudrage d’argent public et tant de projets de recherche que les patients manquaient pour en faire partie ». L’Igas recommande à l’avenir de « prioriser les axes de la recherche » et de « favoriser les regroupements d’équipes et la dimension européenne ». Leparisien.fr, 04/01 – 3 min
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La « faille » entraperçue dans le Modèle standard de la physique était un mirage Guy Wormser Le Figaro, 04/01 – 4 min
Une simulation d’un réseau de neurones artificiels équivalent à la taille du cerveau d’un petit singe Alexandre Muzy France Culture, 03/01 – 5 min
Politique : rentrée à haut risque pour le gouvernement Bruno Cautrès France Culture, 04/01 – 64 min
Refus d’obtempérer : 13 morts en 2022 et des questions sur l’usage de l’arme par la police Fabien Jobard Lepoint.fr, 04/01 – 4 min
Après avoir sauvé une octogénaire des flammes, un Albanais reçoit une OQTF Sarah Mazouz Mediapart.fr, 03/01 – 11 min
La vaisselle en plastique arrive dans les fast-foods, et pour une fois c’est pour la planète Jean-François Gérard Huffingtonpost.fr, 04/01 – 4 min
Comment faire famille à distance ? Thomas Lacroix Rfi.fr, 03/01 – 49 min
Du Pirée à Hambourg : l’Europe sous influence chinoise ? César Ducruet France Culture, 03/01 – 58 min
Vingt-trois ans après Sharon, la périlleuse visite du ministre Ben Gvir sur les lieux saints de Jérusalem Ron Naiweld Letemps.ch, 03/01 – 3 min
DANS LA PRESSE PRO
27 petites vidéos pour appréhender la sociologie de la déviance Carole Gayet-Viaud Lagazettedescommunes.com, 03/01 – 2 min
Piriou et 3C Metal ont démarré la construction de Polar Pod Meretmarine.com, 03/01 – 2 min
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Covid-19. Que sait-on des variants BF.7 et XBB.1.5 ? XBB.1.5, un nouveau variant du SARS-CoV-2, pourrait s’imposer en France. Au 31 décembre 2022, il était de loin le variant majoritaire aux Etats-Unis, avec 40,5 % des cas. Apparu à la fin 2021, il est un assemblage de deux variants d’Omicron et se caractérise par une très forte contagiosité. « Il présente une mutation qui restaure l’affinité pour le récepteur humain [ACE2], un peu altérée par de précédentes mutations. L’hypothèse de travail est que c’est ce qui lui permettrait d’être plus infectieux », explique Florence Débarre à France Info. En revanche, il n’y a pour l’instant pas d’indication que XBB.1.5 serait plus virulent que les autres variants de la famille Omicron. Cité par Libération, Samuel Alizon estime que XBB.1.5 est « plus à surveiller » que BF.7. Ce dernier fait certes des ravages en Chine, mais c’est parce que la population y est faiblement immunisée du fait d’une vaccination peu efficace et des mesures draconiennes qui avaient été prises. Mais malgré le besoin de surveillance, la France a réduit sa capacité de suivi génomique, lequel permet justement à Santé publique France d’exécuter des points épidémiologiques, des avis de risque et autres rapports sur le Covid. « Malheureusement, on manque de stratégie et de vision sur le moyen et le long terme », déplore Samuel Alizon. Francetvinfo.fr, 03/01 – 3 min Liberation.fr, 03/01 – 5 min
Enquête sur le phare d’Alexandrie TF1 diffuse un reportage sur le phare d’Alexandrie, objet de nombreux mythes. A la suite d’un tremblement de terre en 1435, le phare s’est écroulé et la plupart de ses vestiges se situent aujourd’hui sous l’eau. Deux archéologues l’étudient depuis plus de 20 ans. Leur enquête a commencé à Qaitbay, un site portuaire stratégique. Isabelle Hairy a découvert que certaines parties de cette citadelle avaient été construites avec des morceaux du phare. Sous l’eau, les blocs jonchant le sable sont photographiés sous tous les angles depuis six ans afin de créer une carte sous-marine en 3D. L’on sait aujourd’hui que le phare mesurait 13 mètres de haut, qu’il était décoré et qu’il rayonnait dans la nuit grâce à des feux alimentés à l’huile allumés dans des vasques. Tf1info.fr, 03/01 – 3 min
« Moi le blob » Le Monde présente le livre « Moi le blob » (Humensciences) de la chercheuse Audrey Dussutour et de l’illustrateur Simon Bailly. A ses heures perdues, la spécialiste des fourmis étudiait Physarum polycephalum, une drôle de créature à l’apparence d’omelette, dépourvue de neurones mais capable d’apprentissage, insensible à la découpe, au feu ou à la submersion – d’où son surnom inspiré d’un film d’horreur américain. Audrey Dussutour eut l’idée de raconter ses recherches et ses découvertes dans un premier livre, dont les ventes dépassent désormais la barre des 30 000 exemplaires. Dans ce nouvel ouvrage, le blob prend la parole et raconte son périple et son succès. Le Monde, 04/01 – 3 min
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INNOVATION |
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Nanomade sera au CES Nanomade compte sur le CES 2023 de Las Vegas, qui ouvre le 5 janvier, pour accélérer son déploiement commercial. Grâce à des travaux conduits au sein du Laboratoire de physique et chimie en nanoobjet, la start-up toulousaine a développé un capteur tactile de pression en nanotechnologie imprimable, capable de rendre toutes surfaces et tous matériaux interactifs. Usinenouvelle.com, 03/01 – 3 min
Amiral Technologies prédit les pannes Basée à Grenoble, la PME Amiral Technologies a mis au point un logiciel, baptisé DiagFit, permettant de prédire très rapidement les pannes dans l’industrie et donc de les éviter au maximum. Créé au CNRS, l’outil fonctionne à partir des données générées par des capteurs. Le Dauphiné Libéré, 04/01 – 3 min
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