[CNRS Presse] CNRS : Synthèse de presse – 15 novembre 2023

CNRS

 

Synthèse de presse

 

15 novembre 2023

 

Vie du CNRS

Le CNRS et l’UBO signent un nouveau partenariat jusqu’en 2027

Le PDG du CNRS, Antoine Petit, et le président de l’université de Bretagne occidentale (UBO), Pascal Olivard, ont signé mardi, à Brest, une nouvelle convention de partenariat sur la période 2022-2027. Cette signature confirme le fait que l’UBO et le CNRS sont alignés sur des grands principes de développement de la recherche, dont la volonté de valoriser la recherche appliquée ou de rendre accessible au plus grand nombre la recherche scientifique et ses données, a souligné Antoine Petit. La convention liste les grandes thématiques sur lesquelles l’université et l’organisme de recherche ont l’ambition de collaborer. Elle vise aussi à rendre le site brestois « encore plus visible », notamment à l’international. Fin octobre, le classement de Shanghai a placé l’UBO à la cinquième place des meilleures universités au monde en océanographie, l’une des thématiques dans lesquelles l’UBO se distingue.

Letelegramme.fr, 14/11 – 3 min

 

Nominations au sein du comité national d’orientation de Bpifrance

Un arrêté du ministère de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, paru samedi au Journal officiel, acte plusieurs nominations pour une durée de trois ans au sein du comité national d’orientation de Bpifrance. Parmi ces personnalités, choisies en raison de leur compétence, figure Jean-Luc Moullet, directeur général délégué à l’innovation au CNRS, pour le volet innovation.

Bulletin Quotidien, 15/11 – 3 min

 

 

Actualités des laboratoires

L’IA peut corriger l’optique des super-télescopes

L’intelligence artificielle sera nécessaire pour le fonctionnement des futurs télescopes au Chili, en Afrique du Sud et en Australie. En effet, pour compenser les turbulences de l’atmosphère qui floutent les images, l’optique adaptative utilise un miroir dont la surface est déformable grâce à des milliers d’actionneurs, ce qui nécessite énormément de calculs dans un court laps de temps. « Pour le télescope au Chili, Very Large Telescope (VLT), nous devons contrôler entre 200 et 1 600 actionneurs. Pour le prochain, l’ELT, au miroir principal cinq fois plus grand, la complexité sera vingt-cinq fois plus grande, avec jusqu’à 40 000 actionneurs pour les instruments les plus complexes », détaille Damien Gratadour. L’IA a été utilisée pour résoudre ces défis. « L’intelligence artificielle est un bonus » notamment grâce à son « aspect prédictif » et à sa capacité « d’atténuer les turbulences très rapides, ce qui permettra de prolonger une observation », apprécie Anthony Boccaletti.

Le Monde, 15/11 – 5 min

 

Un robot quadrupède destiné à la recherche

Sassa, un petit robot à quatre pattes, a été développé par le laboratoire Gepetto à Toulouse. Les robots quadrupèdes sont en vogue dans la robotique depuis une dizaine d’années, car ils offrent davantage de stabilité que les bipèdes, explique Philippe Souères. Sassa présente surtout de l’intérêt parce que ses concepteurs ont choisi de travailler en open source, afin de diffuser la connaissance auprès de la communauté scientifique, indique Pierre-Alexandre Léziart. Présenté en juin 2023 à la Conférence IEEE Robotics & Automation Society, à Londres, Sassa était la seule « plateforme complètement ouverte et conçue par un laboratoire de recherche académique », ajoute Philippe Souères.

Lesechos.fr, 14/11 – 3 min

 

Volcan en Islande. En France, « ce n’est pas le même contexte tectonique »

L’Islande se prépare à une éruption imminente du volcan Fagradalsfjall, dans le sud-ouest du pays. L’activité sismique s’est calmée ces dernières heures, mais il est difficile de savoir ce que cela signifie. « Quand le magma est aussi proche, c’est très difficile d’obtenir des signaux pour nous indiquer s’il va y avoir une éruption ou pas. Par exemple, en 2021, il y avait eu une semaine d’accalmie avant l’éruption », rappelle au HuffPost, Olivier Sigmarsson. Interrogé par franceinfo sur les risques d’une situation similaire en France, Patrick Allard répond que « c’est possible a priori », mais que « ce n’est pas le même contexte tectonique ». « L’Islande est située sur la fameuse dorsale médio-océanique et une chaîne volcanique (…), à partir de laquelle s’écartent les plaques tectoniques (…). La France n’est pas du tout sur une zone dorsale d’écartement de plaques. »

Huffingtonpost.fr, 14/11 – 3 min

franceinfo, 14/11 – 4 min

 

Une expérience pour améliorer la fiabilité de la paléoneurologie

Pour déceler les capacités cognitives de nos ancêtres préhistoriques, les paléoneurologues dessinent les sillons séparant les différentes parties du cerveau à partir des empreintes laissées sur la surface interne des crânes parvenus jusqu’à nous. Pour tenter de faire progresser cette jeune science, Antoine Balzeau s’est livré à une expérience. Il a demandé à quatorze experts d’interpréter l’endocrâne d’un volontaire vivant, restitué par imagerie grâce à l’Institut du cerveau. Les résultats proposés ont parfois été éloignés des sillons du cerveau du patient. L’expérience devrait être reproduite afin d’améliorer la fiabilité de la paléoneurologie.

Le Monde, 15/11 – 1 min

CNRS, 09/11

 

 

Et aussi

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Usinenouvelle.com, 14/11 – 2 min

 

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Elara Bertho

TV5 Monde, 15/11 – 8 min

 

Elèves en difficulté, écarts de niveaux… Quel est le problème au collège ?

Jérôme Prado

Ouest-France.fr, 14/11 – 4 min

 

A Sainte-Maxime, CTX Lab lève 2 millions d’euros pour un gel anti-cystite

Nicematin.com, 14/11 – 3 min

 

Les pluies d’automne ont-elles rechargé la nappe de Beauce ? Un laboratoire scrute

Lechorepublicain.fr, 14/11 – 3 min

 

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Letelegramme.fr, 14/11 – 2 min

 

 

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