POLITIQUE DE LA RECHERCHE |
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Ecole Centrale de Lyon : une recherche de premier plan Le Progrès publie un entretien avec Christophe Corre, directeur de la recherche à l’Ecole Centrale de Lyon. La recherche menée au sein de l’établissement s’articule autour de six laboratoires (LTDS, LMFA, INL, Ampère, Liris et Institut Camille-Jordan), tous unités mixtes de recherche avec le CNRS. Ces laboratoires « sont, chacun dans leur domaine, de premier plan au niveau national et international », déclare-t-il. Ils ont notamment pour atout de disposer de « plateformes technologiques très performantes » et d’un « data center stratégique ». Christophe Corre apporte des précisions sur les projets menés, leur financement et leur valorisation. « Environ 200 articles par an » sont publiés par les chercheurs de Centrale Lyon et l’école figure dans « le top 15 » régional pour les dépôts de brevets. Leprogres.fr, 26/12 – Temps de lecture : 5 min |
« Notre passion pour la langue et les dictionnaires est liée à notre histoire » Lefigaro.fr, 27/12 – 9 min Les monothéismes face à la science : une longue et tumultueuse séparation Gad Freudenthal Lexpress.fr, 25/12 – 6 min Présidentielle : ils misent sur les réseaux sociaux Christelle Combe Le Télégramme, 26/10 – 3 min Guadeloupe : de l’usage important de pesticides malgré le traumatisme du chlordécone Sciencesetavenir.fr, 25/12 – 3 min Les babouins peuvent établir des conventions sociales Leprogres.fr, 25/12 – 1 min Boycott des JO de Pékin et Omicron : « pas véritablement de volonté de se montrer au monde » Jean-Philippe Béja Rfi.fr, 24/12 – 6 min Retour de la gauche au Chili : les défis de Gabriel Boric Olivier Compagnon Franceculture.fr, 24/12 – 58 min Les « pères solos », des parents d’un troisième type Agnès Martial Lemonde.fr, 26/12 – 10 min Delphine Horvilleur, Edgar Morin et Denis Mukwege. La sélection des meilleurs essais de l’année Ouest-france.fr, 24/12 – 10 min Ondes gravitationnelles : pourquoi les outils permettant de les détecter sont en constante évolution Nicolas Arnaud 20minutes.fr, 27/12 – 9 min |
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ACTUALITE DES LABORATOIRES |
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Covid-19 : vague Omicron, sommeil et immunité, rêves pendant le confinement, traces historiques Alors que la barre des 100 000 nouveaux cas de contamination au Covid-19 a été franchie le 25 décembre, L’Express interroge plusieurs experts sur la progression fulgurante du nouveau variant Omicron. Une équipe d’épidémiologistes à Montpellier table sur un pic hospitalier au plus haut le 15 janvier, selon deux hypothèses basées sur le niveau de dangerosité d’Omicron et la protection des vaccins. Le scénario optimiste se traduit par un pic élevé mais non saturant. Dans le cas plus pessimiste, le pic atteint 5 000 patients en soins critiques, soit un niveau de tension similaire à celui de la deuxième vague, à l’automne 2020. Sur France Inter, Bruno Canard est l’invité du 13/14 afin d’apporter des précisions sur les risques que fait courir le variant Omicron en termes d’échappement immunitaire et de formes sévères de la maladie. « On est clairement face à une vague sans précédent en termes de rapidité et d’intensité », déclare Etienne Decroly, invité sur RFI. Sud Ouest s’intéresse à la qualité du sommeil en tant qu’arme pour lutter contre le Covid-19. « Pour protéger ses défenses immunitaires, il faut réajuster son sommeil », affirme Pierre Philip, qui a créé l’application Kanopée. Celle-ci permet de dépister et de prendre en charge les troubles du sommeil. Le Progrès interroge Perrine Ruby, qui a étudié l’impact de la pandémie et du confinement sur les rêves. « Il y a eu en moyenne deux cauchemars par mois, alors qu’en période ordinaire, il y en a moins d’un par mois. » Néanmoins, environ 7 % des personnes « ont fait des rêves plus positifs » mettant « en scène le fait de se retrouver entre amis, d’être bien ensemble ». Enfin, l’hebdomadaire belge Le Vif consacre un article aux opérations de collecte de documents, d’objets et de témoignages qui ont été lancées en lien avec la crise sanitaire à des fins de recherche et de mémoire collective. Sarah Gensburger souligne la difficulté de l’exercice, mais aussi l’importance de le réaliser pour se préparer aux futures pandémies, inévitables. Lexpress.fr, 26/12 – 4 min Franceinter.fr, 27/12 – 15 min Rfi.fr, 26/12 – 9 min Sud Ouest, 27/12 – 2 min Le Progrès, 26/12 – 7 min Levif.be, 27/12 – 7 min Décollage réussi pour le télescope spatial James Webb Le télescope spatial le plus ambitieux de l’histoire de l’exploration spatiale a été lancé avec succès, samedi 25 décembre, depuis le centre de Kourou, en Guyane. Le Monde a suivi l’événement en direct avec les commentaires notamment de Nicole Nesvadba et Franck Selsis, de même que France Info avec les précisions notamment de François Forget. Considéré comme un bijou d’ingénierie spatiale, le télescope doit encore déployer ses 18 miroirs de forme hexagonale. Cela « va durer deux semaines », précise Olivier Berné à France Info. De multiples « étapes complexes » doivent être franchies « pour que l’ensemble du dispositif puisse se déployer comme une fleur ». Ensuite, « il va continuer son voyage jusqu’au ‘Point de Lagrange’, qui est situé au-delà de l’orbite de la lune, à 1,5 million de kilomètres de nous. Une fois arrivé là-bas, il va commencer à mettre en marche ses instruments. D’ici l’été, nous devrions pouvoir commencer à faire des images du cosmos. » Plusieurs médias expliquent en quoi le télescope spatial James Webb va révolutionner l’observation spatiale, se basant sur les déclarations d’Olivier Berné, d’Anthony Boccaletti et de Nicole Nesvadba. James Webb va « s’intéresser à l’origine de notre système scolaire » et « à l’évolution de l’univers dans son ensemble », précise Olivier Berné, qui travaillera en particulier sur l’observation de la nébuleuse Orion. Lemonde.fr, 25/12 – 1 min Francetvinfo.fr, 25/12 – 32 min Francetvinfo.fr, 25/12 – 7 min Francetvinfo.fr, 25/12 – 2 min Aujourd’hui en France, 25/12 – 4 min Leparisien.fr, 25/12 – 3 min Huffingtonpost.fr, 25/12 – 5 min Nice-Matin, 27/12 – 5 min CNRS, 25/12 Nouvelle campagne de suivi des captures accidentelles de cétacés Le Marin se penche sur les efforts mis en place pour lutter contre les captures accidentelles de cétacés dans le golfe de Gascogne. La campagne de suivi 2021-2022 a été lancée le 15 décembre, avec comme nouveauté l’intégration de répulsifs spécialement destinés aux fileyeurs. Le magazine spécialisé précise que l’amélioration des connaissances sur les populations de cétacés et la réduction des captures accidentelles font l’objet d’un programme de recherche sur trois ans (2022-2024). Mené notamment par l’observatoire Pelagis, ce programme sera doté de 3,3 millions d’euros. Le Marin, 24/12 – 4 min |
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