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POLITIQUE DE LA RECHERCHE |
ET AUSSI… |
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Sylvie Retailleau : « La transition écologique est une priorité pour la recherche » Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, s’est rendue lundi à Montpellier, où elle a assuré vouloir mettre la recherche et l’innovation au service de l’environnement. Dans un entretien accordé à Midi Libre, elle indique que le projet Solu-Biod de Montpellier, qui innove avec la nature pour préserver les écosystèmes, est l’un des treize lauréats de l’appel à projets France 2030, dont elle a annoncé les noms lors de sa visite. « Cela illustre une priorité du gouvernement et de mon ministère. Nous présenterons à l’automne des actions en faveur de la formation sur la planification et la transition écologiques. La recherche et l’innovation resteront toujours des voies déterminantes pour apporter des réponses aux défis écologiques majeurs », déclare-t-elle. Sylvie Retailleau évoque d’autres investissements supplémentaires dans le cadre de France 2030, « par exemple dans l’intelligence artificielle, le quantique, les nouveaux métiers de la transition écologique ». Elle s’exprime ensuite sur l’inquiétude des doctorants concernant leur avenir et sur les modèles d’association entre universités et organismes de recherche. Au cours de sa visite, la ministre a découvert quelques sites novateurs en recherche environnementale, dont l’Ecotron de Montferrier-sur-Lez (CNRS). Midi Libre, 19/07 – Temps de lecture : 3 min Midilibre.fr, 18/07 – 2 min
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Télématin. L’interview d’actualité Laurent Joly France 2, 18/07 – 9 min
Perte de sens, salaires trop bas… La France gagnée par la « Grande démission » ? Mireille Bruyère Lexpress.fr, 19/07 – 6 min
La justice est-elle laxiste ? Entre les magistrats et les citoyens, un fossé grandissant Christian Mouhanna Lexpress.fr, 19/07 – 9 min
Produira-t-on un jour de l’électricité depuis l’espace ? Jean-François Guillemoles, Isabelle Sourbes-Verger Lefigaro.fr, 18/07 – 3 min
Des séismes sous haute surveillance dans le Sancy (Puy-de-Dôme) La Montagne, 19/07 – 4 min
« Un seuil de risque a peut-être été franchi » Jérôme Labanowski Sud Ouest, 19/07 – 2 min
Les Etats-Unis ont-ils perdu la main au Proche-Orient ? Bernard Botiveau La Croix, 19/07 – 3 min
De chercheur à entrepreneur deeptech, portrait de Maxime Hallot, futur dirigeant d’Hileores Usinenouvelle.com, 18/07 – 3 min
Immunrise Biocontrol élève une microalgue championne de la lutte contre le mildiou Lionel Navarro Latribune.fr, 19/07 – 5 min
« Il est urgent d’arrêter les suspensions des non-vaccinés à l’hôpital » Frédéric Pierru Marianne.net, 18/07 – 5 min
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Canicule. Records de température, sécheresse, feux, chaleur en mer Méditerranée De nombreux records de températures ont été enregistrés lundi, du bassin aquitain jusqu’à la Bretagne, avec notamment 42 °C à Nantes et 39,3 °C à Brest. C’est la troisième vague de chaleur la plus intense observée dans l’Hexagone depuis 1947, souligne Le Monde. « Ce qui est frappant, c’est que les records ont été battus de 3 ou 4 °C, ce qui est énorme et d’une probabilité très faible. C’est comparable au dôme de chaleur du Canada », relève Christophe Cassou. De plus, après le passage orageux de mardi soir, on va « passer du sec au sec », s’alarme le climatologue. Favorisés par la forte sécheresse, les feux en Gironde continuent de progresser, après avoir déjà ravagé près de 15 000 hectares. Lorsque des dizaines de milliers d’hectares de pinèdes partent ainsi en fumée, c’est une véritable « bombe à carbone qui explose », explique Jonathan Lenoir, cité par France 24. « C’est sûr que cet apport net de CO2 dans l’atmosphère va avoir un impact, mais il sera non-mesurable » à l’échelle de toutes les autres émissions de gaz à effet de serre, ajoute Jean-Baptiste Filippi. Science & Vie se penche sur la formation de vortex de cendres stratosphériques lors des mégafeux et reprend les conclusions d’une étude sur le comportement de ces nuages de cendres, publiée dans le journal Atmospheric Chemistry and Physics. Selon ces travaux, il apparaît clairement que ces structures occasionnent la persistance des fumées et influencent le forçage radiatif de façon significative. Invité sur BFMTV, Davide Faranda détaille les problèmes rencontrés « avec l’eau, l’agriculture ou encore la santé » en conséquence de ces fortes chaleurs, mais assure que « ces problèmes sont encore, en grande partie, réversibles ». « Nous courrons à la catastrophe si nous ne changeons pas notre manière d’agir », alerte Emmanuel Garnier dans Le Républicain Lorrain, qui analyse le déficit des précipitations à Nancy. Dans Ouest France, Sarah Safieddine explique la notion de « wet-bulb temperature », qui prend en compte la chaleur et l’humidité. Le site de TF1 Info décrit en particulier les conséquences des fortes chaleurs sur la mer Méditerranée. Laurent Bopp explique que les vagues de chaleur marines « durent plus longtemps » que leurs cousines terrestres et peuvent « s’étendre sur quelques mois, voire, de temps en temps, sur quelques années ». « Cette inertie peut influencer l’atmosphère sur un temps plus long, et notamment sur ces phénomènes saisonniers », ajoute Florian Pantillon. Lemonde.fr, 19/07 – 5 min France24.com, 18/07 – 5 min Science-et-vie.com, 18/07 – 4 min Bfmtv.com, 18/07 – 1 min Republicain-lorrain.fr, 19/07 – 4 min Ouest-France.fr, 18/07 – 6 min Tf1info.fr, 18/07 – 3 min
Des scientifiques percent le mystère de Black Beauty Black Beauty (NWA 7034) est la plus ancienne météorite martienne connue à ce jour. Cette mystérieuse roche obscure a été retrouvée en 2011 dans le Sahara, au Maroc. Dans une étude publiée par Nature communications, des scientifiques retracent son histoire et son ancienne localisation sur Mars. Les plus anciennes parties de Black Beauty se seraient formées au tout début du Système solaire, soit au moment de la constitution des croûtes de la Terre et de Mars, aux alentours de 4,6 milliards d’années. Son cratère d’origine, nommé Karratha, aurait été causé par un impact d’astéroïde qui se serait produit il y a entre 5 et 10 millions d’années. Il aurait envoyé de nombreux fragments de la croûte martienne dans l’espace, dont Black Beauty, ce qui explique que la roche présente des couches d’âges différents. Ouest-France.fr, 18/07 – 2 min CNRS, 12/07
Roscoff. 150 ans d’études biologiques au plus près du milieu marin La Recherche consacre un article à la station biologique de Roscoff, qui est un lieu d’observation de la faune, de la flore et de l’océan depuis 150 ans. Lorsqu’il a fondé la station, le 20 août 1872, Henri de Lacaze-Duthiers, zoologiste et académicien, voulait bâtir un laboratoire de zoologie marine expérimentale au plus près du terrain. « Si la station n’a pas cessé d’évoluer, 150 ans plus tard, l’esprit de Lacaze-Duthiers se perpétue, souligne Catherine Boyen, directrice actuelle de la station. Nous sommes attachés à étudier in situ et in vivo la faune et la flore, et à observer l’écosystème marin dans son ensemble. Et, pour cela, la station offre un environnement scientifique et technologique unique. Son excellence est reconnue au plan international, notamment dans les domaines des macroalgues et des microalgues. » La station étudie également les oursins, ainsi que de multiples espèces de poissons, de mollusques et d’échinodermes. Elle veille à prendre soin des animaux et à limiter l’incidence de la recherche sur l’environnement. Larecherche.fr, 18/07 – 7 min
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