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VIE DU CNRS |
ET AUSSI… |
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Deux Talents CNRS ont reçu leur médaille à Lille Eléonore Roussel, chargée de recherche en physique des accélérateurs, et Gérald Dherbomez, ingénieur de recherche en robotique, ont été récompensés lors de la cérémonie des Talents 2022 du CNRS qui s’est tenue mardi soir à la Cité scientifique de Lille. La première a reçu une médaille de bronze, tandis que le second s’est vu attribuer une médaille de cristal. Christophe Muller, délégué régional Hauts-de-France du CNRS, a rappelé que ce prix vient couronner des années de travail au service de la recherche ou encourager de jeunes scientifiques dont les travaux ouvrent de nouvelles perspectives. Lavoixdunord.fr, 14/12 – 2 min
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France-Maroc : ils sont binationaux et fiers de l’être, n’en déplaise à l’extrême droite Marwan Mohammed Mediapart.fr, 14/12 – 6 min
50 ans après le dernier homme sur la lune, l’explore-t-on pour la connaître ou l’exploiter ? Arnaud Saint-Martin France Culture, 14/12 – 37 min
Claude Grison : des plantes dépollueuses Lopinion.fr, 15/12 – 3 min Lamontagne.fr, 14/12 – 4 min
L’incroyable expédition scientifique de Jean-Louis Etienne dans les cinquantièmes hurlants Levif.be, 14/12 – 11 min
La Bande Originale Marc Lachieze-Rey France Inter, 14/12 – 76 min
L’émigration, seule issue face à l’intensification du changement climatique ? Katrin Millock Lesechos.fr, 14/12 – 3 min
Les études d’impact n’ont aucune valeur Hippolyte d’Albis Les Echos, 15/12 – 3 min
DANS LA PRESSE PRO
Un nouveau matériau pour la production d’hydrogène vert à grande échelle Charles Cornet Techniques-ingenieur.fr, 14/12 – 6 min
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Pourquoi la concentration de méthane dans l’atmosphère a bondi en 2020 Dans une étude publiée mercredi par Nature, des scientifiques révèlent qu’en 2020, le taux d’augmentation des émissions de méthane – deuxième gaz à effet de serre dans l’atmosphère, derrière le CO2 – a été le plus élevé jamais atteint dans le monde depuis 1984. Or, 2020 a été marquée par les confinements et a enregistré une baisse des émissions de CO2. Pour expliquer ce phénomène inattendu, l’équipe a passé en revue les différentes sources d’émissions de méthane et a réussi à identifier deux causes. Premièrement, il a fait plus chaud et plus humide dans l’hémisphère nord, ce qui a favorisé les émissions naturelles de méthane par des micro-organismes contenus dans cette zone. Ce facteur explique 50 % du surplus d’émission de méthane. Deuxièmement, la baisse de la pollution automobile a participé à la diminution de radicaux hydroxyles (OH) dans l’atmosphère, des micro-éléments au pouvoir oxydant qui assurent 85 % de la destruction du méthane. Ces conclusions renforcent l’hypothèse d’un emballement climatique : d’une part, plus il fait chaud et humide, plus il y a production de méthane, qui participe à ce même réchauffement climatique, et d’autre part, plus la pollution de l’air est réduite et moins le méthane est détruit. Francetvinfo.fr, 14/12 – 2 min 20minutes.fr, 14/12 – 5 min Midilibre.fr, 14/12 – 2 min CNRS, 14/12
Premier son d’un tourbillon de poussière sur Mars Sur Mars, le rover Perseverance est parvenu à enregistrer le premier son d’un tourbillon de poussière grâce à son micro conçu par des scientifiques à Toulouse. L’enregistrement a été décrit dans une étude parue mardi dans Nature Communications. Il correspond à un tourbillon de poussière de 25 mètres de large et d’au moins 118 mètres de haut, passé au-dessus du robot martien. Des images ont été enregistrées simultanément par la caméra de navigation de Perseverance, ainsi que par l’instrument Mars Environmental Dynamics Analyzer. Avec cette bande sonore, les scientifiques espèrent pouvoir quantifier les flux et mieux comprendre le soulèvement de la surface et le transport atmosphérique sur Mars. Une découverte qui devrait s’avérer importante pour les futures missions d’exploration. La Tribune, 15/12 – 2 min
Les mégabassines, une « maladaptation » Alors que les militants anti-bassines manifestent de nouveau ce jeudi, à Orléans, à l’occasion du conseil d’administration de l’Agence de l’eau Loire-Bretagne, de nombreux scientifiques affirment que ce type de réservoir est une « maladaptation » et qu’il faut plutôt revoir certaines pratiques agricoles. Mediapart interroge à ce sujet l’hydrogéologue Florence Habets. Les bassines ont été apportées en réponse à un problème datant des années 1990 « sans intégrer du tout le changement climatique », rappelle-t-elle. Or, « si nous parvenons à limiter la hausse moyenne des températures européennes à 1,5 degré, les sécheresses les plus longues dureront en moyenne trois ans et les réservoirs d’eau que constituent les mégabassines seront vides dès le deuxième hiver ». De plus, les scientifiques manquent d’informations objectives pour évaluer l’impact de ces bassines, souligne Florence Habets. Mediapart.fr, 15/12 – 8 min
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