POLITIQUE DE LA RECHERCHE |
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Rennes. L’université Unir sur les rails Unir, la grande université de Rennes, verra enfin le jour en 2023, ont annoncé mercredi les présidents et directeurs de Rennes 1, Rennes 2, l’Ecole des hautes études en santé publique, l’Ecole nationale supérieure de chimie de Rennes, l’ENS Rennes, l’INSA Rennes et Sciences Po Rennes. L’objectif est de faire émerger une vaste université de recherche et de formation reconnue internationalement. Les statuts de gouvernance de cet Etablissement public expérimental (EPE) seront votés à l’été 2022. 35 millions d’euros de subventions de l’Etat pourraient être accordés dans le cadre du programme « investissements d’avenir ». A noter que Rennes 2 et l’Insa n’intègreront pas l’EPE à part entière afin de conserver leur statut juridique et moral. Ouest-France, Temps de lecture : 20/01 – 3 min |
Selon des chercheurs, Mars avait un « climat froid et humide il y a environ trois milliards d’années » Nextinpact.com, 19/01 – 2 min CNRS, 18/01 La brume organique de Pluton se dévoile Futura-sciences.com, 19/01 – 3 min « Autoritaire », « méprisant » : pourquoi la méthode Blanquer exaspère une partie des enseignants Luc Rouban, Bruno Cautrès Lexpress.fr, 20/01 – 6 min Atlantico.fr, 19/01 – 2 min Comment soutenir le revenu des jeunes en France Tom Chevalier Lesechos.fr, 20/01 – 3 min Lemonde.fr, 19/01 – 4 min Il y a du plastique dans l’air ! Gaël Le Roux, Jeroen Sonke Franceculture.fr, 19/01 – 58 min L’extension des aires marines protégées Joachim Claudet Franceculture.fr, 19/01 – 5 min La maternité à plus de 40 ans Marc Bessin Franceinter.fr, 19/01 – 60 min « Au XXIème siècle, le solaire pourrait devenir l’énergie principale » Daniel Lincot Sciencesetavenir.fr, 19/01 – 7 min Biodiversité : quelles vertus écologiques pour les terres agricoles « ordinaires » ? Thierry Dutoit 20minutes.fr, 19/01 – 5 min |
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Covid-19 : possibilités d’évolution de la pandémie, questions sur l’origine du virus L’Express s’interroge à son tour sur l’éventualité que le variant Omicron, très transmissible mais moins sévère que ses prédécesseurs, permette d’atteindre une forme d’immunité collective. Le journal reprend les explications d’Etienne Decroly, de Bruno Canard et de Samuel Alizon concernant les motifs d’espérance, mais aussi les raisons pour lesquelles il faut rester prudent. Par exemple, le virus pourrait faire un détour chez l’animal, puis réapparaître sous une forme capable de déjouer notre immunité. C’est le cas parfois avec la grippe lorsque le virus passe dans les élevages aviaires ou porcins, ce qui nécessite des campagnes d’abattage. Mais « pour le SARS-CoV-2, nous ne savons toujours pas comment le virus est passé de la chauve-souris à l’homme, donc nous ne savons pas où regarder », rappelle Etienne Decroly. La Tribune revient sur les zones d’ombre de l’enquête sur les origines du SARS-CoV-2. Etienne Decroly indique que, contrairement aux autres épidémies de coronavirus, la chaîne de contamination des chauves-souris aux humains n’a pas pu être établie cette fois-ci. En revanche, il rappelle que l’Institut de virologie de Wuhan travaillait sur le projet américain Defuse visant « à étudier comment les coronavirus de chauve-souris peuvent s’adapter pour infecter les humains, en vue de prévenir les épidémies ». « La préparation aux pandémies nécessite de comprendre l’origine de ce virus à partir des vulnérabilités de notre infrastructure et des transformations de notre écologie, ajoute Fréderic Keck. L’origine animale du SARS-CoV-2 a favorisé la prise de conscience du rôle de la biodiversité dans l’équilibre entre les vivants. » Lexpress.fr, 19/01 – 8 min Latribune.fr, 20/01 – 6 min ViroCrib, une plateforme pour mieux prévenir les futures pandémies Afin de se préparer à de nouvelles menaces infectieuses à caractère pandémique, le CNRS a créé ViroCrib, une nouvelle infrastructure partagée de criblage de molécules antivirales, qui rassemblera plusieurs laboratoires nationaux. ViroCrib étudiera en priorité les virus respiratoires comme les coronavirus, les virus de la grippe, les pneumovirus, et éventuellement d’autres virus pathogènes non respiratoires. Pour démarrer, ViroCrib a reçu un financement de 1,5 million d’euros de la part du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. La Tribune, 20/01 – 3 min Des coraux s’adaptent au réchauffement climatique Si les coraux peu profonds sont en train de disparaître, d’autres pourraient être moins impactés par le changement climatique. Au large de Tahiti, un récif corallien intact a ainsi été découvert à plus de trente mètres de profondeur. Pourtant, « en 2019, il y a eu une vague de chaleur et la température de la mer a été mesurée en hausse de 1 °C jusqu’à 50 mètres de profondeur, où il faisait alors 30 °C au lieu de 29 °C », rappelle Laetitia Hédouin. Les coraux en forme de rose observés sur le site semblent s’adapter « à moins de lumière, et donc à moins d’énergie ». « Consomment-ils du zooplancton plutôt que de juste vivre en symbiose avec des algues », s’interroge la chercheuse ? Cette hypothèse, étudiée avec Héloïse Rouzé, a déjà fait l’objet d’une publication dans The ISME Journal du groupe Nature en janvier 2021. Le Figaro, 20/01 – 3 min Lefigaro.fr, 20/01 – 2 min |
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INNOVATION |
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Sophia Antipolis, un moteur de l’innovation Valeurs Actuelles publie un supplément sur Sophia Antipolis, qui, en cinq décennies, s’est imposée comme une référence mondiale dans le domaine des technologies. Les liens étroits tissés entre les entreprises, les écoles et les laboratoires de recherche ont permis à la technopole de percer en matière de compétitivité et d’innovation. Le journal s’intéresse notamment au Sophia Summit, dont le CNRS est partenaire, et à l’institut 3IA, coordonné par l’université Côte d’Azur, le CNRS, Inria, l’Inserm et Eurecom. « Avec Inria, le CNRS et bien d’autres pôles d’excellence, notre recherche baigne dans la recherche académique mais aussi dans la recherche appliquée », souligne Jean Leonetti, président de la communauté d’agglomération Sophia Antipolis. « La recherche d’une meilleure qualité de vie et notre écosystème local (universitaire, hospitalier, académique), plus particulièrement la qualité de notre recherche fondamentale, notamment Inserm et CNRS, reconnue mondialement, me font penser que nous avons une vraie carte à jouer », déclare pour sa part Pierre Diebolt, président de la filiale française de Nuvisan, implantée à Sophia Antipolis. Valeurs Actuelles, 20/01 – 14 min |
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