Fwd: [CNRS Presse] Synthèse de presse – 20 janvier 2022

 

POLITIQUE DE LA RECHERCHE

ET AUSSI…

 

 

Rennes. L’université Unir sur les rails

Unir, la grande université de Rennes, verra enfin le jour en 2023, ont annoncé mercredi les présidents et directeurs de Rennes 1, Rennes 2, l’Ecole des hautes études en santé publique, l’Ecole nationale supérieure de chimie de Rennes, l’ENS Rennes, l’INSA Rennes et Sciences Po Rennes. L’objectif est de faire émerger une vaste université de recherche et de formation reconnue internationalement. Les statuts de gouvernance de cet Etablissement public expérimental (EPE) seront votés à l’été 2022. 35 millions d’euros de subventions de l’Etat pourraient être accordés dans le cadre du programme « investissements d’avenir ». A noter que Rennes 2 et l’Insa n’intègreront pas l’EPE à part entière afin de conserver leur statut juridique et moral.

Ouest-France, Temps de lecture : 20/01 – 3 min

 

 

 

Selon des chercheurs, Mars avait un « climat froid et humide il y a environ trois milliards d’années »

Nextinpact.com, 19/01 – 2 min

CNRS, 18/01

 

La brume organique de Pluton se dévoile

Futura-sciences.com, 19/01 – 3 min

 

« Autoritaire », « méprisant » : pourquoi la méthode Blanquer exaspère une partie des enseignants

Luc Rouban, Bruno Cautrès

Lexpress.fr, 20/01 – 6 min

Atlantico.fr, 19/01 – 2 min

 

Comment soutenir le revenu des jeunes en France

Tom Chevalier

Lesechos.fr, 20/01 – 3 min

Lemonde.fr, 19/01 – 4 min

 

Il y a du plastique dans l’air !

Gaël Le Roux, Jeroen Sonke

Franceculture.fr, 19/01 – 58 min

 

L’extension des aires marines protégées

Joachim Claudet

Franceculture.fr, 19/01 – 5 min

 

La maternité à plus de 40 ans

Marc Bessin

Franceinter.fr, 19/01 – 60 min

 

« Au XXIème siècle, le solaire pourrait devenir l’énergie principale »

Daniel Lincot

Sciencesetavenir.fr, 19/01 – 7 min

 

Biodiversité : quelles vertus écologiques pour les terres agricoles « ordinaires » ?

Thierry Dutoit

20minutes.fr, 19/01 – 5 min

 

 

 

ACTUALITE DES LABORATOIRES

 

 

Covid-19 : possibilités d’évolution de la pandémie, questions sur l’origine du virus

L’Express s’interroge à son tour sur l’éventualité que le variant Omicron, très transmissible mais moins sévère que ses prédécesseurs, permette d’atteindre une forme d’immunité collective. Le journal reprend les explications d’Etienne Decroly, de Bruno Canard et de Samuel Alizon concernant les motifs d’espérance, mais aussi les raisons pour lesquelles il faut rester prudent. Par exemple, le virus pourrait faire un détour chez l’animal, puis réapparaître sous une forme capable de déjouer notre immunité. C’est le cas parfois avec la grippe lorsque le virus passe dans les élevages aviaires ou porcins, ce qui nécessite des campagnes d’abattage. Mais « pour le SARS-CoV-2, nous ne savons toujours pas comment le virus est passé de la chauve-souris à l’homme, donc nous ne savons pas où regarder », rappelle Etienne Decroly.

La Tribune revient sur les zones d’ombre de l’enquête sur les origines du SARS-CoV-2. Etienne Decroly indique que, contrairement aux autres épidémies de coronavirus, la chaîne de contamination des chauves-souris aux humains n’a pas pu être établie cette fois-ci. En revanche, il rappelle que l’Institut de virologie de Wuhan travaillait sur le projet américain Defuse visant « à étudier comment les coronavirus de chauve-souris peuvent s’adapter pour infecter les humains, en vue de prévenir les épidémies ». « La préparation aux pandémies nécessite de comprendre l’origine de ce virus à partir des vulnérabilités de notre infrastructure et des transformations de notre écologie, ajoute Fréderic Keck. L’origine animale du SARS-CoV-2 a favorisé la prise de conscience du rôle de la biodiversité dans l’équilibre entre les vivants. »

Lexpress.fr, 19/01 – 8 min

Latribune.fr, 20/01 – 6 min

 

ViroCrib, une plateforme pour mieux prévenir les futures pandémies

Afin de se préparer à de nouvelles menaces infectieuses à caractère pandémique, le CNRS a créé ViroCrib, une nouvelle infrastructure partagée de criblage de molécules antivirales, qui rassemblera plusieurs laboratoires nationaux. ViroCrib étudiera en priorité les virus respiratoires comme les coronavirus, les virus de la grippe, les pneumovirus, et éventuellement d’autres virus pathogènes non respiratoires. Pour démarrer, ViroCrib a reçu un financement de 1,5 million d’euros de la part du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

La Tribune, 20/01 – 3 min

 

Des coraux s’adaptent au réchauffement climatique

Si les coraux peu profonds sont en train de disparaître, d’autres pourraient être moins impactés par le changement climatique. Au large de Tahiti, un récif corallien intact a ainsi été découvert à plus de trente mètres de profondeur. Pourtant, « en 2019, il y a eu une vague de chaleur et la température de la mer a été mesurée en hausse de 1 °C jusqu’à 50 mètres de profondeur, où il faisait alors 30 °C au lieu de 29 °C », rappelle Laetitia Hédouin. Les coraux en forme de rose observés sur le site semblent s’adapter « à moins de lumière, et donc à moins d’énergie ». « Consomment-ils du zooplancton plutôt que de juste vivre en symbiose avec des algues », s’interroge la chercheuse ? Cette hypothèse, étudiée avec Héloïse Rouzé, a déjà fait l’objet d’une publication dans The ISME Journal du groupe Nature en janvier 2021.

Le Figaro, 20/01 – 3 min

Lefigaro.fr, 20/01 – 2 min

 

 

 

INNOVATION

 

 

Sophia Antipolis, un moteur de l’innovation

Valeurs Actuelles publie un supplément sur Sophia Antipolis, qui, en cinq décennies, s’est imposée comme une référence mondiale dans le domaine des technologies. Les liens étroits tissés entre les entreprises, les écoles et les laboratoires de recherche ont permis à la technopole de percer en matière de compétitivité et d’innovation. Le journal s’intéresse notamment au Sophia Summit, dont le CNRS est partenaire, et à l’institut 3IA, coordonné par l’université Côte d’Azur, le CNRS, Inria, l’Inserm et Eurecom. « Avec Inria, le CNRS et bien d’autres pôles d’excellence, notre recherche baigne dans la recherche académique mais aussi dans la recherche appliquée », souligne Jean Leonetti, président de la communauté d’agglomération Sophia Antipolis. « La recherche d’une meilleure qualité de vie et notre écosystème local (universitaire, hospitalier, académique), plus particulièrement la qualité de notre recherche fondamentale, notamment Inserm et CNRS, reconnue mondialement, me font penser que nous avons une vraie carte à jouer », déclare pour sa part Pierre Diebolt, président de la filiale française de Nuvisan, implantée à Sophia Antipolis.

Valeurs Actuelles, 20/01 – 14 min

 

 

 

 

 

Cette synthèse de presse résume des articles mentionnant des chercheurs ou des laboratoires du CNRS et elle ne peut en aucun cas être interprétée comme reflétant le point de vue du CNRS.

Les articles ne peuvent être fournis pour raison de droits d’auteurs.

Ni Kantar ni le CNRS ne sauraient être tenus pour responsables de l’exactitude, de la qualité, de la précision et de la tonalité des informations et des commentaires présentés. L’ensemble du contenu de la synthèse de presse est la propriété exclusive du CNRS. Toute diffusion externe au CNRS sous quelque forme que ce soit est soumise à autorisation de la part du CNRS.

 

Pour vous abonner ou vous désabonner.

(Authentification Janus requise)

 

 

 

 

 

Kantar Disclaimer

Laisser un commentaire

Retour en haut