CNRS
Synthèse de presse
4 avril 2023
Vie du CNRS
Le CNRS et Saint-Gobain s’associent pour concevoir des matériaux plus durables
Le CNRS, Saint-Gobain, Insa Lyon et l’université Claude Bernard Lyon 1 ont créé le laboratoire commun Matilde, dédié à l’étude de matériaux inorganiques et de leurs mécanismes d’endommagement dans leur environnement d’utilisation. Pendant cinq ans, des scientifiques issus des laboratoires Mateis, Lamcos, Saint-Gobain Recherche Provence, Saint-Gobain Recherche Compiègne et Saint-Gobain Recherche Paris œuvreront à l’amélioration de la durée de vie et de l’empreinte carbone de ces matériaux inorganiques. Leurs expertises seront complétées par des compétences en simulation numérique. Matilde est « un atout supplémentaire pour apporter des réponses au défi écologique », « un partenariat venant aussi renforcer des liens solides et féconds sur cette thématique avec Saint-Gobain, leader de la construction durable », a déclaré Jean-Luc Moullet, directeur général délégué à l’innovation du CNRS.
Usinenouvelle.com, 03/04 – 2 min
CNRS, 20/03
Actualités des laboratoires
En Martinique, des chercheurs œuvrent à la protection des tortues
La première station de recherche en Martinique a été inaugurée lundi 3 avril, aux Anses d’Arlet. Des scientifiques s’y sont installés pour travailler à la protection des espèces sous-marines et des tortues. Ils équipent actuellement les animaux de caméras embarquées, afin d’étudier leur comportement. Par exemple, chez la tortue verte, ils ont identifié 23 vocalises différentes. « Le son qui nous intéresse est le son d’alerte ou de fuite chez les tortues », explique le biologiste marin Damien Chevallier. Des avertisseurs émettant ce son seront ensuite installés sur des filets, qui serviront de répulsifs afin d’éviter que les tortues ne s’y fassent piéger. Ces pingers seront bientôt testés par les pêcheurs en Martinique en vue d’une utilisation ultérieure à l’échelle mondiale.
France 3, 03/04 – 2 min
Le réchauffement est « une opportunité unique pour redéfinir quelle société nous voulons »
Interviewé par Ouest France, l’océanographe et climatologue Eric Guilyardi présente les raisons pour lesquelles, selon lui, on peut rester positif face au réchauffement climatique. « Ce n’est pas la fin du monde. Mais c’est certainement la fin d’un monde, et nous sommes face à une transition majeure. Je comprends que cela puisse sembler vertigineux », déclare-t-il en préambule. Pour le chercheur, les crises du climat, du vivant et de la pollution « offrent une opportunité unique » de « redéfinir collectivement ce qui est important et quelle société nous voulons ». Plutôt que de « tomber dans des récits étroits ou angoissants », il nous faut « de nouveaux récits (…) qui enthousiasment et permettent de déplacer des montagnes ». « Le processus doit être une transition, et non pas une révolution », ajoute-t-il.
Ouest-France.fr, 03/04 – 3 min
Et aussi
« C’est assez fascinant » : Bruno Le Maire a testé ChatGPT pour écrire un discours « en cinq minutes »
BFM TV, 03/04 – 2 min
Gérald Darmanin peut-il vraiment dissoudre la Défense collective, un collectif rennais ?
Julien Talpin
Le Télégramme, 04/04 – 3 min
« Il n’y a pas de solution miracle pour décarboner l’aviation »
Jean-Marc Olivier
Le Monde, 04/04 – 3 min
Gnous, loutres et éléphants… Les animaux sauvages charbonnent contre les émissions de carbone
Philippe Grandcolas
Libération, 04/04 – 6 min
L’Académie de médecine s’empare du débat sur l’origine du Covid-19
Lepoint.fr, 03/04 – 4 min
Quand l’étude des fibres anciennes éclaire les usages actuels du lin
Alain Bourmaud
Lemonde.fr, 03/04 – 3 min
Management, une éthique en toc ?
Laure Bereni
France Culture, 03/04 – 58 min
La popularité fulgurante des enterrements de vie de jeune fille
Florence Maillochon
Slate.fr, 03/04 – 11 min
Le combat des prostituées de Lyon
Lilian Mathieu
France Inter, 03/04 – 54 min
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