Fwd: [CNRS Presse] CNRS : Synthèse de presse – 18 août 2021

 

dircom.synthese-presse@cnrs.fr » naturalheight= »211″ naturalwidth= »1255″ id= »Image_x0020_1″ src= »http://lptms.u-psud.fr/files/2021/08/image001-1.png » class= » » width= »770″ height= »129″>

 

POLITIQUE DE LA RECHERCHE

ET AUSSI…

 

 

Les universités françaises dans le classement de Shanghai

Le classement de Shanghai 2021 est toujours dominé par des universités anglo-saxonnes, observe L’Express. Celle de Harvard (Etats-Unis) occupe la première place depuis dix-neuf ans. Cette année, quatre facultés françaises figurent dans le top 100 mondial : Paris-Saclay, à la 13ème place, ainsi que Sorbonne Université, Paris Sciences et Lettres et Université de Paris. C’est avec la loi sur l’autonomie des universités du 10 août 2007 que les établissements français, regroupés en entités plus importantes, ont pu devenir visibles dans ce classement. Reste que si les universités françaises ont ainsi gagné en prestige, elles doivent, pour se maintenir, tenir compte de la concurrence, notamment celle des établissements chinois. Or, les investissements de Pékin dans la recherche sont d’un ordre de grandeur très supérieur à ceux des pays européens. Dans leur série « Histoire du plateau de Saclay », Les Echos soulignent qu’avec ses 275 laboratoires, cinq facultés, quatre grandes écoles et six organismes de recherche, dont le CNRS, Paris Saclay permet enfin à la France de pouvoir se mesurer à des légendes comme Stanford ou Cambridge. La constitution du plateau de Saclay a notamment permis une transversalité des travaux entre organismes différents.

Lexpress.fr, 17/08 – Temps de lecture : 3 min

Lesechos.fr, 17/08 – 3 min

CNRS, 16/08

 

 

 

« Après les grandes épidémies ». La variole

Stéphen Rostain

Les Echos, 18/08 – 4 min

 

Climat : les courants marins de l’Atlantique sont-ils à un point de bascule ?

Didier Swingedouw

Liberation.fr, 17/08 – 2 min

 

Strasbourg : les tortues exotiques, envahissantes, menacent la biodiversité dans les parcs de la ville

Jean-Yves Georges

France 3 Régions, 17/08 – 3 min

Lepoint.fr, 17/08 – 1 min

 

Lavage de pierre. Déconvenues archéologiques (4/6)

Libération, 18/08 – 2 min

 

Faut-il laver ses enfants tous les jours ?

Alain Géloën

Lefigaro.fr, 17/08 – 3 min

 

 

 

ACTUALITE DES LABORATOIRES

 

 

Présidentielle 2022. Une primaire populaire s’organise à gauche

Des citoyens du collectif « 2022 ou jamais », lassés des divisions de la gauche, ont lancé la plateforme en ligne primairepopulaire.fr. Depuis le 11 juillet, il est possible, moyennant l’adhésion à une charte de valeurs communes, de parrainer un candidat issu du monde politique ou de la société civile. Le 11 octobre, les cinq femmes et cinq hommes ayant obtenu le plus de parrainages pourront participer à une primaire, via des débats puis un vote du 18 au 21 novembre. Innovant jusqu’au bout, le collectif a instauré le jugement majoritaire, inventé par deux chercheurs français, qui consiste à attribuer à chaque candidat une mention allant de « à rejeter » à « très bien ».

L’Humanité, 18/08 – 3 min

 

« Alpages volants » : les plantes alpines du col du Galibier sont menacées

Les conclusions de l’opération « Alpages volants » inquiètent. Pour rappel, une dizaine de parcelles du col du Galibier ont été descendues par hélicoptère de 2 500 à 1 900 mètres d’altitude, où la température moyenne est plus élevée. Ces morceaux de prairies avec leur végétation et leur humus abritant insectes, bactéries et champignons, ont ainsi été exposés aux conditions d’un réchauffement climatique de 3 degrés. Il en ressort que les plantes d’altitude sont fragilisées par la fonte plus précoce de la couverture neigeuse. Elles font moins de fleurs et sont finalement remplacées par des plantes subalpines mieux adaptées. A terme, elles risquent de disparaître, ce qui aura un effet domino sur les pollinisateurs.

Leparisien.fr, 17/08 – 2 min

 

L’accompagnement des usagers de drogues, un devoir de santé publique

Alors que la situation au nord-est de Paris cristallise les problématiques liées à l’usage de drogues, Mediapart s’intéresse à des modèles de prise en charge durable des toxicomanes qui semblent faire leurs preuves. Des salles d’accompagnement à Paris et à Strasbourg ont constaté une diminution des risques pour les usagers, tandis qu’il n’existe toujours aucune preuve que ces lieux incitent à plus de consommation. Pour les usagers de crack, un plan signé en 2019 a permis de créer 400 places d’hébergement et de financer un accompagnement médico-social. « Une mise à l’abri peut enclencher une régulation de la consommation, voire un sevrage et, en tout cas, une présence moindre dans l’espace public », explique Marie Jauffret-Roustide. « Il est important que la prise en charge se fasse sur le long terme (…) Ces publics ont vécu tellement de situations difficiles qu’il leur faut du temps pour se reconstruire », ajoute la sociologue.

Mediapart.fr, 17/08 – 5 min

 

 

 

 

 

Cette synthèse de presse résume des articles mentionnant des chercheurs ou des laboratoires du CNRS et elle ne peut en aucun cas être interprétée comme reflétant le point de vue du CNRS.

Les articles ne peuvent être fournis pour raison de droits d’auteurs.

Ni Kantar ni le CNRS ne sauraient être tenus pour responsables de l’exactitude, de la qualité, de la précision et de la tonalité des informations et des commentaires présentés. L’ensemble du contenu de la synthèse de presse est la propriété exclusive du CNRS. Toute diffusion externe au CNRS sous quelque forme que ce soit est soumise à autorisation de la part du CNRS.

 

Pour vous abonner ou vous désabonner.

(Authentification Janus requise)

 

 

 

 

Kantar Disclaimer

Laisser un commentaire

Retour en haut